Le Sérieux Du Comique

différents) au v.28 ; gradation au v.12 dans la réplique de Dona Sol 2) la liberté le registre burlesque (consistant à traiter un sujet noble ou sérieux de manière comique) montre comment Hugo lui-même fait preuve de liberté pour parler de l’héroïsme, de la royauté (le roi dans une armoire !). Comique de la réplique du roi (v.30). La liberté apparaît aussi dans la versification : il s’agit d’alexandrins mais il y a de nombreuses exceptions : v.22 : 6 pieds

Frosine flatte H aisément jusqu’à un degré évidemment ridicule, mais H ne comprend pas ce manque de sincérité: “par ma foi, je disais cent ans, mais vous passerez les six-vingts”. H est vain et, dans cette scène, assez stupide. Ceci a un effet comique, mais cette comédie ne masque guère le caractère malade et tragique de H. • H n’accepte pas le rente virtuel de douze mille livres proposé par Frosine, grâce aux goûts simples de Mariane: “il faut bien que je touche quelque chose”. Il faut que

contrastent avec le caractère sérieux de son cousin. Enfin, son attachement à l’argent introduit dans la pièce des considérations prosaïques propres à la comédie. (qui manque d’élégance, qui est vulgaire ou banal) Dans la préface de Cromwell, Victor Hugo dit que dans le drame, le grotesque doit côtoyer le sublime pour souligner par contraste sa beauté. Et c’est ce qu’il fait dans Ruy Blas puisque Don César est un personnage grotesque. Hugo le montre par les quatre types de comique dans l’acte IV : Les jurons

fait le rôle d’un comique qu'il n'aime pas. Ce document offre deux points de vue sur le rôle d’un comique. Le second document est un article provenant du journal Le Figaro paru le 23 avril 2010 intitulé « De Gad Elmaleh à Florence Foresti, le rire fait recette » et rédigé par Nathalie Simon. Ce document démontre que les français aime rire d’une part pour les spectacles qui font rire tels que les one-man-shows qui font salles combles et d’autre part par l’augmentation des comiques sur les planches

 La colonie, pièce comique de théâtre écrite par Marivaux et parue en 1750, à pour thème la condition sociale des femmes au XVIII siècle. Cette œuvre dénonce leurs conflits et revendications vis-à-vis de hommes afin d’obtenir plus d’égalité entre les deux sexes, aussi bien au niveau politique que sociale ainsi que l’incompréhension de ces derniers quant à cette ambition qui révolutionnerait tous les mœurs établis par eux depuis longtemps. C’est avec humour et ironie, que l’auteur nous expose ce

jeunesse, par rapport à Maître Blazius et Dame Pluche. 3) Une entrée dans le monde Nous sommes ici, à la scène d’exposition, à un moment clé de la comédie : la fin des études. Ce basculement est souvent, en comédie, générateur de renversement comique. C’est le moment du passage entre l’enfance et l’âge adulte : entre les 2, se déroule le mariage et celui-ci est le sujet type de la comédie. Si le jeune Perdican et la jeune Camille arrivent le même jour au château, cela est convenu. Le père est

persuasif de son discours…( cf. p. 164). Comment réagissent Gargantua et ses compagnons ? Par un grand éclat de rire, qui va contaminer Janotus qui finira par rire aussi, de lui-même donc ! Ce langage qui écorche le latin est devenu un spectacle comique, et la raillerie est ici moins cruelle que dans Pantagruel, elle illustre la maxime présente dans le dizain liminaire de Gargantua : « mieux est de rire que de larmes escripre/ Pource que rire est le propre de l’homme ». Mieux vaut rire que pleurer

ses pensées sur un journal. Il semble être sérieux en exposant ses espérances de neutralité, car la mort lui doit une dette. Beckett surprend le lecteur avec un Malone qui ne redoute pas la mort et n’éprouve plus aucun attachement à la vie. Ce thème au premier abord est traité avec importance cependant le lecteur assiste à un renversement de situation lorsque Malone cesse les éloges sur la mort pour agresser le lecteur. Ses derniers mots du registre comique rappellent qu’il n’écrit que pour combler

tendance à transformer les notions comiques en évènements graves, qui touchent la fatalité et la mort. Dans quelle mesure cette pièce de théâtre dépasse-t-elle la classification générique de « comédie » choisie par Musset ? Cela nous amène à réfléchir sur la dimension comique de l’œuvre. Ensuite nous analyserons la fatalité du destin tragique. Puis nous étudierons le drame romantique au sein de l’œuvre. Musset a donné comme registre pour son œuvre le comique. Les différentes associations

Commentaire rédigé : Le Roman comique (1651-1657). Scarron Paul Scarron né en 1610 et mort en 1660, est un écrivain français du XVIIe siècle sous le règne de Louis XIV. En1638, il est atteint de paralysie, ses membres inférieurs se replient. Il entreprend, alors, de faire rire de lui même et des autres. Ainsi il se spécialise dans la poésie burlesque dont il lance la mode. Il peut de montrer très virulent, ce qui lui vaut de se faire retirer ses pensions. En 1652, il épouse une jeune