Leon Bourgeois Le Radicalisme

s’affaiblissent. Le courant légitimiste disparaît en même temps que le Comte de Chambord meurt en 1883. Le traditionalisme, notamment chez les catholiques reste important ; tous les catholiques n’ont pas rallié la République comme le demandait le pape Léon XIII. On les retrouvera lors de l’affaire Dreyfus. Surtout, il y a un grand oublié à cette époque, le monde ouvrier. De fait, émergent des courants socialistes qui relaient les revendications ouvrières comme le Parti Ouvrier français de Jules Guesde

révolution et la démocratique rentrent dans les mœurs. Ce sont les représentants du Tiers Etat qui vont mettre en place les cahiers de doléance. Ce mouvement lancé de façon désorganisée va engendrer une ébullition sociale importante de la part des bourgeois et des paysans éclairés. Ceux-ci vont dénoncer les injustices, surtout les seigneuries sont montrées du doigt. C’est le fruit d’un enchainement d’évènements qui ont conduit à une radicalisation du Tiers Etat et d’une partie de la noblesse. Ce n’est

groupe « Chevau-légers » qui sont les plus réactionnaires car sont partisans d’une restauration de société d’ancien régime, ils sont aussi ultramontains car considèrent que l’Eglise de France doit être dirigée par le Pape. Groupe de nobles et grand-bourgeois : se sont les Orléanistes partisans de la famille d’Orléans soutenant le comte de Paris. Centre-droit libéral proche des milieux d’affaire et favorable à un régime parlementaire libéral mais veulent un état capable de maintenir l’ordre. Ces députés

pour être l’un des seuls généraux républicains. Personne ne pouvait contester son républicanisme. Il a pu compter sur l’appui des notables et le suffrage de l’électorat conservateur des campagnes et des villes. - Ledru-Rollin : expression du radicalisme démocratique. Patronné par les députés de la tendance montagnarde (gauche radicale). - Raspail : porte-parole de la démocratie teintée de préoccupations socialistes. Aucun de ces candidats ne parviendra à franchir 20 % des suffrages. L’opposition

tradition ininterrompue sauf au temps des Papes Avignon et remontant Apôtre Pierre est pourquoi la formule de Cavour qui est toujours celle de certains partis laïcs glise libre dans un tat libre est pas acceptable pour le Pape il se soit appelé Pie IX Léon XIII ou Paul VI Cette formule tolé rée par les Papes dans des pays comme la France ou les tats-Unis ne peut être en Italie Elle implique séparation de glise et de tat activités parallèles et indépendantes sur ce que Giolitti appelait au début du siècle

pour les débuts de la III° République. Elle porte tout de suite un nom, celui des Jules, du nom de 4 personnalités : Jules Favre, Jules Simon, Jules Ferry, et Jules Grévy (tous républicains). Ils sont accompagnés par 2 hommes politiques de droite, Léon Gambetta et Rochefort. Il faut des institutions et il faut traiter de la situation avec la Prusse. Un gouvernement de défense nationale est alors instaurée. C'est le général Trochu qui est nommé. Il est ouvertement orléaniste et conservateur, et donc

Guerre est la principale raison qui incite à la nostalgie, quelles sont les réalités et les limites d’un passé récent embelli par la mémoire qui l’élève au rang de mythe ? Mots-clés Régime parlementaire Président du Conseil majorité républicaine radicalisme anticléricalisme nationalisme empire colonial dreyfusards (antidreyfusards) instabilité anarchisme syndicalisme modernisme bourgeoisie instruction publique exode rural urbanisation Cubisme Suprématisme Art abstrait Séquence 3-HG13 61 ©

 : la guerre et la Commune (Éric Fournier) Mardi 24 mars 10 – Le Paris de l’Ordre Moral (Éric Fournier) Mardi 31 mars11 – Mutations de la capitale et naissance de la banlieue (Philippe Boutry) Mardi 14 avril12 – Paris, entre radicalisme et nationalisme (Vincent Robert) Mardi 21 avril*** En guise d’introduction générale, un premier cours sur Paris et ses écrivains . Il y a plusieurs manières de découvrir Paris : immobile

ses thuriféraires patentés. Il est fort compréhensible que dans cette époque où l’Affaire Dreyfus déchirait des familles, où Paul Déroulède (tiens, mort comme Jaurès en 1914) faisait son rodomont, où la papauté toujours pendulante se cabrait (après Léon XIII vint Pie X…), Jean Jaurès ne trouve pas le mot tolérance…du moins dans son éditorial ci-contre. En ce temps-là on se provoque en duel pour trois fois rien (ce qui n’est pas rien comme on sait) et Jaurès n’y manqua pas ¹. Jaurès se voulait prophète

la Convention nationale le 24 juillet 1793. Madame Tallien, Reine des Merveilleuses À partir d'octobre 1793, toute autonomie des femmes est bannie de la vie politique[précision nécessaire]. Les plus politisées qu'elles soient "enragées" comme Pauline Léon, Claire Lacombe, "girondines" comme Olympe de Gouges, Théroigne de Méricourtou Manon Roland, contre-révolutionnaires, comme Marie-Antoinette ou Charlotte Corday sont réprimées, voire exécutées. Le procureur de la Commune de Paris, Pierre-Gaspard Chaumette