Les Âmes mortes

lumière, aucun souvenir (à moins que l’âme du mort ne boive le sang du sacrifice). Il n’y a que moisissures et ténèbres.    Là, Ulysse convoque les morts. C’est ce qu’on appelle la Nékuia : Ulysse creuse une fosse autour de laquelle il verse les libations (lait mêlé de miel, du vin puis de l’eau), et répand par-dessus la farine blanche. Après avoir prié les morts et promis des sacrifices, il fait couler le sang des bêtes sur la fosse : « Alors les âmes des morts qui ne sont plus surgirent en nombre

ait une cause ou du moins une raison déterminante. Là encore, la réalité atroce des faits est niée par un vocabulaire pédant et théorique. Quand à l’imprécision désinvolte de l’évaluation : « Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes », elle confirme que pour l’élève de Pangloss la guerre n’a rien de choquant et se réduit à un simple décompte de victimes ; l’impression « le tout » ajoute à la déshumanisation des individus en les transformant en choses. Dans la dernière phrase

politiques grecques . Pythagore était mathématicien mais aussi un politicien, mais aussi philosophe Une diversification politique apparaît, et une spécialisation des auteurs en politique . A) L'œuvre d'Hérodote . Il est né vers 480 avant JC et mort vers 420 . C'était un reporter, chroniqueur, il découvrait des peuples d'on il racontait les histoires . Il était célèbre pour ces livres qui parlait de l'organisation des pays qu'il traverse . Il va prendre des personnages fictifs et décrire

procédera ensuite à la cérémonie pour le purifier du sang qu'il a versé, celui des Centaurs notamment. Il passera ensuite plusieurs jours dans le temple pour l'initiation proprement dite. Il en ressortira prêt pour sa tâche ayant vaincu sa peur de la mort. Il se rendra ensuite au temple de Poséidon et trouvera l'entrée des enfers juste à côté du temple dans une grotte, comme prévu. La visite au royaume d'Hadès Une fois entré dans la grotte, Héraclès se retrouve dans l'obscurité totale et doit

« ouvre de longues bouches pâles »« festin de Balthasar » « cannibale » ; « anthropophage »« un petit goût empyreumatique qui n’est ma foi pas désagréable »« le festin serait plus beau encore » « si le ciel y mangeait avec la terre »« il n’avale que les âmes » « jongler avec des feux versicolores »Métaphore des obus, transforme la guerre comme si c’était quelque chose à contemplerinversion spectacle/spectateur, fusées qui contemplenttransformation nature → alchimiepersonnification des fusées, rend plus

sait alors qui sont les témoins, et dans le dialogue, on apprendra l'attitude de Socrate face à la mort. Le thème générale est la question de l'âme, ce qui arrive à l'âme après la mort par exemple, si elle est immortelle. Platon est idéaliste, pour lui l'âme survit au corps, il se détache donc des philosophes précédents, qui eux pensaient souvent que l'âme et le corps ne formaient qu'un. « Et être mort consiste bien en ceci : le corps isolé, une fois séparé de l'âme, est devenu lui-même, tel qu'en

lents est conduit ! Oui, qu'il vole à la fosse, à la tombe, à la nuit, Comme une feuille d'arbre ou comme une âme d'homme ! Qu'il roule au gouffre où va tout ce que la voix nomme ! Qu'il tombe au plus profond du sépulcre hagard, A côté d'elle, ô mort ! et que là, le regard, Près de l'ange qui dort, lumineux et sublime, Le voie épanoui, sombre fleur de l'abîme ! V Ô doux commencements d'azur qui me trompiez, Ô bonheurs ! je vous ai durement expiés ! J'ai le droit aujourd'hui d'être, quand

de 6’8’’, pesant 200 livres de muscles et les cheveux brun. Il n’avait plus de boutons ni de broches, ni de lunettes. Il était rendu parfait à ses yeux. Au même moment, le père Synette entrait dans sa chambre pour lui annoncer que les Bérubé étaient mort dans un accident tragique sur l’autoroute 12 près du parc de paintball. Lorsqu’il vit Alphonse, il fut pris de panique, car il croyait que c’était un voleur. Synette parti en courant pour aller appeler la police mais il déboula les escaliers. Alphonse

devoirs, le croyant est puni, il peut lui être interdit d’entrer dans une église ou encore d’être privé de sépulture chrétienne après sa mort (doc 2), ce qui est inimaginable pour un fidèle au Moyen-Age. En exerçant tous ces rites, les chrétiens espèrent obtenir leur Salut lors du jugement dernier. C’est-à-dire qu’ils veulent avoir la vie éternelle après la mort, donc d’aller au Paradis plutôt que de périr en Enfer. Nous en venons maintenant à l’Eglise Occidentale. D’abord, étudions la

Introduction      Le poème Mors de Victor Hugo que nous allons étudier est un poème de 20 vers qui nous présente le triomphe absolu de la mort, par la description d'une atmosphère d'apocalypse que les deux derniers vers ne parviennent peut-être pas à dissiper. Le poème s'organise autour d'un double jeu de sensations. D'une part, la sensation visuelle, largement développée dans les dix premiers vers, introduite par le passé simple "je vis"; d'autre part la sensation auditive développée à partir