Les Champs Lexical De La Solitude Sont

poème narre une scène de vie en mer dans laquelle des hommes tournent en dérision des albatros, 1ere Partie : Dans l´albatros, Baudelaire cherche à représenter une scène de vie dans la mer. On peut observer rapidement la présence du champ lexical de la mer : « hommes d’équipage » (v.1), « albatros » (v.2), « oiseaux des mers » (v.22), « le navire » (v.4), « les planches » (v.5), « avirons » (v.8), « tempête » (v.14). Pour evoquer la presence de la mer il utilise aussi les

rétrospectif en prose de l’auteur. -L’auteur : Ecrivain marocain, née à Fès, en 1915, initiateur de la littérature maghrébine d’expressionfrançaise. Décédé en 2004. Incipit : Incipit de transparence. Champ lexical de solitude dominant. 1. Qui ? Un enfant de six ans. 2. Quoi ? La solitude de l’enfant. 3. Où ? Dar Chouafa.... [à continuer]

poème pour Léopoldine à l’occasion de son mariage avec Charles Vacquerie. Il se réjouit pour sa fille de son bonheur mais ressent une profonde douleur à la laisser partir. On observe un champ lexical de la joie : « heureuse » (vers 1), « bonheur » (vers 3), « sourire » (vers 8). En opposition, on a un champ lexical de la souffrance : « adieu » (vers 2), « regret » (vers7), « larme » (vers 8). Une énumération est présente au vers 6 : « Fille, épouse, ange, enfant », elle parle de Léopoldine. Une métaphore

amour plus naturel. Pour mieux convaincre son interlocutrice, Ch. Cros dresse deux tableaux en opposition – celui de la ville et celui d’un cadre naturel solitaire –, malheureusement incompatibles, mais il rend aussi compte, dans son poème, de sa solitude et de son amertume, sans céder pour autant au pathétique, en gardant un certain sourire au coin des vers. I. Un monde impitoyable : la ville et la civilisation Entremêlés au fil des alexandrins, se dégagent de « Plainte » deux tableaux en contraste

grandes caractéristiques du romantisme. Ils se manifestent à travers la forme du poème, les mots choisis, les figures de style et les champs lexicaux développés concernant la nature et le temps. La libération des sentiments Le poète écrit sur ce qui le tourmente, entre autres la fuite du temps. Nous pouvons voir concrètement la plainte du temps qui fuit par le champ lexical du temps qui passe : « temps » (v. 21), « rapides » (v. 23), « heure fugitive…» (v. 33). De plus, l’auteur dit qu’il « demande

»). Le « toujours » permet de souligner l’idée de répétition. Il impose un tempo grave et solennel d’une grande ampleur qui est caractéristique de la dimension épique. « Après la plaine blanche une autre plaine blanche » fondée sur le redoublement lexical qui se double d’un effet d’assonance. Le jeu des sonorités naît de la rencontre de deux sylabes (« pl », « bl »). Par ailleurs, un effet naît de la prosodie avec le rythme régulier de l’alexandrin. Tout est signifiant. Expression d’une monotonie

destinataires - Interjections - Apostrophes directes - Présence de la 2è personne - Impératifs - Questions rhétoriques - Un hymne solidaire ; ils sont tous dépendants des autres- Marques de la première personne du pluriel- Anaphore en « ami »- Champ lexical de la solidarité- Parallélisme + chiasme aux v. 36 à 38-La justification de la violence Allégories : liberté, faim, haine personnification du pays Métaphore du corbeau, un charognard Conclusion : pourquoi ce texte est-il devenu l'hymne de la Résistance

tout d’abord I Le poème de la réconciliation : La fin d’une crise II Un poème en blason : la fin d’un doute III Une parole retrouvée : la fin d’une quête I Le poème de la réconciliation : la fin d’une crise 1)L’apaisement Présence du champ lexical de la sureté avec les mots « douceur, danse, couvée d’aurores, ailes couvrant le monde »  Ambiance du poème clairement exposé par l’auteur, le climat est calme, rassurant Le poème est placé à la fin de l’œuvre, en avant dernier : Paul Eluard

contexte temporel et décrit les lieux avec attention. Il parle alors de la mort d’un enfant innocent. C’est alors une nuit de 4 lorsque Napoléon Bonaparte arrive au pouvoir en France. Le poème commence alors avec une phrase froide qui va commencer le champ lexical de la violence dans le texte. Par la suite, Victor Hugo décrit les membres de l’enfant avec détail en s’appuyant sur les dégâts causés par les soldats. Au vers 11, il y a une comparaison d’un crâne à du bois. En effet, cette comparaison s’appuie

recherche la solennité et la gravité. Avant même la lecture, le titre « L’isolement », fait deviner un poème dont le thème central est la solitude, mais aussi le repli sur soi, le recueillement. Dès les premières strophes, il apparaît que le poète est malheureux : le registre du poème est élégiaque : l’effet produit est la tristesse, la mélancolie. Le champ lexical de la tristesse : v2 –«  tristement », v19 –« ainsi qu’une ombre errante », v28-« un seul être vous manque et tout est dépeuplé »