Le Philosophe Intemporel

L’esclavage vu par les philosophes français du XVIIIème siècle. Année 2010-2011 SOMMAIRE Sommaire…………………………………………………………………………1 Introduction……………………………………………………………………… 2 I- Histoire de l’esclavage………………………………………………………….3 Commencement………………………………………………………….. 3 Préjugés sur les « nègres »……………………………………………….. 3 Siècle des Lumières……………………………………………………… 4 II- Moyens utilisés et idées défendues par les philosophes…………………….... 5 Ecrits et réflexions philosophiques……………………………………5-6

souvent des sortes de petites comédies. La Fontaine affirme à propos des fables : « Une morale nue apporte de l’ennui ; / Le conte fait passer le précepte avec lui. » (Le pâtre et le lion ) Le théâtre. Racine, qui s’inspire d’Aristote (philosophe grec du IV° siècle av. J.C) déclare: « La principale règle est de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première » (préface de Bérénice) Molière (préface de Tartuffe) proclame également : « la grande règle de toutes

d’un certain nombre d’actes, de comportements normal à sont développement. De part sa volonté et d’autre par ses actes l’homme se construit une vie. Les actes permettent à l’homme de modifié son existence, de choisir son destin. Jean-Paul Sartre, philosophe existentialisme dit «Etre c’est devenir ». En effet il pensait que l’homme était non pas ce qu’il est mais se qu’il comptait devenir. C’est par ses actes et ses choix qu’il crée son identité, son avenir. Les actions commise par l’homme lui permet

question précise ou commence à réfléchir sur un phénomène auquel il ne pensait pas auparavant, cependant la littérature est plutôt selectif: elle s’adresse à un public cultivé. Un petit nombre seulement de personnes cultivées ont lu en leur temps, les philosophes des Lumières. Enfin les procédés stylistiques de l’argumentation nécessitent une certaine culture, une connaissance de la langue et de l’histoire. C’est grâce aux œuvres de fiction que les ecrivains sont le plus lus, car par l’intermédiaire d’une

facteurs : la narration qui relie fortement l'histoire à l'imagination du conteur ; un passé intemporel (Il était une fois), un lieu imaginaire ( Le château de Thunder-ten-tronkh) des événements merveilleux qui sont le fait de puissances surnaturelles comme les génies ou les fées ... La sentence est un énoncé moral visant à édifier le lecteur. p.2 Les auteurs Phèdre est un philosophe épicurien grec du Ier siècle av. J.-C. Il fut le chef de l'école épicurienne à Athènes de 75 av.

(1751-1772) – Chevalier Louis de Jaucourt, article « Traite des nègres ». Introduction Le texte dont il est ici question est extrait de l’article « Traite des nègres » de l’Encyclopédie et a été écrit par le Chevalier Louis de Jaucourt, médecin, philosophe et homme de Lettres (1704-1779). Il était considéré comme le « troisième homme » de l’Encyclopédie, car si Diderot s’occupait de la partie littéraire et d’Alembert la partie mathématique, le chevalier, lui, écrivait sur tous les types de sujets

expliquer ce qui précède par le fait que le doute soit un élément constitutif comme le disait Socrates « tout ce que je sais c’est que je ne sais rien » ou « Que sais-je ?» de Montaigne. A la découverte d’un nouveau monde, l’homme et par extension le philosophe se doit de comprendre et non de s’habituer au sens de Charles Péguy. Ce doute est alors justifié chez le franc maçon qui se doit de s’acclimater avec un nouveau monde tout en épluchant ses mystères. Ensuite, le doute chez l’homme ou particulièrement

induit par lui et pourtant sa force ne faibli pas. Qu’il y ait autour de lui une planète, dix ou même trente, cela ne changerait rien : sa force d’attraction reste toujours la même. Une force ne s’épuise pas : Une force est immuable, inaltérable et intemporelle. La force n’est pas le mouvement : les force est ! Elle dépend d’un seul facteur : la taille du corps qui la génère. Tant que ce corps existe, elle existe. Il en va de même l’humain et de son esprit. Il existe en lui une force de cohésion

il convient de relever que la littérature est plutôt élitiste : elle s’adresse (et particulièrement au XVIIIe siècle) à un public cultivé. Écrire suppose un lectorat. Un petit nombre seulement de personnes cultivées ont lu, en leur temps, les philosophes des Lumières. On peut penser que le texte théâtral touche un nombre plus important de personnes. Mais, là encore, seule une fraction bien précise de la société se rend plus ou moins régulièrement dans une salle de théâtre. Les spectateurs de La

communauté. Le concept émerge avec celui d'État, au Moyen Âge. Le souverain est donc au départ une personne identifiée (le représentant de l'État, le roi) puis se détache de plus en plus de sa personne pour devenir un concept théorique indépendant et intemporel. La souveraineté n'est en principe qu'étatique, mais on voit apparaître aujourd'hui un concept de souveraineté qui se détache de plus en plus des États.Le concept émerge pour la première fois avec Jean Bodin dans les Six livres de la République