Les Chaises Didascalies

une idée. On distingue : – les noms communs / propres : chat, ciel, lit… / Mozart, Rouen… – les noms concrets / abstraits : pluie, parfum, chocolat, chanson… / liberté, peur, amitié… – les noms animés / non animés : fourmi, gardien, sœur… / stade, chaise, tulipe, vent… – les noms dénombrables / indénombrables : page, fleur, mois… / sable, patience… 2 Soulignez les noms et classez chacun d’eux dans, au moins, deux catégories. Il soufflait un vent glacé et Martin avait bien du mal à avancer. Parfois

idée. On distingue : – les noms communs / propres : chat, ciel, lit… / Mozart, Rouen… – les noms concrets / abstraits : pluie, parfum, chocolat, chanson… / liberté, peur, amitié… – les noms animés / non animés : fourmi, gardien, sœur… / stade, chaise, tulipe, vent… – les noms dénombrables / indénombrables : page, fleur, mois… / sable, patience… 2 Soulignez les noms et classez chacun d’eux dans, au moins, deux catégories. Il soufflait un vent glacé et Martin avait bien du mal à avancer

une idée. On distingue : – les noms communs / propres : chat, ciel, lit… / Mozart, Rouen… – les noms concrets / abstraits : pluie, parfum, chocolat, chanson… / liberté, peur, amitié… – les noms animés / non animés : fourmi, gardien, sœur… / stade, chaise, tulipe, vent… – les noms dénombrables / indénombrables : page, fleur, mois… / sable, patience… 2 Soulignez les noms et classez chacun d’eux dans, au moins, deux catégories. Il soufflait un vent glacé et Martin avait bien du mal à avancer. Parfois

(l. 40), balbutia (l. 59), bégaya (l. 65), reprit (l. 74), dit (l. 92) ; – pour Mathilde : murmurant (l. 47), déclara avec impatience (l. 55-56), répondit d’une voix calme (l. 68), répondit en hésitant (l. 84). Ces indications s’apparentent aux didascalies au théâtre  : elles montrent qu’après une phase marquée par l’émotion les personnages retrouvent leur calme : la colère puis le chagrin de Mathilde ont permis de faire fléchir son mari. Les indications de gestes et d’expression confirment ce que

y lit moins qu’il n’écoute. Il y a une proximité de genre avec le théâtre que soulignent de nombreux détails : on y retrouve, tout d’abord, de très longs dialogues entrecoupés d’indication sur la scène du dialogue – que l’on peut assimiler aux didascalies théâtrales ; Le jeu des personnages est souvent souligné par une ponctuation pathétique ( !, ?, …) qui a pour objectif de moduler les réactions du lecteur pour ensuite lui couper le souffle. On pourrait rapprocher ce phénomène aux intonations théâtrales

exactement ce qu'était son prototype dans le folklore. Cependant on a pu recueillir des versions indépendantes de celles de Perrault au nord des Alpes, en Italie du nord et au Tyrol. Le caractère oral du modèle de Perrault est attesté par une sorte de didascalie figurant dans le manuscrit de 1695 : « On prononce ces mots d'une voix forte pour faire peur à l'enfant comme si le loup l'allait manger. » De plus les archaïsmes lexicaux sont nombreux dans ce conte. Dans les versions orales, le loup peut devenir

personnages principaux, secondaires ? o les caractéristiques de chaque personnage : quelle est sa situation dans une scène particulière, quels traits de psychologie a-t-il, quelle est sa fonction sociale, symbolique, etc. ? Les didascalies • Une didascalie est une indication textuelle qui concerne la mise en scène. Souvent, elle renseigne sur l’attitude des personnages, leur diction et leur intonation, leur position physique, les jeux de lumière, les décors, etc. Il s’agit donc d’une consigne

matériel informatique que nous utilisions : écrans plats, clavier et souris sans fil, imprimante laser couleur... Elle promenait la main droite sur le mobilier neuf ; elle remuait sur sa chaise puis s’appuyait doucement sur le dossier. Cherchait-elle à tester sa solidité ? Pourquoi tant d’étonnement devant une table, des chaises, un tableau blanc interactif ? Je ne comprenais pas son attitude. Quant à mes camarades, ils nous regardaient discrètement, esquissant un sourire entendu. J’imaginais parfaitement

lexicaux -lexique dépréciatif/appréciatif -comparaisons et métaphores -connotations -expansions du nom -temps grammaticaux -tonalité (s) -structure du texte -double énonciation/énonciation : jeu des pronoms ; apartés ; monologues ; didascalies -structure et types des phrases -enchaînement des répliques -procédés rhétoriques -ponctuation -champs lexicaux -tonalités Le texte poétique en vers Le texte poétique en prose Entrées (outils d'analyse) Entrées (outils d'analyse) champs lexicaux

concomitante, elle s’attache à faucher d’autres destinées.106 Aussi n’est-il pas étonnant que la vue du Blanc puisse déclencher une émotion insoutenable. A cet égard, il est heureux que Césaire, à la différence de Soyinka, se soit appuyé sur une « didascalie expressive »107 de façon à mettre l’accent sur l’effroi que provoque le surgissement du Blanc. L’indication scénique nous apprend que le chœur, à la survenue de ce dernier, demeure « terrifié » (L.C.T., p. 16). Non que le portrait physique du