Les Champs Lexical De La Solitude Sont

comme un lieu agréable à visiter. Le champ lexical dominant dans ce poème est celui de la nature avec le lexique de la flore : « fleur » vers 4, « tremble » vers 8, « roses » vers 9, « lys » vers 10.. C’est un paysage qu’on a envie de visiter en compagnie du poète. L’expression « Qu’éclairait doucement le soleil du matin » vers 3 produit un effet de quiétude et de sérénité. Le poète se promène tranquillement dans son jardin, ne craignant rien. Le champ lexical de la lumière : « éclairait » vers 3

apprivoisée » (l1), le lecteur est immergé dans l’univers merveilleux de l’orient symbolisant la richesse et la luxure des palais des Sultans. Henry de Monfreid commence par la description d’une gazelle de façon très élégante en utilisant le champ lexical de la douceur « merveilleuse » (l1) « harmonieux » (l9) « grâce délicate » (l17) et « mélancolique » (l28), il capte l’attention en attendrissant le lecteur. Tout au long de ça description, il évoque un être proche de l’humain ce qui permet

nous observons que ce passage est sous forme de lettre dédié a sa femme par l’un des personnages principaux « Louis ». Il est question dans ce passage du ressenti du personnage envers ses enfants et sa femme, c’est a dire de la souffrance, la solitude et la vengeance qu’il éprouve envers eux.L’intention de l’auteur est de montrer le point de vu et le

dans l'oeuvre Cet extrait se trouve juste après l'arrestation d'Antigone, elle se retouve seule avec un garde, elle attend sa mort. Analyse Champs lexicaux La mort, la douleur : "mourir", "mal", "guerre", "touchés", "blessé", "nui", "sang", "murer dans un trou", "tombeau", "lit nuptial", "demeure souterraine". Le silence et la solitude : "ne répond pas", "silence", "au bout d'un moment", "seule". Ponctuation Antigone utilise de courtes phrases entrecoupées par des points de suspension

personnage seul, en marge du monde. Son pouvoir s’exerce encore dans la ponctuation forte, par le biais des points d’exclamation, mais il est seul et monologue devant son miroir. Le terme de « détresse », les tournures négatives illustrent cette solitude et le personnage désemparé. Il fait face à son échec : « il n’aura pas la lune », son pouvoir n’est que relatif. Cette prise de conscience prend la forme d’un monologue délibératif. Il fait le point sur son existence et sur le monde, sans transiger

histoire » (P. 18, L. 139-144). Ceci est appuyé par l’emploi du champ lexical suivant pour la description de la liberté : « légitimité », « réconcilier », « paix », « lutter », « naître une seconde fois » et « refus de nihilisme ». Par la suite, Camus affirme que la guerre est selon lui la cause principale de la servitude. En effet, il énonce que « toutes les armées de la tyrannie avec leurs millions d’hommes ne l’enlèveront pas à la solitude, même et surtout s’il consent à prendre leur pas » (D.S. P

matérielles (champs lexicaux : ruine, deuil...) Passage du paradis au néant : la première strophe décrit Chio comme une île idéale (anaphore de « Chio » suivie d'expressions montrant le bonheur et l'opulence qui régnaient sur Chio). La deuxième strophe marque la rupture et le résultat de la guerre : « Tout est désert » Les conséquences affectives : Solitude et détresse de l’enfant rescapé et abandonné. Conditions pitoyable (vaincu « tête humiliée ») Soumission, passivité Champs lexical du chagrin

Le poète Pierre de Ronsard est l’un des plus grands dans le domaine et tout son talent est mis a été mis à l’épreuve lors de l’écriture du poème « comme un chevreuil ». L’œuvre de Ronsard expose le destin imprévisible et la solitude dans lesquels est plongé sur une base régulière un chevreuil, ce qui correspond au thème principal du poème. Ronsard ne fait pas que relater l’existence du cerf, mais aussi la sienne, en tant que poète, qui est abordée comme second thème. L’écriture des deux quatrains

clairons, des buccins, des oliphants, des bugles et des trom- pettes, une sorte de fanfare prométhéenne. Qui les entend écoute Pan. Ce qu’il a d’effroyable, c’est qu’ils jouent. Ils ont une colossale joie compo- sée d’ombre. Ils font dans les solitudes la battue des navires. Sans trêve, 10 jour et nuit, en toute saison, au tropique comme au pôle, en sonnant dans leur trompe éperdue, ils mènent, à travers les enchevêtrements de la nuée et de la vague, la grande chasse noire des naufrages.

analytique n°10 : incipit du roman   éléments d’introduction : Michel Tournier  écrivain classique qui s’inspire  des thématiques du Nouveau Roman   M. Tournier principalement a écrit ​ Les Météores ​ et ​ Le Roi des Aulnes     mots-clé : nature, solitude, île, description, incipit, symbole     questions type-bac :    Cet incipit est­il traditionnel?  Quelle place tient la description dans l’incipit?  Quelle place tient le personnage dans l’incipit?     axes de lecture : Description La description : l’élément clé