Les Apports De Herbert Simon

pour la première fois par l'économiste Ronald Coase, dans son article The Nature of the Firm (1937). Il explique que : « Lorsque l’on souhaite opérer une transaction sur un marché, il est nécessaire de rechercher son ou ses cocontractants, de leur apporter certaines informations nécessaires et de poser les conditions du contrat, de conduire les négociations instaurant ainsi un véritable marché, de conclure le contrat, de mettre en place une structure de contrôle des prestations respectives des obligations

ancien λόγος logos, signifiant « discours, parole »2. Le terme est popularisé par Auguste Comte dans le sens d'une « physique sociale » à partir de 18393. L'emploi du mot sociologie serait né d'une petite querelle : Auguste Comte, secrétaire de Saint-Simon de 1817 à 1823, veut reprendre l'idée de création d'une science de la société. Il la nomme d'abord « physique sociale » ; mais le Belge Adolphe Quetelet l'utilise déjà pour désigner des travaux statistiques portant sur les phénomènes sociaux. Le mot

acquis profite toujours à quelqu'un." [ Paul Léautaud ] "La seule façon d'être suivi, c'est de courir plus vite que les autres." [ Francis Picabia ] "Le tact dans l'audace, c'est de savoir jusqu'ou on peut aller trop loin." [ Jean Cocteau ] "Quand on apporte une mauvaise nouvelle, personne ne pense à vous offrir à boire." [ Marcel Pagnol ] "La poubelle est le meilleur des accessoires de rangement." [ San Antonio ] "Arsenic : arme adroite pour faire passer l'arme à gauche." [ Martial Villemin ] "Verre

pyramide des besoins Pour Maslow ce qui motive un individu c’est la satisfaction des besoins, et il n’est sensible au besoin d’un niveau que si les niveaux précédents sont satisfaits. 1.3 Les enrichissements de l’analyse des agents 1.3.1 Herbert Simon Il récuse la logique mécanique et scientifique de l’école classique. Pour lui plusieurs éléments influencent la décision : -l’information disponible : le décideur ne connaît pas forcément tous les éléments pour prendre une décision optimale

– la cohérence de la politique générale de l’entreprise et de son projet organisationnel avec les décisions stratégiques et opérationnelles ; – la réciprocité, c’est-à-dire que le salarié doit avoir le sentiment d’un juste rapport entre ce qu’il apporte à l’entreprise et ce que l’entreprise lui donne en retour (rémunération, avancement, statut…) ; – l’appropriation qui correspond au niveau d’identification, par le salarié, aux valeurs et objectifs de l’organisation. D Les effets organisationnels

50, on a développé l’enseignement du management et de la gestion. Les principaux auteurs qui ont travaillé sur le management sont Peter Drucker et Chester Barnard. Les principes de management que ces deux auteurs développent sont enrichis par les apports des théories (X, Y, Z) psychosociologiques des organisations. Elles ont influencé le degré de décentralisation des décisions mais aussi le mode de découpage de l’entreprise et le rôle des valeurs culturelles. L’étude du comportement des organisations :

continué à perfectionner la démarche d’enseignement centrée sur les cas. Autour de cette démarche, des sociétés de conseil prestigieuses se sont constituées et ont créé une véritable industrie du management stratégique2. Ce faisant, elles ont aussi apporté des améliorations sensibles à l’analyse stratégique traditionnelle et préparé l’objectivation et le rapprochement des disciplines scientifiques qui allaient suivre. Depuis les années 1960, la conceptualisation de la stratégie s’est poursuivie sans

électoral de la social-démocratie en Europe de l’Ouest est une réalité, et même une réalité qui s’accélère. Si cette tendance moyenne se poursuit, il est possible que certains partis deviennent relativement marginaux dans les systèmes partisans. Herbert Kitschelt suggérait en 1994 que les partis sociaux-démocrates, plutôt que d’être des partis « attrape-tout », devraient se concentrer sur le soutien de groupes sociaux limités mais significatifs, leur permettant d’être des « pivots » indispensables

être » (en s'appuyant sur les faits, ce qui relève du positivisme). Les prémices de la sociologie : la « science de l'homme » de Saint-Simon Sur le plan scientifique, l'homme est désormais au centre de toutes les préoccupations, car l'ère moderne correspond à une émancipation de l'individu dans la société. D'où le développement d'une « science de l'homme » par Saint-Simon, qui serait une sorte de « physiologie appliquée à l'amélioration des institutions sociales » (Cuin et Gresle, 1996). Positivisme :

Dans les années 1930, le concept fut utilisé sous la plume d'écrivains pro-nazis. Carl Schmitt employait ce terme pour mettre en lumière la crise du libéralisme et du parlementarisme et exprimer la nécessité d'une politique plus autoritaire[11] . Simone Weil écrivait en 1934 : « il apparaît assez clairement que l'humanité contemporaine tend un peu partout à une forme totalitaire d'organisation sociale, pour employer le terme que les nationaux-socialistes ont mis à la mode, c'est-à-dire à un régime