Le Philosophe Peut Gouverner Une Cité

désir qui mène la personne, qui naît indépendamment de son vouloir et qui peut la faire souffrir par l’intensité qu’elle éprouve à le réaliser sans en avoir toujours la possibilité. - D’une manière un peu plus scientifique, la passion est, comme le désir, un mouvement de la conscience qui se fixe sur un objet réel ou illusoire. « Mouvement impétueux de l’être vers ce qu’il désire » (Le petit Larousse) - Pour un philosophe, la passion est aussi désignée comme sentiment intense, vivace, exclusif,

démocratie, c’est un système politique, une forme de gouvernement dans lequel la souveraineté viens de ses citoyens. Sous l'Antiquité, la démocratie d'Athènes présente les caractéristiques d'une démocratie : le peuple est un acteur direct de la vie de la Cité, c'est-à-dire que les citoyens sont à la fois électeurs mais ce sont aussi des magistrats ou législateurs. Cependant cette démocratie ne correspond plus aux démocraties actuelles de par sa limitation dans l'espace (territoire restreint), du nombre

« Gouverner, c’est prévoir » Introduction Il faudra tout d’abord rappeler ce que signifie « gouverner ». Si, comme nous y invite l’étymologie (gubenare = diriger un navire), le gouvernement d’une cité ou d’une nation est comparable à celui d’un navire par son capitaine, deux remarques s’imposent. « Gouverner » ne peut signifier imposer autoritairement telle ou telle directive à un corps soumis (peuple ou navire) : tout au contraire, le capitaine doit prendre appui sur des forces existantes –

le nom du peuple, de philosophe mais aussi de Dieu et bien évidement pour lui. V.Hugo a écrit ses vers pour parler de l’empire français mais aussi de ce qu’il y avait avant et de ce qu’il projette pour lui. Mais V.Hugo parle aussi au nom de Dieu, on peut alors sous-entendre que V.Hugo se prend pour un prophète. I_ port universelle quoique solitaire Le poète V.Hugo prend en quelque sorte la parole du peuple car à plusieurs moments dans le poème il parle pour les philosophes, naufragé de tous les

18 septembre Prologue : c’est l’introduction. Elle sert à présenter des évènements qui sont antérieurs à l’action. C’est une possibilité. On peut avoir un prologue comme discours préliminaire où le sujet va être exposé. Il était dit au théâtre par un acteur dans une pièce pour dire la marche. ➢ Dans le prologue, il y a le contenu du texte. Il peut partir d’une anecdote et être un peu à l’écart du centre du texte. Il y a, chez les grecs, pour s’exprimer, la nécessité de maîtriser un art

L'Etat A. Définitions Définition 1: Ensemble des institutions destinées maintenir l'ordre dans une société (monarque, chef d'Etat, gouvernement, armée, police, administration...). On peut par ailleurs désigner comme « société »l'ensemble organisé d'individus liés par un intérêt commun. On peut noter que cette organisation ne semble pas impliquer nécessairement l'existence d'un État. L'un des problèmes importants de la philosophie politique consiste ainsi à se demander si une société sans

GÉNÉRALE 0.1. Problématique L’homme, à en croire Aristote, est un animal social, et donc condamné à vivre dans la société qui, d’après Hannah Arendt, conditionne toutes les actions humaines. Si la société est une nécessité à laquelle l’homme ne peut échapper, elle n’est pas pour autant immédiatement ordonnée et régulée de sorte que tous oeuvrent dans la même direction et pour le bien commun. C’est justement ce désordre ou, comme disait Kant, cette « insociable sociabilité » qui rend nécessaire

« République ». II- Aux origines de l’Etat A- L’Etat pendant l’antiquité On va s’intéresser à PLATON auteur de l’ouvrage « République », il présente l’idéal de l’Etat qui est fondé sur la justice, l’Etat a un but, celui du bonheur des individus. La cité est une sorte de petit Etat, c’est le lieu où l’on vit et c’est aussi un lieu d’épanouissement, les grecques considèrent que l’Etat est souverain, c’est le pouvoir suprême ; La souveraineté est fondé sur l’autarcie (=indépendance économique), capacité

 Kant et Sartre. Ces philosophes sont considérés comme les philosophes  par excellence. On remarque que chacun d’eux s’inscrit dans un courant qu’on nomme  l’idéalisme. C’est une tendance qui valorise les idées, les concepts au profit de la réalité  matérielle. Très vite, on s’aperçoit cependant qu’il existe aussi d’autres philosophes mais  qu’on passe le plus souvent sous silence.  Prenons pour témoin les Cyniques qui sont de la même époque que Socrate ou Platon  mais qu’on ne cite pas ou seulement en tant que  curiosités amusantes

plans séparés. Peut-il en être autrement ? Soit on cherche à rapprocher ces deux plans, c’est-à-dire à réunir du côté des gouvernants le savoir et la légitimité ; le risque est alors de masquer les sources réelles du pouvoir lorsqu’elles ne relèvent ni de l’un ni de l’autre, de faire perdre au savoir sa spécificité à travers son instrumentalisation. Soit on maintient et on explicite cette séparation entre le savoir et la légitimité en cherchant à développer du côté des gouvernés les savoirs