Le Jeu Chez Beckett

de Corneille. 18°siècle: Siècle des lumières Exemple de comédie: Le jeu de l’amour et du Hasard de Marivaux Exemple de tragédie: Voltaire. 19°siècle: - apparition du drame romantique avec Victor Hugo - apparition du Vaudeville : les comédies bourgeoises Feydeau: le drame de chez Maxime. 20° siècle: - apparition de théâtre de l’absurde Exemple de comédie: Ionesco: Rhinocéros Exemple de tragédie : Beckett en attendant Godo ******************* Les composants du théâtre:

II/ Les caractéristiques du mouvement A/ La naissance de l'Absurde Fondé dans la seconde moitié du XXe siècle, pour une grande part sur d'anciennes traditions occidentales, le mouvement de l'Absurde a pour sources: un Irlandais, Samuel Beckett, un Roumain, Eugène Ionesco, un Russe d'origine arménienne, Arthur Adamov qui trouvèrent à Paris non seulement l'atmosphère qui leur permit de faire librement des expériences, mais l'occasion aussi de faire jouer leurs œuvres dans un théâtre. Le

Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ? Nous donnons ici notre version du célèbre jeu “Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ?” en s’appuyant sur quelques grands philosophes. S’il en manque, faites-nous en part dans vos commentaires : Réponses fictives de philosophes Platon : Pour monter vers l’essence du Bien Marx : C’était historiquement inévitable Machiavel : Pour inspirer la peur chez les autres poulets Nietzsche : Par affirmation de sa volonté de puissance Sartre :

sous-conversations" dans les revues éditées par Gallimard Les Temps Modernes (créée par Jean-Paul Sartre) et La Nouvelle Nouvelle Revue Française entre 1947 et 1953 qui seront regroupés pour constituer le recueil L’Ere du Soupçon qui sera publié en 1956 chez Gallimard. Dans ces textes, Sarraute revendique un roman nouveau avec une forme réelle. Ce roman serait l’héritier de ceux des années 20-30 sur les modèles de Joyce ou encore Proust.   Extraits de L’Ère du Soupçon de Nathalie Sarraute « Il n’était

remplacée par des mises en scène à partir de textes non spécifiques où le metteur en scène l'emporte sur l'auteur dramatique. Par ailleurs la deuxième moitié du siècle est particulièrement marquée par les expériences de " littérature de laboratoire "et le jeu intellectuel (nouveau roman – littérature potentielle), mais aussi par le poids d'une littérature commerciale en forte concurrence avec les traductions de l'américain (collections sentimentales – romans policiers – romans de science-fiction – chansons…)

BAC BLANC : sujet Première STG Le théâtre, texte et représentation Corpus BEAUMARCHAIS, Le Mariage de Figaro, acte I, scène 1, 1784. J. COCTEAU, La Machine infernale, 1934. S. BECKETT, Oh les beaux jours, 1961. Texte 1 : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, acte I, scène 1,1784 ACTE I Le théâtre représente une chambre à demi démeublée ; un grand fauteuil de malade est au milieu. Figaro, avec une toise1, mesure le plancher. Suzanne attache à sa tête, devant une glace, le petit bouquet

scénique lui aura apportées. Il est, selon les mots de Roland Barthes dans ses « Essais critiques », « une machine cybernétique » faisant intervenir simultanément des informations multiples à travers le texte, le décor, les costumes, les éclairages, le jeu des acteurs, etc. Est délivrée une « épaisseur de signes et de sensations qui s’édifie sur la scène à partir de l’argument écrit ». Ainsi, l’essence même du théâtre s’exprime au delà du verbe, par une notion du symbole Selon lui, le théâtre n'a de sens

On peut alors "retrouver la vie au théâtre". II] L'illusion théâtrale 1) Caricature et exagération. Tout est exagéré pour que le spectateur puisse voir de loin. Ex : Commedia del'Arte. Sifflet autour du cou de Hamm dans Fin de Partie de Beckett --> difficulté de la mise en scène. Le texte doit alors être lu, insuffisant pour reproduire la vie. 2) Conventions. 3 règles dans le théâtre classique + bienséance (Horace, Corneille, Camille meurt en coulisses). Anouilh rompt ces conventions

salle pour voir feindre par d'autres des passions qu'eux n'ont pas le droit d'avoir - parce que les lois et les mœurs s'y opposent". Il énonce bien les deux grands plaisirs du théâtre : le plaisir de l’évasion, de l’émerveillement devant la grandeur du jeu théâtral, mais aussi de l’identification avec les personnages incarnés par les comédiens. Qui n’a pas vibré lors des adieux déchirants de Titus et Bérénice, héros éponymes de la célèbre pièce de Racine, où ne se soit pas senti touché par le dilemme

Théâtre du XXème siècle : Nouveau théâtre se focalise à partir des années 50 autour de 4 noms : * Ionesco * Beckett * Genet * Koltès Point commun : absurdité, transformation de l’homme en chose. L’homme s’embourbe dans son être physique. Matérialisme qui envahit le théâtre. Le langage et la communication n’est plus possible, personnages enfermés dans leur solitude. Le théâtre change et rejette le vérisme des personnages. Théâtre qui projette des angoisses, des obsessions, dévalorisation