Le Quiproquo Moliere

` XVIIe SIECLE ˆ Une pièce de théatre Nouvelle édition ` MOLIERE L’Avare (ISBN : 9782081209572 – 2,70 €) I. Pourquoi étudier L’Avare en classe de Quatrième ? L’Avare occupe aujourd’hui une place de choix à l’affiche des théatres comme dans les programmes scolaires du collège, peutˆ être pour les mêmes raisons qui ont entravé son succès lors de sa création : le choix de la prose et un héros aux contours très stylisés dont la violence extraordinaire tantôt rappelle les outrances comiques

Sarah SerbTravail d’écriture1DDans un premier temps, nous discuterons de la maîtrise admirable des techniques de composition dont Molière fait preuve sur le plan de l’organisation générale de sa pièce. Tout d’abord, nous nous pencherons sur l’apparition des personnages au cours de la pièce et sur ce que cela révèle quant aux thèmes abordés. Le degré d’apparition d’un personnage peut-être corrélé à la prédominance de certains sujets : Argan, désigné par la périphrase « Le Malade imaginaire », est

du rire une specificité de la comédie est la maniere dont elle fait rire. Le quiproquo et les formules répétitives aident aussi à amener le rire. Pour le comique des gestes, dans les fourberies de Scapin , il fait croire à son maître que les soldats sont a sa recherche.Il le cache dans un sac et profite pour lui donner des coups. Le comique est assuré par les coups de bâton et l'usage du sac. Dans l'Avare de Moliere, ainsi que dans le Barbier de Seville; les personnages sont de classe moyenne

personnage en difficulté, en particulier lors de l'apparition d'un personnage qui dérange. Par exemple, c'est le cas lorsque Mme Jourdain rentre chez elle et trouve M. Jourdain en train d'essayer de séduire Dorimène (Le Bourgeois Gentilhomme, Molière). Le quiproquo est un des éléments qui constituent le comique de situation. Le comique de geste Il intervient souvent au théâtre. De nombreux éléments en font partie, comme les coups de bâtons, les positions ridicules, les expressions du visage, le

L'Ecole des femmes de Molière Vous commenterez cet extrait de l'acte III scène II. La littérature en général s'intéresse souvent aux grandes questions humaines dont celle de la placedes hommes et des femmes dans la société. Au XVIIème siècle, les auteurs, et particulièrement Molière, vont évoquer en théâtre le thème du rôle de la femme à leur époque. Ainsi, dans L’École des femmes,Molière tente de dénoncer la présumée supériorité des hommes à travers la tirade misogyne d'un personnage masculin

Le XVIIe siècle, c'est le siècle classique, le siècle de Louis XIV, mais c'est aussi le siècle de Molière, dramaturge au nom à jamais uni à la langue française comme celui de Shakespeare à l'anglaise. Dans le Bourgeois gentilhomme, Molière s'exprime sur l'idéal de la société de son temps : l'honnête homme, idéal différent de ceux d'aujourd'hui, peut-être, mais servant à mettre en lumière des défauts fort communs. De manière comique, il décrit deux hommes se prenant pour ce qu’ils ne sont pas, c'est-à-dire

Toinette la servante. Ils discutent du futur mariage d’Angélique.Argan a choisi le mari d’Angélique et le lui annonce . Angélique est d’abord d’accord avec son père mais finit par comprendre qu’il ne s’agit pas du garçon qu’elle voulait.En quoi, le quiproquo montre la personnalité des personnages ?Dans un premier temps nous verrons l’annonce d’Argan, puis dans un deuxième temps le quiproquo.Le 1er mouvement ; annonce d’Argan Argan commence le dialogue et annonce qu’il a choisi un mari pour sa fille donc

Étymologie : Du latin Classicus, classe la plus fortunée de la société. Période : XVIème – XVIIème. (1660-1715) Développement : En France et plus largement en Europe. Caractéristiques générales : Comédie : Moins de règles, fortement dominé par Molière qui essaye de redonner une forme de noblesse à la comédie. Règle des 3 unités respectée sauf unité d'action. 3 ou 5 actes. Pas personnages de grande noblesse mais bourgeoisie ou petite noblesse. Langage parallèle au rang social du personnage. Se moque

valeurs(Œdipe, Hyppolite).Nous allons donc voir comment la comédie peut être a la foie drôle et inquiétante. Premièrement nous étudierons en quoi la comédie et drôle puis en quoi elle est dérangeante notamment en nous basant sur l’école des femmes de Molière La définition du mot comique est bien claire : "qui provoque le rire, et qui appartient à la Comédie". En effet, ce sens aussi simpliste soit-il, nous montre bien que ce terme rime avec rire, divertissement et l'humour qui font partis de notre

purifier le spectateur (effet de "catharsis"). La comédie se caractérise par la mise en scène de la vie ordinaire et un dénouement heureux. Elle peut s'appuyer sur la farce (comique familier) ou atteindre une portée satirique (certaines pièces de Molière et de Beaumarchais). Elle prend parfois une dimension psychologique (Marivaux). Le drame est d'abord le drame bourgeois du XVIIIème siècle qui veut être plus près de la réalité. Il met en scène la bourgeoisie et voit le triomphe de la vertu. Au