Les Champs Lexical De La Solitude Sont

mort. Elle est considérée comme la suite et la conclusion de la Nuit de Mai, c'est la dernière étape du chapitre des trois précédents poèmes des Nuits. Après avoir évoqué les vaines séductions de la poésie dans la Nuit de Mai, puis l'obsession de la solitude dans la Nuit de Décembre, les illusions du plaisir dans la Nuit d'Août, l'auteur va se pencher sur les bienfaits de la douleur dans ce dernier poème découvert. Dans la Nuit d'Octobre, le poète narre à la muse ses souvenirs et maudit celle qui l'a

Unité L’unité liée au sujet, le texte est structuré autour du thème de la propriété. Antéposition du C.O.I « du palais », indique le point de départ du conflit  usurpation du terrier par la Belette. Exposition entière centrée sur ce thème  champ lexical dominant « palais », « logis », « fenêtre », « maitre », « pénates », « paternel logis », « déloge ». Utilisation de certains termes emphatiques  souligne l’importance du conflit et ennoblissent le sujet. « palais », « maitres », « seigneur »

horrible : «  horrible, sanglante, glacée, condamné à mort… ». Solitude ; Glauque, morbide…. Tendue, sinistre, lugubre, angoissant, sournois ; des allitérations en S. Oncutuation très ecpressive, phrases extrêmement fluide. _Courbé sous son poids, personificatin dit bien la perspective d’une mort horrible, qqc qui dit que la mort fait parti du texte. Ds une situation d’emprisonement. _2ème argument : Captivité physique et mentale Champ lexical de la captivité, captivité physique va avec la captivité

notion d’extérieur afin de faire ressortir l’hyper sensibilité du poète. - La synesthésie (sensations, perceptions et sentiments) décrit l’intérieur. Mais nous sommes face à des sentiments contradictoires puisque « grand délice » s’oppose au champ lexical de la souffrance : « douleur », « sensation », « isolement », « délice ». - Le poète ne peut être en osmose avec le monde, que si sa pensée est harmonieuse : énumérations négatives « sans arguties, sans syllogisme, sans déduction ». Le monde

consolation de l'amour. ( Axe 1 : les moments passés avec elle ont illuminé sa vie )Axe 2 : Sa mort l’a plongé dans une tristesse immense  Opposion entre jour et nuit symbole vie et mort. Champ lexical de la nuit : « ombre » l.5, « englouti le soleil »l.8,« sombre nuit »l.9, « nuage »l.19, « noir »l27, « soir »l.28 ce champ lexical est le symbole de la mort. Il permet au poète de décrire la mort sans l’énoncer directement. .La colline est décrite comme étant difficile d'accès et habitée uniquement par l'aigle

employé. Thésée sait que Phèdre n'est pas sincère. SERIES D'OPPOSITIONS: Phèdre VIVANTE / Hyppolite MORT. => Phèdre la menteuse. V1,V4 Ressenti de solitude: "Laissez-moi" "Loin de vous" -> Il ne veut plus la voir, il veut qu'elle parte. 2- Un homme révolté contre lui-même Perdu, il ne sait plus qui croire. V14 "Confus" Champ lexical: TROMPERIE V6 "Abbuser" V7 "Crois" OPPOSITIONS: Pronoms Hyppolite & Pronoms Phèdre -> Le & Vous -> V7.

que vois ses yeux le transporte ailleurs , il imagine d’autres endroits . Il y a un désir de solitude de la part du poète , qui est une caractéristique du romantisme . Dans l’injonction au vers 1 «  Oh! Laissez-moi » , on ne sait pas à qui il s’adresse . Le complément circonstanciel de lieu «  la fenêtre » permet donc une projection totale , ( le dedans n’existe pas) du poète solitaire . Le champ lexical du rêve fait partie du poème ainsi on retrouve plusieurs référence aux « astres » de même pour

Baudelaire va à la découverte de sa dualité, cause de son mal : Dualité de l’expérience de l’artiste placé entre le ciel qui l’attire et le sol qui le retient. Dualité de l’amour charnel et mystique, . Dualité de l’expérience de la solitude : Emporté par l’Idéal ou accablé par le Spleen, le poète découvre la fêlure de son âme, sa blessure secrète. L'auteur montre la misère et la grandeur de l'homme ainsi que le combat combat éternel de l'homme sans issue : " Il y a dans tout homme

génération «　mal du siècle　». Tout d’abord, nous aborderons l’analyse par l’évocation lyrique introduite via le lexique des sentiments. En effet, le champ lexical des sentiments est omniprésent comme le définit la formule　 «　J’entrai avec ravissement […]　» «　enchanté, tourmenté […]　»　　«  l’homme est triste.　» (l.5, l.26 et l.9). Ce champ lexical s’explique car le lyrisme est un des principes du romantisme. De plus, des figures de style peuvent être relevées comme la métaphore «　 foule de sensations　»

les champs lexicaux de la mort et des aléas du sort, comme au vers 21 avec « funèbres » ou au vers 2 avec « malheur ». De plus, il emploie le champ lexical du corps et des cinq sens, comme au vers 8 avec « yeux » ou au vers 26 avec « tête ». Ces champs lexicaux combinés nous montrent qu’Hernani perçoit comme une malédiction autour de lui, qui lui pèse sur le cœur. De plus, le personnage est solitaire, comme nous l’indique le vers 13 : « Je n’ai plus un ami qui de moi se souvienne ». Les champs lexicaux