Les Âmes mortes

une certaine impossibilité possible. Dans sa Poétique Aristote introduit la notion de catharsis qui unit tous les sens ensemble et ne donne de véritable sens à la vie qu'au point culminant, dans les tragédies grecques c'est le moment de la mort du personnage. Cela explique le rapport entre la tradition du théâtre classique et le modernisme de la théorie d'Artaud. Il cherchait à relancer la catharsis au sens antique : la purification doit être réalisée hors de l'art, mais par les moyens artistiques

existences.Il suit la structure des Maximes capitales où Epicure présente les 4 principes (maximes) fondamentaux de l’éthique : I. Seul le divin est bienheureux et incorruptible : il n’éprouve ni soucis ni passions et n’en cause pas à autrui II. La mort est absence de sensations, elle ne peut donc nous causer aucune souffrance III. L’absence de douleur est le plus bas degré du plaisir. Douleur et plaisir s’excluent mutuellement, ils sont contradictoires. IV. Le plaisir l’emporte sur la douleur qui

reprises, dans le texte, la femme au thème de la mort, il se demande si l’amour ne sera pas pour lui la source de tous les dangers : « T’es tell’ment [...] belle / Un cadeau de la mort » (l. 15-16). La métaphore de la ligne 16 montre bien le doute qui germe dans l’esprit du narrateur. Cette femme, trop bien pour lui, n’est-elle qu’un mauvais présage, un cadeau empoisonné? Le mot de vocabulaire appréciatif « cadeau » s’oppose en quelque sorte au mot « mort » qui annonce un danger. En ce sens, cette métaphore

avec lui le charme de l'inconnu et le parfum de lointain que les âmes isolées aiment à respirer. Les plus grandes séductions peut-être que l'histoire des passions pourrait raconter, ont été accomplies par des voyageurs qui n'ont fait que passer et dont cela seul fut la puissance… L'austère capucin qui parlait alors de l'Enfer, avec une énergie de parole qui rappelait le formidable Bridaine, ne paraissait pas fait pour semer dans les âmes autre chose que la crainte de Dieu, et il ne savait pas, et les

richesse sombre, vivent discrètement des peintures béates, calmes et profondes, comme les âmes des artistes qui les créèrent. Les soleils couchants, qui colorent si richement la salle à manger ou le salon, sont tamisés par de belles étoffes ou par ces hautes fenêtres ouvragées que le plomb divise en nombreux compartiments. Les meubles sont vastes, curieux, bizarres, armés de serrures et de secrets comme des âmes raffinées. Les miroirs, les métaux, les étoffes, l'orfèvrerie et la faïence y jouent pour

richesse sombre, vivent discrètement des peintures béates, calmes et profondes, comme les âmes des artistes qui les créèrent. Les soleils couchants, qui colorent si richement la salle à manger ou le salon, sont tamisés par de belles étoffes ou par ces hautes fenêtres ouvragées que le plomb divise en nombreux compartiments. Les meubles sont vastes, curieux, bizarres, armés de serrures et de secrets comme des âmes raffinées. Les miroirs, les métaux, les étoffes, l'orfèvrerie et la faïence y jouent pour

à l’intérieur de notre être qui nous suit partout jusqu’à la mort d’où l’expression : « rendre l’âme ». L’âme utilise donc une enveloppe afin de s’exprimer, comme un corps humain ou alors un corps animal. C’est donc notre personnalité, notre manière de penser, et tout ce qui l’entoure qui utilisent une enveloppe corporelle pour la durée d’une vie. Le plus grand questionnement au sujet de l’âme se porte surtout sur le moment de la mort. Qu’arrive-t-il avec l’âme? Meurt-elle avec le corps ou alors

exemples des sacrifices humains (comme celui d’Iphigénie) pour montrer qu’un crime peut être considéré comme un acte pieux. De même, la religion traditionnelle est impie lorsqu’elle affirme que les dieux réservent des châtiments et des peines aux âmes après la mort. En parlant continuellement de ces châtiments, la religion contribue à entretenir les craintes, les tourments et le malheur qui affligent les hommes.’’ Intervieweur : wow, merci beaucoup Mme Élina. Donc chers auditeurs, auditrices, Mme Élina

publié en 1857 qui rassemble des poèmes écrits par Charles Baudelaire. C'est un poète qui se situe à la croisée de la poésie classique, romantique et parnassienne. La poésie classique et romantique traite de thème comme « le temps qui passe » « la mort » « l'importance du moi » et la poésie parnassienne centre son intérêt sur la qualité esthétique, une cherche de la perfection des vers dans des vers en alexandrins et des poèmes à formes fixes. Il est le précurseur de la modernité dans la Poésie puisqu'il

va-t-ellenous emmener sur des pistes capables de nous induire en erreur ? Va-t-elle nous proposer une histoire abracadabrante ? Connaissant Villiers de l’Isle Adam et ses Contes cruels, nous savons à quoinous attendre. Ce texte parle sûrement de la mort. Analyse littérale : Tout commence une matinée de novembre, grise et pluvieuse. L’ambiance est déjà sombre, froide et triste. Le narrateur (je)explique qu’il a un rendez-vous d’affaire accepté la veille. En s’abritant de la pluie, il découvre un