Le Désir Peut Il être Désintéréssé

serait heureux non par lui-même, mais par hasard. Pourtant, on peut admettre que si tous les hommes désirent être heureux, certains usent de moyens inappropriés. Comment envier la vie d’un drogué ? Dès lors, est-il possible et comment de rechercher le bonheur ?   Le bonheur semble être la satisfaction de nos désirs. Or, il est des désirs que nul ne veut avoir comme le désir de se gratter pour qui a la gale (Platon, Gorgias). On peut donc en conclure que le bonheur est la satisfaction de certains

pratique. Il émet alors son désir et, s'il se heurte à un refus, il négocie. C'est la naissance du commerce, du profit, de la ruse. Le négoce n'est jamais désintéressé ; là est le début de la distorsion dans les rapports humains. Ainsi, lorsque je fais un présent à quelqu'un, est-ce uniquement pour son plaisir ? N'est-ce pas également pour conquérir ou renforcer son attachement pour moi ? N'est-ce pas un geste hypocrite et égoïste ? (Bien sûr, la négociation peut, elle, être constructive ; mais cette

latin bonum augurum est celle d’une heureuse rencontre. Autrement dit, le bonheur dépendrait de la rencontre entre les événements et les désirs de l’individu. Il serait heureux non par lui-même, mais par hasard. Pourtant, on peut admettre que si tous les hommes désirent être heureux, certains usent de moyens inappropriés. Comment envier la vie d’un drogué ? Dès lors, est-il possible et comment de rechercher le bonheur ? I - Le bonheur semble consister à satisfaire ses désirs Il y a différentes

technique. Le mot « art » a 2 significations : les beaux arts (musique, cinéma -> artistique) et un savoir-faire qui ne peut s’acquérir qu’avec l’expérience. Ne pas confondre « technique » et « science ». la technique = transformer le monde (médecine) alors que science = biologie, physique -> connaissance du monde donc jamais mauvaise. Mais la technique peut être ambivalente. La technique améliore-t-elle l’humanité ? 1er argument d’Aristote : la nature a voulu que l’homme soit un animal

de l'existence, qu'elle se vit et ne se réfléchit pas: un acte ne peut se définir, il s'accomplit. Vouloir l'objectiver, c'est le perdre, vouloir mettre au foyer de la conscience un mouvement constitutif d'une certaine modalité de conscience c'est vouloir trouver l'âme au tranchant d'un scalpel. On peut tout au plus dire ce qu'elle n'est pas: l'ami n'est ni un camarade, ni un compagnon, ni une connaissance, ni un copain: il peut être tout cela mais rien de tout cela ne le caractérise comme ami. Toute

Compte-rendu de l’exposé L’attitude esthétique de Jérôme Stolnitz L’extrait que j’analyserais commence à la page 105 « Notre propos sur l’attitude esthétique gagnera (…) » et se termine à la page 108 « il peut être intéressant pour la perception. »   Stolnitz commence par énoncer sa définition de l’attitude esthétique. Il rappelle au lecteur que cette définition constitue le point de départ de l’étude sur l’esthétique. Il existe une spécificité réelle de l'attitude esthétique, qui est définie

n°1 : Le désir peut-il être désintéressé ? Si l’on étudie, dans un premier temps les deux termes primordiaux de ce sujet, on constate que le désir n’est aucunement lié avec le désintérêt, et réciproquement. En effet, le désir est une tendance générale à obtenir ce que l'on n'a pas. Alors que le désintérêt est l’absence d'intérêt, ce qui marque donc l’idée d’être indifférent envers quelque chose ou quelqu’un. Il est difficile d’imaginer un sujet qui ne soit pas intéressé par ce qu’il désire, le désir

même pas cette peine dès lors que je disposerais déjà d’une cabane qui serait assez confortable pour moi. On peut m’accorder tout cela et y souscrire, mais là n’est pas le problème. En posant la question [de savoir si une chose est belle], on veut simplement savoir si une pure et simple représentation de l’objet s’accompagne en moi de satisfaction, aussi indifférent que je puis être à l’existence de l’objet de cette représentation. On voit aisément que c’est ce que je fais de cette représentation

conclure, pour l’agréable “il faut admettre un principe”, une connaissance de base, un constat: “à chacun son goût”, avant de préciser “ (il s’agit du goût des sens). Pour résumer ma première partie, l’agréable est ce qui plaît aux sens, l'agréable peut être la couleur, l'odeur, ce qu'on perçoit comme agréable, satisfaction des sens "(il s'agit du goût des sens)"Mais dans le second paragraphe, Kant va opposer l’agréable au beau.Il commence celui-ci par “il en va tout autrement du beau” => impose déjà

la plupart, fait penser à l'aide qui peut être contrainte. Nous avons notamment pensé à une situation d'aide éducative, où même si les parents acceptent l'intervention des travailleurs sociaux, ils ne voient pas toujours l'aide qui peut se dégager de cette intervention. Ils acceptent la mesure pour ne pas en venir au système judiciaire. Cette notion d'aide contrainte est aussi apparue dans le cadre de mise en place de tutelle, ainsi que dans l'aide qui peut être apportée aux personnes âgées dans le