Le Désir Peut Il être Désintéréssé

Le sens du problème Il s'agit de savoir si pour être heureux et si pour être moral il faut admettre la règle, le précepte, de satisfaire tous ses désirs sans exception ou si, au contraire, il convient de maîtriser certains d'entre eux, voire renoncer totalement à la satisfaction de certains désirs. On remarquera que l'alternative à « tous ses désirs » n'est pas « aucun de ses désirs » mais « quelques désirs ». Présupposé de la question Il est présupposé qu'il est possible d'accomplir tous ses

Il retrace son existence médiocre, limitée au déroulement mécanique de gestes quotidiens et à la quête instinctive de sensations élémentaires. Il vit dans une sorte de torpeur, une étrange indifférence : au moment d'agir, il note d'ordinaire qu'on peut faire l'un ou l'autre et que « ça lui est égal ». Il représente l'homme avant la prise de conscience de l'absurde, mais déjà préparé à cet éveil lucide : sans illusion sur les valeurs consacrées, il se comporte comme si la vie n'avait pas de sens.

c’est la conclusion d’une étude réalisée par l’IFOP pour l’agence française du développement (AFD). « 44% des sondés estiment toutefois que la part du budget consacré par la France au développement est suffisante, tandis que 35% pensent qu’elle devrait être plus importante » (L’Express, n°2998, semaine du 18 au 24 décembre 2008). L’argent, un outil comme un autre ? Les actes immoraux commis pour l’argent ne se comptent plus (trafics de prostituées, trafics de bébés etc.), et à travers la récente crise

auxquels elle-même n'est pas capable d'apporter une réponse, laissant à chacun la liberté de les trancher : Le jugement esthétique. La beauté est-elle objective ou relative ? Autrement dit, peut-on dire que certaines œuvres, certains aspects esthétiques sont beaux pour tout le monde, sont beaux en soi ? Peut-on dire qu'il existe des œuvres belles objectivement, pour tous ? Ou alors prétendre que ceci est faux, que la beauté n'est que purement subjective, qu'elle n'existe que pour soi ? Que le jugement

œuvre «  pour comprendre les médias » il écrit « le message c’est le médium » = ce qui est important dans la communication ce n’est pas le fond mais la forme. Communication : origine indoeuropéenne, notion de changement = échanger= mettre en commun= être en relation ; même radical // commun, communauté, communion (dimension religieuse), le communisme (doctrine pol) 5 termes relèvent de la communication : * Communicatif : bilatérale entre personnes c’est à dire toute relation rapport, correspondance

un reposoir Le personnage de Félicité : A cinquante ans, elle est servante au service de Mme Aubain, elle est pauvre mais ses qualités font d'elle une personne exceptionnelle. elle est un peu sotte mais elle est capable d'apporter un amour désintéressé a ceux qu'elle fréquente. Loulou son perroquet est le seul amour partagé de sa vie. Elle se sacrifie pour les personnes qu'elle aime, respecte les gens importants. Elle passe ces journée a faire la cuisine et le ménage, cout, lave, repasse, bride

Le goût pour le sport a souvent été perçu comme la marque d'une inculture. Cependant son omniprésence dans les sociétés modernes montre qu'il n'est pas une simple pratique physique, qu'il y aussi des enjeux culturels et politiques. On peut donc se demander si les valeurs de la culture sportives contribuent ou non a l'éducation et a l'épanouissement de la personne. Après avoir mis en évidence les valeurs et les vertus du sports, nous montrerons les limites du modèle éducative qu'il propose.

les choses, mais les opinions qu’ils en ont. » Epictète entend par « choses », les évènements vécus par les personnes et qui ont une certaine importance pour eux ; c’est suivant l’opinion de la personne qu’il sera vécu comme une épreuve ou pas. On peut rapporter l’opinion à la conviction : en effet c’est une certitude qui ne s’argumente pas, une opinion est personnelle., et elle est la cause du bonheur et du malheur. Le contexte nous le montre, les épreuves « troublent » les hommes. Pour Epictète

montée en puissance de l’individualisme bouleverse ces rapports dont l’équilibre se maintenait depuis l’aube de la civilisation humaine. Peut-on y voir une menace pour la cohésion sociale ? Pour répondre à cette question il faut en premier lieu étudier la justification de la place de l’ individualisme dans la société moderne, et la fonction de ciment qu’il peut même y exercer (I) ; puis considérer les nuisances qu’il est susceptible d’engendrer au niveau de la cohésion sociale (II). I L’individualisme

intellectuelle — et on peut penser, par exemple, à l’impact de la « fièvre Werther » sur la jeune génération alle-mande ? Ou bien, au contraire, n’est-ce pas là seulement l’occasion d’un libre jeu, d’une feinte intentionnelle, n’engendrant que des émotions jouées, par suite non effectives et non durables ? Cette dernière perspective est inhabituelle, contraire à l’opinion et quelquefois à l’expérience de chacun. Car on répète assez largement les témoignages de bouleversement affectif que peut induire la lecture