Le Miroir Déformant

. Que suis-je en dernière analyse ? Un homme qui se connaît pour s’être rencontré de multiples fois ? On change les donnes avec le reflet du miroir déformant : juger c’est trancher, dans le vif du sujet, qu’on a chosifié ! À qui accorderais-je ce droit impudent, sinon à moi-même ? Mais quelle image ai-je de moi, sinon celle que me renvoient les yeux des témoins qui m’entourent ? Ils sont bien placés

ici notre blog à un chroniqueur extérieur passionné par la Chine, notre ami Renaud de Spens, analyste des médias chinois et ancien attaché de presse à l’ambassade de France en Chine. Pour les Chinois, les Coréens du Nord sont un peu comme un miroir déformant dans une foire, des créatures remontées du temps d’un Jurassic Parc voisin, à la fois ilotes et idiots utiles. Beaucoup de plaisanteries les mettent en scène, exutoires qui règlent aussi les comptes des Chinois avec leur propre passé totalitaire

reprendre les termes de Victor Hugo, un comique inséparable du tragique qui provoque un rire grinçant. Proposition de plan : I Le comique dans la comédie : un rire cathartique (delectare) 1 le miroir inversé La comédie issue de la tradition latine (Plaute, Terence) se veut miroir du monde : les vices portés sur scène permettent au spectateur de s’en décharger en les tournant en dérision, ce qu’il ne peut pas faire dans la vie. Svt l’occasion d’une revanche de l’esclave sur son maître

« grotesque » pour reprendre les termes de Victor Hugo, un comique inséparable du tragique qui provoque un rire grinçant.   Proposition de plan :   I Le comique dans la comédie : un rire cathartique (delectare) 1 le miroir inversé La comédie issue de la tradition latine (Plaute, Terence) se veut miroir du monde : les vices portés sur scène permettent au spectateur de s’en décharger en les tournant en dérision, ce qu’il ne peut pas faire dans la vie. Svt l’occasion d’une revanche de l’esclave sur son maître

la famille Simpson, beaufs caricaturaux dont la bêtise se révéla galopante au fur et à mesure des saisons, famille s’opposant elle-même à la famille Flanders, symbole chrétien parfait, républicaine, pour une antinomie éclatante. Ce système de miroir déformant rend ainsi justice à la dynamique toute particulière de la série. On y glorifie les châtiments corporels, la non éducation, la stupidité au rang d’initiative corporelle. Aussi dans un enracinement ainsi défini, il apparaît difficile pour la progéniture

l'enfant est considéré comme le lien qui noue encore les relations entre ses grands-parents, sa mère et son oncle. Sa désillusion ne fait que s'accroître le long du texte : "les yeux sont le miroir de l'âme", ce diction peut être repris dans le texte de Sartre : le regard des autres est comme un miroir déformant, qui renvoie une fausse image de lui-même, il est réduit à une vie végétative, une vie de poisson "dans mon joli bocal", le bocal prend ici la forme d'une prison, d'un lieu clos où il ne peut

sublime » et du « grotesque » pour reprendre les termes de Victor Hugo, un comique inséparable du tragique qui provoque un rire grinçant. I- Le comique dans la comédie : un rire cathartique (delectare) 1/ le miroir inversé La comédie issue de la tradition latine (Plaute, Terence) se veut miroir du monde : les vices portés sur scène permettent au spectateur de s’en décharger en les tournant en dérision, ce qu’il ne peut pas faire dans la vie. Svt l’occasion d’une revanche de l’esclave sur son maître

anti héros, qui s’est battu contre lui-même, contre une fantasmagorie. « C’est moi qui meurs » Scène VII : Un marécage au bord de la mer. Autolycos, Ariane, Thésée, Phèdre Le labyrinthe s’est effondré. Il était fait de carton-pâte, avec des miroirs déformants de fête foraine Scène VIII : Une plage à Naxos. Thésée, Phèdre, Ariane Dialogue entre Ariane et Thésée. Ariane imagine une utopie avec Thésée p220. Puis s’installe la jalousie qu’elle a pour Phèdre. Elle se rend compte que Thésée est amoureux

2)Je ne suis pas totalement conscient de ce que je suis Ce miroir qualifiant ma conscience exprime t'il un re flet troublé de moi ? Le mirroir est-il déformé par la conscience ? En effet, la conscience ne se préoccupe pas de la vérité, mes passions trouble la véritable image, c'est ainsi qu'elle êmet un portrait mélioratif de son hôte, en amplifiant les qualités, et en dévalisant les défauts de ce dernier. Ce mirroir déformant préfére extérioriser un aspect appréciatif que mon vrai moi. De plus

le réel. On dit souvent que le roman est le reflet de la société. On veut dire par là qu'il est semblable à la société, sans être cette société pour autant : tout reflet est une illusion, une apparence, qui peut même être déformante dans certains cas. Cette illusion déformante est-elle le signe de l'insuffisance du roman, qui cherche à peindre le réel sans y parvenir tout à fait, ou au contraire la preuve d'un choix artistique, porteur de sens ? Nous verrons d'abord que le roman imite le réel social