Leibniz Cette Considération

comprenant une moralité, un enseignement explicite ou non, c’est la phrase finale du texte: «il faut cultiver notre jardin». Ce conte représente l’esprit des Lumières et de ses grandes luttes, puisque Voltaire y dénonce en particulier la philosophie de Leibniz, mais également diverse aspects d’injustices comme les abus de l’Eglise (le chapitre 6 sur «l’autodafé»), du pouvoir (chapitre 3: «La guerre»), ainsi que l’esclavage (chapitre 19: “Le nègre de Surinam”). De plus, c’est une œuvre qui propose constamment

Allemagne aucun détail sur le paysage Quand : pas précisé Qui ; les personnages : Le baron, consonance germanique, respecté, appelé « monseigneur » La baronne dont on ne sait qu’un détail , son poids qui lui attire respect et considération cliché sur la lourdeur de cette femme au sens propre et au sens figuré La sœur du baron, mère présumée de Candide, refuse d’épouser le père, gentilhomme campagnard, parce qu’il n’est pas assez noble, satire de la noblesse Le fils du baron

I- L’INCONSCIENT FREUDIEN A- Le concept d’inconscient. 1) L’idée qu’une partie de notre psychisme échappe à la conscience n’est pas nouvelle, et elle est même "dans l’air" à la fin du XIXe siècle : a) Leibniz et les petites perceptions (Nouveaux Essais, Préface, pp.41-42) Avant Freud, certains philosophes avaient déjà montré que la représentation cartésienne du psychisme humain était insuffisante. Pour Descartes, l'esprit s'identifiait avec la conscience, avec la

borné, mais intelligent et libre; juge infaillible du bien et du mal ». Paradoxalement, il existe également chez l'espèce humaine, une partie de la conscience, inconnue, si ce n'est qu'elle se manifeste de différentes manières: l'inconscient. Leibniz affirme qu'il y a , à tout moment, en nous, une infinité de perceptions, c'est à dire des changements dans l'âme même dont nous ne nous apercevons pas, parce que les impressions sont ou trop petites et en trop grand nombre ou trop unis, en sorte qu'elles

Au milieu du 18e siècle, Voltaire à écrit Candide. Il écrit ce conte pour combattre la philosophie optimiste « tout va bien ». On a dans Candide tout ce qui touche le monde de Voltaire et on y trouve toutes les idées combattues par Voltaire. Leibniz dit que tout va bien. Voltaire vit dans un monde du 18e siècle ou il y a des guerres dans lequel il va y jeter Candide. On voit dans le livre qu’il y a des tempêtes, des tremblements de terre, guerre, des comportements individuels (haine). Candide

// « Le tout »=morts. *Compatibilité : énumération des chiffres et du total final sans manifeste d’émotions= importance des chiffres : opinion de l’auteur ? + Approximation désinvolte « à peu près », « le tout » : déshumanisation des morts et considération dans un ensemble uniforme. Images de la « boucherie héroïque » *Voltaire fait voir les évènements à travers les yeux de Candide, qui découvre les effets de cette « boucherie » en passant dans un village qui a été détruit et dont les habitants

qu’il faut déduire d’un récit ou d’un discours. Cela concerne les Fables ou les apologues, qui sont des récits plaisants et divertissants qui ont pour but de délivrer une leçon de morale. Dans Candide, Voltaire cherche à s’attaquer à la thèse de Leibniz, laquelle énonçant que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Il va ainsi la mettre à l’épreuve en faisant sortir son protagoniste, Candide, de son château utopique de Thunder-ten-tronckh pour qu’il puisse affronter le monde réel. À travers

Vade-mecum sur la liberté Considérations préliminaires Il convient tout d’abord de bien se rappeler que la liberté n’est pas une réalité concrète. Le mot désigne une abstraction qui se tire de la qualité de certains de nos actes. 1 – nous sommes, voilà le concret ; 2 – nous posons des actes concrets ; 3 – certains de ces actes sont des actes libres. Nous appelons liberté la qualité des actes libres. En tant que capables de poser des actes libres nous pouvons nous-mêmes être qualifiés de libres

Le baron est un personnage puissant et digne qui est définit comme « un des plus puissants seigneurs de Westphalie », qui jouit de la considération et de l’admiration de son entourage : « ils riaient quand il faisait des contes ». Il en est de même pour la baronne, caractérisée elle aussi par sa dignité, ce que met en relief le lexique, « très grande considération », « honneurs », « dignité », « respectable ». Les enfants ne sont que de pâles reflets de leurs parents : Cunégonde est réduite à son

le début de l’action. Comment cet incipit annonce, présente ce qu’est un conte philosophique chez Voltaire ? Nous verrons dans un premier temps l’univers du conte, puis le détournement ironique, et enfin la satire d’une philosophie (optimisme de Leibniz). I. Un conte philosophique : l’univers du conte 1) « Il y avait en Vestphalie … » -> introduction semblable à un conte. 2) Personnages de haut rang (titres). Les personnages sont des types comme des contes traditionnels (ex : Candide