Les Apports De Bale Iii

15 II- des dysfonctionnements microéconomiques 20 III- Des pratiques financières à haut risque 22 Section 2 : Les effets de la crise financière sur l’économie mondiale 23 I- les effets sur le système financier et bancaire 23 II- les autres effets néfastes de la crise sur l’économie mondiale : 26 Section3 : Les interventions pour endiguer la crise 31 I - Défendre la solvabilité des emprunteurs 31 II - La politique monétaire 33 III- Nationalisation et structures de défaisance 37 Chapitre

imposées. A quoi sert le capital-risque ? 3 Le recours à une société de capital-risque s’impose lorsque les solutions traditionnelles ne permettent pas le financement du projet. L’intervention de ces sociétés prend le plus souvent la forme d’un apport en fonds propres complété éventuellement par des titres de dette. Le financement en fonds propres peut recouvrir trois formes principales, à savoir la souscription d’actions, l’apport en compte courant, la souscription de titres optionnels donnant

ECONOMIQUES Mémoire de Fin d’Etudes de magister en Sciences Economiques Option: Monnaie-Finance-Banque Thème La réglementation prudentielle des banques et des établissements financiers en Algérie et son degré d’adéquation aux standards de Bâle 1 et Bâle 2 Présenté par : M. BENAMGHAR Mourad. Encadré par : Le Professeur AMMOUR Benhalima Membres du jury : Président du jury : Melle BOUZAR Chabha, Maître de conférences « A », UMMTO. Rapporteur : Mr. AMMOUR Benhalima, Professeur, U/ Alger

André Roy Architecte Page iii Essai (projet) Décembre 2008 Catherine Brulotte Avant propos Je tiens personnellement à remercier Denise Piché et Geneviève Vachon pour leurs supports et leurs précieux conseils tout au long de cet essai (projet). Je remercie également François Dufaux lors de l’établissement des prémisses du projet. Je remercie Mylène Fournier du Centre Montérégien de Sorel-Tracy et François Routhier du Centre François-Charon pour leur apport de connaissance en matière

encadrement et orientation, ainsi que l’ensemble du corps professoral de l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion d’Agadir pour la formation qu’ils nous ont assurée. - Mesdames et Monsieurs membres du jury pour s’être penchés sur ce travail et apporté leurs pertinentes remarques et observations. -Ainsi que tout le staff de la succursale de la banque populaire et de l’agence ALFIDDIA y rattachée. SOMMAIRE REMERCIEMENTS ABREVIATIONS INTRODUCTION GENERALE PREMIERE PARTIE : APERCU THEORIQUE

................21 II.2 : Les soutiens et les plans de relance des pouvoirs publics...........................................30 III : Quels enseignements pour la BCEAO ?...................................................................32 III.1 : Des mesures proactives..............................................................................................35 III.2 : Avec des équipes mixtes de recherche.......................................................................39 Conclusion.....

de la concurrence 9 Section 2: 12 2. la réglementation prudentielle internationale : bale I & bale II 12 2.1. Les normes prudentielles – Le Comité de Bâle 1 : de 1974 à 1998 Les premiers aboutissements: Le Ratio de Cooke 12 2.1.1. Le contexte de la création du Comité de Bâle en 1974 12 2.1.2. Les objectifs dédiés du Comité de Bâle 13 2.1.3. Les premiers aboutissements du Comité de Bâle : Le Ratio de Cooke 13 A- Le contexte de la création du Ratio de Cooke 14 B- Définition

réguler les systèmes en place. On suivi plusieurs logiques dans la mise en place de régulation : Les évolutions de la réglementation prudentielle bancaire (Bâle III) : On a en effet exigé des banques le respect de certains principes de gestion de liquidité est consubstantiel à un développement harmonieux de la globalisation financière Bâle III se concentre principalement sur la solvabilité des banques. Il s'agit de renforcer aussi bien le niveau que la qualité des fonds propres pour permettre aux

traitée qui peut s'avérer défaillante. 1.2.3  Le risque opérationnel  Fraude, bug informatique, incendie des locaux... ; les grands sinistres bancaires sont souvent dû au risque opérationnel (Barings, SG). Selon le document consultatif du comité de Bâle, les risques opérationnels se définissent comme les risques de pertes directes ou indirectes résultant de l'inadaptation ou de la défaillance de procédures, de personnes ou de systèmes ou résultant d'événements extérieurs ("the risk of direct or

Etats-Unis a décliné ces dernières années au profit du Royaume-Uni et de la zone euro, précise l'étude. Le FSB souligne que le "shadowbanking" risque de se développer davantage encore en réaction aux nouvelles règles de solvabilité bancaire dites de Bâle III, qui prévoient d'obliger les banques à renforcer considérablement leurs fonds propres pour prévenir des difficultés qui contraindraient les Etats à les renflouer avec l'argent du contribuable. Il plaide donc pour un renforcement de la réglementation