Le Désir Rend T Il Méchant

le mal revient donc à prétendre que l’on puisse consciemment et librement choisir le mal, or cela ne va pas de soi. Au contraire, l’existence d’une telle volonté nous paraît proprement insensée, incompréhensible . L’idée qu’un homme puisse être méchant volontairement, que son inhumanité puisse procéder d’un choix nous semble contradictoire. Une telle possibilité est d’ailleurs si ténébreuse pour la conscience humaine qu’on a toujours cherché à imputer la méchanceté, non à une volonté perverse

ce n’est pas propre a l’homme c’est contre nature. Or, le sujet « la méchanceté peut-elle être monstrueuse ? » suppose que l’homme est méchant. Le sujet nous propose une possibilité logique ; à savoir qu’il est logiquement possible que la méchanceté soit monstrueuse, puisqu’elle a pour but de blesser et d’atteindre sont semblable : c’est ce qui la rend monstrueuse. Cette constatation nous amène donc à nous demander, la méchanceté fait-elle de nous des monstres ? Ou encore où s’arrête la méchanceté

plusieurs reprises définie par Platon comme étant en opposition avec les désirs « humains ». En effet le désir amoureux ne se satisfait pas du plaisir charnel. Le désir amoureux est un désir de proximité pas physique mais aussi morale et intellectuelle. Un désir de proximité dans la distance.(=se comporter différement avec la personne aimée qu'avec les autres personnes.) Etre amoureux rend inquiet (privé de paix). Par par peur de manque à la personne, mais de la manquer. La philosophie veut

a été accueilli. « A l’origine du projet, il y a un dessin que j’avais fait il y a très longtemps, et que j’aimais beaucoup. Il représentait un personnage qui veut toucher ce qui l’entoure, mais qui ne peut le faire, et dont le désir créateur est en même temps un désir destructeur. » Rapport avec le père SIGNES RECURENTS Ses personnages principaux ont tendance à être des individus solitaires Ses créations présentent un bon nombre de rayures noires et blanches et de spirales tordues. Les

–t- il des méchants par nature ou la méchanceté n’est-elle que l’aveu de l’ignorance et de l’aliénation. ? A L’intellectualisme moral : nul n’est méchant volontairement Cicéron affiramait dans « Des biens et des maux » que « nous sommes tous enflammés du désir d’être heureux. Pascal dira de même . Si on entend par mal le malheur force est effectivement de constater avec Aristote que nul ne veut le mal car nul ne veut être malheureux . Comme le disait déjà Platon « nul n’est méchant volontairement

Ce bonheur peut être atteint par exemple lorsque nous accomplissons nos désirs, que nous nous en libérons, dans cette vision des choses et du désir, que partage notamment ce même auteur : « le désir est l’essence même de l’homme », l’homme se différencie de l’animal en cela qu’il est doté d’un certain appétit de la vie, il ne peut se passer de son désir car cela reviendrait pour lui à se priver de l’énergie qui seule peut nourrir sa joie, son bonheur. Ce bonheur est rarement atteint, notamment dans

qui est la marque de la liberté humaine, de notre nature évolutive, à la fois perfectible et dégradable. Dans le mal, Rousseau inclut le mal subi et le mal commis - « c'est l'abus de nos facultés qui nous rend malheureux et méchants » -. Cette liaison sera développée plus tard : l'homme méchant est toujours malheureux, en dépit des apparences. Distinction entre le mal moral et le mal physique : – Le premier est notre création et notre unique responsabilité : « nos chagrins, nos soucis, nos peines

Socrate. Celui- qui n’a pas de trous ne passe pas sa vie à assouvir ses plaisirs. Dans le cas de nos deux hommes, l’assouvissement de ces plaisirs est dure tâche et demande une attention constante. Peu importe leur condition, chaque homme éprouve du désir et en recherche sa satisfaction. Ce qui diffère est le moyen d’obtention de cette dernière et la notion du plaisir en elle-même. Alors que Calliclès fait l’apologie de l’hédonisme et soutient qu’une vie soumise à ses désirs est ce qu’il y a de mieux

corrompt et déshumanise, le rendant ainsi méchant. Freud, quant à lui, nous révèle que l'être humain est gouverné par son inconscient et que même sa pensée ne lui appartient pas. l'humain serait alors un être de pulsions et de désirs qui est régi par cet inconscient. Il s'agira ici de regrouper les différentes idées et point de vues de chacun de ces philosophes sur le sujet et tenter de répondre à ces questions: L'homme est-il fondamentalement bon ou méchant? La civilisation serait-elle en cause?

d’une distorsion, et il cherche à comprendre ce que l’homme pourrait être par rapport à ce qu’il est aujourd’hui. Ce qu’il est aujourd’hui n’est pas ce qu’il aurait dû être → pas de fatalité : ne veut pas contester que les hommes soient égoïstes, méchants, mais il n’était pas nécessaire qu’il en soit ainsi. C’est pourquoi la philosophie de Rousseau peut sembler assez humiliante, car il dit aux hommes « voyez ce que vous auriez pu être, et voyez le gâchis que vous avez fait »…Les passions humaines