Les Causes Du Fanatisme

progrès de la science et de la philosophie à partir du 18 ème siècle vont remettre en question les vérités de la religion. On peut distinguer trois attitudes critiques : Le déisme (Voltaire) critique les grands monothéismes et surtout le fanatisme religieux qui génère de la violence sociale.L’agnosticisme n’affirme pas ni ne nie l’existence de Dieu.L’athéisme est la doctrine scientifique et philosophique qui affirme que Dieu n’existe pas.Exemple 3  : En 2005, le philosophe français

constitution telles que leur sécurité et leur bonheur futurs semblent assurés avec le plus de probabilité. » Thomas Jefferson, Déclaration d'indépendance des Etats-Unis d'Amérique II - Différents aspects de ce siècle A – Le changement de mentalité Deux causes directes : 1 – les voyages : Asie, Perse, Amérique.. .  récits de voyage : découverte d'autres cultures, religions (Voyage autour du monde, par la frégate du Roi La Boudeuse et la flûte L'Étoile de Bougainville)  notion de la relativité de la

liberté ne sont-elles pas à réaliser conjointement sous la forme d’un impératif moral de prise de pouvoir et de responsabilité, cette raison que j’affirme alors être universelle et mienne singulièrement à la fois palliant l’absence de connaissance des causes qui me déterminent à mon insu ? I – La conscience comme connaissance est une condition de ma liberté • La conscience comme substance pensante nous rend « comme maîtres et possesseurs de la nature » (Descartes) Elle me permet de connaître les

amoureuse (Cunégonde), et la tranquillité. Entre-temps, il s’est fait une idée plus précise du monde et des hommes, en découvrant des civilisations différentes, et des comportements parfois trop semblables (comme la méchanceté, la malhonnêteté, le fanatisme, l’égoïsme, la cupidité…). Candide est aussi un roman d’apprentissage qui nous montre un innocent qui découvre les bassesses humaines. (résumé de l’oeuvre en cas d’étude de l’oeuvre intégrale en classe) Le passage étudié du « nègre de Surinam

nous lui donnons. Les autres hommes sont déterminés à agir sans sentir, ni connoître les causes qui les font mouvoir, sans même songer qu’il y en ait. Le philosophe au contraire demêle les causes autant qu’il est en lui, & souvent même les prévient, & se livre à elles avec connoissance : c’est une horloge qui se monte, pour ainsi dire, quelquefois elle-même. Ainsi il évite les objets qui peuvent lui causer des sentimens qui ne conviennent ni au bien-être, ni à l’être raisonnable, & cherche ceux

amoureuse (Cunégonde), et la tranquillité. Entre-temps, il s’est fait une idée plus précise du monde et des hommes, en découvrant des civilisations différentes, et des comportements parfois trop semblables (comme la méchanceté, la malhonnêteté, le fanatisme, l’égoïsme, la cupidité…). Candide est aussi un roman d’apprentissage qui nous montre un innocent qui découvre les bassesses humaines.(résumé de l’oeuvre en cas d’étude de l’oeuvre intégrale en classe) Ces dernières lignes de Candide s’articulent

récurrents dans le conte : l'écriture de Voltaire est parodique; s'il reprend les marques du conte traditionnel, c'est pour ensuite les parodier en les pervertissant. En effet, le monde merveilleux du conte n'existe que dans l'Eldorado : les malheurs, aux causes naturelles ou humaines, s'additionnent les uns aux autres sans répits. Les récits présentent d'autres destins malheureux. Cunégonde a été blessée, humiliée, violée ; la vieille et Paquette aussi. Achmet III a été détrôné ; Ivan, Charles-Edouard et

exemple la fiction afin de faire réfléchir son public sur la société du XVIIIème siècle tout en le critiquant de manière implicite à travers son conte philosophique Candide publié en 1759. Pour cela Voltaire, dans son œuvre éponyme, fait une satire du fanatisme religieux (chapitre six) ou encore de l’optimisme (chapitre six) ; crée une société utopique avec l’Eldorado ; rend compte de l’enfer que les Européens font vivre aux peuples de l’Amérique grâce à un récit réaliste de la condition d’esclave...De

faits aux dieux pour l’Etat. La tête voilée et prononçant les mots fixés en s’immolant eux-mêmes. » « Ceux qui ont obéit aux injonctions qui leur étaient signifiées ont accru l’Etat. » « Gracchus (consul) qui se rendait compte que l’affaire allait causer des craintes à l’ensemble des citoyens préféra avouer l’erreur qu’il pouvait cacher d’attacher à l’Etat une faute. » Chapitre III 7,8. La question pour Cicéron n’est pas encore du tout une question de foi. Elle est celle de la prescription de

la vie en collectivité et des dommages causés par la société et enfin, elle consolerait de la détresse de l’homme face à la mort. Là où la société ne peut donner de réponse, la religion le fait. La plus grande peur de l’homme et la mort. Or la religion est rassurante car elle donne un sens à toute chose, comme le dit Hobbes : « la religion serait la science des âges sans science ». L’être humaine recherche ainsi dans la religion la vérité absolue, les causes de don origine et celle de sa disparition