Le Miroir Déformant

historique d’une époque ? L’auteur en est-il prisonnier ou peut-il aussi en jouer, s’en extraire, voire s’en libérer ? Nous verrons dans un premier temps que le personnage de roman peut assumer cette fonction de miroir plus ou moins déformant, nous verrons ensuite qu’il ne peut être qu’un miroir sans quoi il se ne distinguerait pas alors du simple documentaire. Il peut tout simplement refléter ce que la société pense d'elle-même. C'est ce qui sera examiné dans une troisième partie.

bouleversement nécessaire du réel permettant au spectateur de se « voir » tel qu’il ne « l’oserais ». -Médée Euripide -Rhinocéros Ionesco La question du  « monstre » représenté c) La scène, un miroir déformant. Préface de Cromwell Hugo : « Le drame est un miroir où se réfléchit la nature. Mais si ce miroir est un miroir ordinaire, une surface pleine et unie, il ne renverra des objets qu’une image terne et sans relief (…) » 3° Briser l’illusion pour mieux révéler. a) Le théâtre de la cruauté Antonin

parodie d’humain. Les parumains ne sont pas considérés comme des citoyens. La réforme des parumains permet un renouvellement continuel des modèles de parumains sur le marché.   Point de vue de Majhina sur les parumains:”Les parumains sont le miroir déformant de votre humanité. “C’est comme s’il y avait deux personne en moi. La première , celle sui s’est construite peu à peu -parfaitement libre-, pense, juge et critique. La seconde, celle qui prime, celle qu’on m’a imposée, est soumise.”; “Vous voulez

nous montre les conditions terribles dans lesquelles les pauvres gens vivaient à cette époque. » 2) Une déformation du réel Stendhal dira que le roman est « un miroir qui se promène sur une grande route. Nous verrons donc que le roman ne saurait se réduire à une simple imitation du réel, et qu’il apparaît plutôt comme un miroir déformant de la réalité. En effet, nombre de romans mettent en scène des personnages hors du commun. C’est d’ailleurs ce que nous prouve Don Quichotte de Cervantès. Ex :

esclave en ayant expliqué que le désir fondamental de l'homme est celui de reconnaissance, puisque justement, pour notre philosophe, ce désir est un désir d'esclave, et donc pas essentiellement humain. Car l'esclave n'est pas le miroir pur de l'homme mais un miroir déformant, une vérité abâtardie. Il est un être dépendant de la reconnaissance d'autrui, son centre de gravité n'est pas en lui, mais excentré, dans le regard, l'esprit de ceux dont il dépend : ses supposés supérieurs. Ceux qui revêtent

physique qui traite de la lumière et de ses relations avec la vision.) - tel un miroir (Un miroir est une surface suffisamment polie pour qu'une image s'y forme par réflexion. C'est souvent une couche...) courbe (En géométrie, le mot courbe, ou ligne courbe désigne certains sous-ensembles du plan, de l'espace usuels. Par exemple,...) - ou un...) est une déformation réversible d'une image à l'aide d'un système optique - tel un miroir courbe - ou un procédé mathématique. Certains artistes ont produit des

c’est-à-dire le réel. Les rationalistes croyaient pouvoir atteindre le réel par la raison. Contrairement à eux les empiristes considéraient l’expérience comme la seule moyenne sûre capable de refléter la réalité. On se demande si l’esprit est un miroir du réel. On entend par l’esprit, la raison, les pensées, le jugement. Le réel représente le monde, il est universel. L’esprit est-il suffisant pour former une image du réel ? Comment l’esprit et le réel sont liés ? L’expérience est-il l’origine ou

le réel. On dit souvent que le roman est le reflet de la société. On veut dire par là qu'il est semblable à la société, sans être cette société pour autant : tout reflet est une illusion, une apparence, qui peut même être déformante dans certains cas. Cette illusion déformante est-elle le signe de l'insuffisance du roman, qui cherche à peindre le réel sans y parvenir tout à fait, ou au contraire la preuve d'un choix artistique, porteur de sens ? Nous verrons d'abord que le roman imite le réel social

ETUDE ANALYTIQUE DU MIROIR SOMMAIRE I- Evolution de sa fabrication et de sa fonction sociale A) Evolution des procédés de fabrication B) Transformation progressive de son utilité sociale C) Principes physiques D) Utilisations diverses II- Symbolique A) Le miroir métaphorique B) Piège du regard C) Connaissance de soi D) Quête d'adéquation BIBLIOGRAPHIE • « Le miroir, essai sur une légende scientifique, révélations, science fiction » de Jurgis Baltrusaitis • « On reflection

interactions sociales entre les êtres. L'oxymore étudié est ici précédé et suivi d'autres formes d'opposition telles que des comparaisons antithétiques, et même d'un autre oxymore " les magnifiques ordures " qui anticipe, comme dans un jeu de miroir déformant, " l'avare magnificence ". Univers bipolaire en totale opposition opposition de termes sémantiques ( cour , basse cour) Rousseau crée des antithèses . champ lexical du rustique , de la noblesse . Le décor est installé... La scène se passe