Les Chaises Didascalies

petite moustache grise, anglaise. À côté de lui, dans un autre fauteuil anglais, Mme Smith, Anglaise, raccommode des chaussettes anglaises. Un long moment de silence anglais. La pendule anglaise frappe dix-sept coups anglais. » Après cette première didascalie, Smith et Mme Smith, deux paisibles bourgeois anglais, racontent qu'ils s'appellent les Smith, qu'ils habitent dans les environs de Londres, qu'ils ont des amis qui s'appellent les Martin, qu’ils attendent leur arrivée. Une fois les Martin arrivés

veut pas être reconnu  il cache son jeu. Une fois qu’il a reconnu Figaro, il se sent soulagé. Le maître tutoie Figaro  donc pas de poids sur leur statut social. Un rapport familier. (l.26) « Riant » : Une admiration, une mise en valeur de la didascalie. Eléments de mise en scène : Gestes amples Costume du comte  de façon à être anonyme. Costume de figaro  assez simple. Scène d’exposition : Informer  où et quand ? qui ? registre ? Séduire (faire peur, suspens), faire appel à l’émotion

connaît que la maison d'Hermocrate. Aveux → conséquences. II. Conséquences de ces révélations. → relation en difficulté. Homme/homme → homme/femme → amour ? Perte d'un ami. Agis → incompréhension. Discours moraliste d'Agis. Donne des conseils. Didascalies importantes → sentiments des personnages. Agis = image d'un sage. « Ah » comique car Agis réticent à l'amour. Finit sur une note positive → plaider Hermocrate pour qu'il reste. Structure linéaire. Évolution entre situation initiale et finale. Décisive

qui s'est passé en dehors de la scène et de montrer les réactions des personnages qui l'écoutent. - Le portrait: au théâtre, le portrait des personnages est réparti sur les didascalies, la mise en scène et les dialogues. Ces éléments peuvent mettre en relief un aspect particulier du personnage. Il arrive aussi que les didascalies, la mise en scène ou un dialogue dressent de véritables portraits. B/. Une esthétique de la parole. La parole étudiée contribue à rythmer la scène. - La stichomythie:

peut penser que dramaturges et metteurs en scène ont des intentions communes, ou en tout cas complémentaires : en fait, le metteur en scène est censé servir les intentions dramatiques de l’auteur, notamment quand celui-ci les verbalise dans les didascalies ou dans des préfaces, des avant-propos. Mais l’on peut souvent se rendre compte que le metteur en scène tient parfois à exprimer sa propre lecture et un point de vue tout à fait personnel. Ainsi, nous pouvons percevoir ces objectifs semblables

aimerait en partir vite. Il adopte une fausse amabilité envers Arlequin, il devient même poli avec lui. Mais malgré sa peur, il continue de rappeler les chaînes qui lient le maître à l'esclave. Son désespoir est montré par le vocabulaire et les didascalies. Le maître est déstabilisé, il a peur de perdre sa liberté, il essaye de résister à ces nouvelles règles. Arlequin rie, il raisonne, il se moque du maître, il s’amuse de sa liberté nouvelle Il va directement mettre en pratique les nouveaux rapports

la suite d’un homme, « sinistre » mais dont la seule présence même « toute petite » suffit à créer une véritable démence, une folie destructrice. Cette férocité, cette promptitude à passer à l’acte est rendue dans la pièce de théâtre dans les didascalies :à la page 22, il nous est dit que « les bruits du galop d’un animal puissant et lourd sont très proche, très accélérés ; on entend son halètement » tandis qu’ à la page 212 c’est à un « troupeau de rhinocéros, allant à une cadence très rapide »

importance particulière à l’évocation historique. Le passage qui nous intéresse est une scène de cour. On a une peinture de l'étiquette royale qui nous révèle la rigidité des rapports humains à la cour d’Espagne au XVIIème siècle. A la lecture des didascalies, on imagine aisément l'air sérieux de tous les assistants. Tout le monde s’incline avant de parler à la reine (« avec une révérence ») ce qui ôte d’emblée de la spontanéité à l’échange. La Reine est d’ailleurs un peu prisonnière de la situation

Dans un premier temps la Reine ne peut pas accepter cet amour, puis lorsqu'elle se rend compte que Ruy Blas est en train de s'empoisonner, elle le reconnait sous le nom de Ruy Blas. La Pièce :       La pièce accorde une grande importance aux didascalies : elle est faite pour être jouée. Il y a ainsi multiplication des décors, des couleurs, beaucoup de figurants et de costumes différents : c’est un véritable spectacle pour les yeux. Les jeux de contrastes dans les couleurs ont des valeurs symboliques :

vendre l’objet de son désir, mais il le refuse sous prétexte qu’il n’a envie de rien. Pièce sans dialogue- il n’y a pas de réel dialogue/communication entre les protagonistes. Les répliques comme une suite de monologues. Le texte ne présent aucun didascalie ni indication. La pièce est compose d’une seule scène. Les répliques sont de plus en plus agressives, l’œuvre se termine sur un rythme rapide, dialogues de seulement quelques mots. On ne sait rien des personnages. Point commun est le désir – le