Le Quiproquo Moliere

Dossier Molière Le 17ème siècle Le 17ème siècle est le grand siècle ou le siècle de Louis XIV et aussi le siècle du théâtre. C’est le temps des fastes de Versailles. Le roi aime danser et jouer la comédie. Molière est à la tête de la troupe du roi et Lully est le musicien du roi. La mise en scène du Bourgeois gentilhomme est somptueuse. Elle est représentée au château de Chambord. En 1670. Genre Le Bourgeois gentilhomme est une comédie ballet, car il y a un ballet turc à la fin de la

spectateur. C'est la répétition d'un mot, d'une phrase ou d'une action par un personnage de l'œuvre, ou d'une situation de cette œuvre. -Le comique de situation : le comique réside dans la situation incongrue ou paradoxale. Il repose sur des quiproquos, des malentendus, ou des conjonctions d'événements. -Le comique de caractère : le comique réside dans la personnalité, les manières, le phrasé, les défauts et les manies des personnages. B)Les différents types de comédies : -La comédie

« Castigat Ridendo Mores » - en riant elle châtie les mœurs - déclarait le dramaturge et acteur Molière au sujet de la comédie au 17e siècle. En effet depuis sa création au sixième siècle avant Jésus Christ par Aristophane la comédie s’est toujours montrée sous deux visages, l’un étant plus subtil que l’autre car à première vue seule la volonté de faire rire prédomine. A partir de cette idée nous allons chercher à savoir si la seule fonction de la comédie est de faire rire. Nous allons d’abord parler

FICHE DE LECTURE : L’AVARE Références : L’Avare, Molière, Nouveaux Classiques Larousse, Larousse, 1971 Résumé. Acte 1 L’histoire se passe dans la maison d’Harpagon, un vieil avare, vivant à Paris. Il est veuf et a deux enfants : Elise et Cléante. Elise aime en secret Valère, un gentilhomme napolitain qui l’a sauvée d’un naufrage et qui s’est fait engager chez Harpagon comme intendant. Tandis que Cléante aime, secrètement aussi, Mariane, une jeune fille pauvre. Harpagon a enterré dans son

son livre Molière ou l’invention comique (1966), Marcel Gutwirth souligne   que « Molière a fort bien compris, toute question de bienséances mise à part, que le comique du cocu vient moins de l’inconduite de sa femme que de l’impuissance du mari ».             Dans quelle mesure ce jugement vous paraît-il pouvoir s’appliquer à L’Ecole des femmes ? I.                     Le comique du cocu vient moins de l’inconduite de sa femme que de l’impuissance du mari 1. Le cocuage chez Molière : un comique

Molière et la Comédie (XVIIe siècle) 1°)Les fonctions du comique Le divertissement (les comédies-ballets, dimension spectaculaire) Critiquer par le sarcasme et l'ironie 2°)Les différents comiques Le comique de geste (Charlie Chaplin) Le comique de situation (quiproquo,...) Le comique de paroles (jeux de mots,.…)
 3°)La comédie Origine antique comme la tragédie, fêtes de Dionysos avec un but satirique Apparition de la farce au XVe siècle (comique de geste et de paroles) Au

recherche en se rendant au théâtre. Molière lui-même fait du rire un élément essentiel de la comédie. Au XVIIe siècle, cette fonction divertissante est l’une des raisons qui font de la comédie un genre moins noble que la tragédie. Pourtant, les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent-ils qu’à faire rire ? Le rire est en effet rarement vain ou gratuit, et la visée pédagogique et morale n’est jamais loin dans la comédie qui aspire, comme le rappelle Molière, à faire rire en instruisant, n’en

spectateurs. Dans les  fourberies de Scapin  de Molière, nous assistons à une scène où le valet, Scapin, veut se venger de son maître Géronte en lui faisant croire qu’il est attaqué par des spadassins étrangers, Scapin va employer beaucoup d’accent différent en exagèrent sur les tonalités pour pouvoir battre son maître qui pense être tapé par ces derniers. Molière a allégrement usé des procédés comiques dans cette scène où le retournement de situation et le quiproquo font de Scapin un personnage qui va beaucoup

faire la part des choses, c'est-à-dire à voir ce qui se passe concrètement. Ces affrontements théâtraux sont renforcés par un autre élément : chaque personnage a sa propre histoire, et sa propre psychologie. Par exemple, Scapin, dans la pièce de Molière, exploité par les pères, va se venger sur les fils. Ce détail intérieur à la psychologie du personnage perd de sa valeur lors de la lecture, alors que lors d'une représentation, l'opposition entre le début et la fin de la pièce est flagrante. Apparaîssent

syllabes dans un ensemble de mots. - le calembour : ressemblance de sons recouvrant une différence de sens. 3) LA SITUATION COMIQUE  Le quiproquo Le quiproquo sur un personnage : le personnage est pris pour un autre. Le quiproquo sur un objet : le nom de l’objet provoque une confusion. (Exemple : Médor le diamant pris pour un chien). Le quiproquo sur un lieu : le personnage se croit dans un lieu alors qui l’ai dans un autre.  Le sous-entendu complice Un personnage connait et comprend