Le Désir Insensé

Gargantua chapitre 57 Toute leur vie était dirigée non par les lois, statuts ou règles, mais selon leur bon vouloir et libre-arbitre. Ils se levaient du lit quand bon leur semblait, buvaient, mangeaient, travaillaient, dormaient quand le désir leur venait. Nul ne les éveillait, nul ne les forçait ni à boire, ni à manger, ni à faire quoi que ce soit... Ainsi l'avait établi Gargantua. Toute leur règle tenait en cette clause : FAIS CE QUE VOUDRAS, car des gens libres, bien nés, biens instruits

bras convulsif de la même page 126. Le narrateur se défait de son bras qui tire, tue tout seul, il se décrit comme victime, ne pouvant rien y faire, comme emporté par cette « rage immense, démesurée » provoquée par « la pensée de ce gâchis humain insensé ».La conscience qu'il a en face de lui un être humain, et non un sous-homme, comme lui souffle l'idéologie nazie, réveille en lui cet acharnement, ce sadisme mêlé d'incompréhension. Le fait de porter un uniforme, de représenter l'autorité et de se

sollicitent Frosine pour qu'elle intervienne auprès du barbon, et qu'il renonce à son mariage insensé. Harpagon surprend son fils en train de baiser la main de Mariane, et conçoit immédiatement des soupçons dont il veut s'assurer. Afin de sonder son fils et connaître ses espoirs, il prétend avoir changé ses projets et renoncé au mariage. Le fils naïf dit tout à son père, son amour pour la jeune fille et son désir de l'épouser ; furieux Harpagon résiste mal à un accès de violence et le maudit. Maître Jacques

sa damnation éternelle et celle de son prochain ; qu'elle se laissait habiller par sa couturière, comme s'il ne valait pas mieux changer de couturière que renoncer à sa religion ; que c'était la fantaisie de son mari, comme si un époux était assez insensé pour exiger de sa femme l'oubli de la décence et de ses devoirs, et qu'une véritable chrétienne dût pousser l'obéissance pour un époux extravagant, jusqu'au sacrifice de la volonté de son Dieu et au mépris des menaces de son rédempteur. LA MARÉCHALE

(« Il ne faut pour cela (…) respecter ou fuir. » p.89) c) Il analyse les sentiments qui doivent être innés pour que nous puissions vivre, notamment avec les autres, à savoir « l’amour de soi, la crainte de la douleur, l’horreur de la mort, le désir du bien-être », voire la sociabilité. Il précise en note que sentiments et idées sont deux termes pour une même réalité. Si c’est la référence à l’objet qui est première, c’est une idée. Si c’est l’effet sur le sujet qui est premier, c’est un sentiment

l’auteure, elle aussi souvent caractérisée d’auteure humaniste. Axe thématique 2 : la mort et le rapport au sacré Axe thématique 3 : le temps Axe thématique 4 : la thématique de l’espace Citation de l’Œuvre au Noir ; « Qui serait assez insensé pour mourir sans avoir fait au moins une fois le tour de sa prison ? »  personnage de Zénon, qui présente d’ailleurs beaucoup de similitudes avec Hadrien. Hadrien fait donc partie de la famille des grands voyageurs Yourcenariens. Toute l’œuvre

symbole du désir sexuel : le dénouement avec la mise à mort du héros par les statues de femmes de nues qui s’animent. Ex.2 : Jérémie Le Louët met en scène la pièce Macbett de Ionesco en introduisant des éléments modernes qui s’adaptent au public du XXIe siècle : la tenue sexy de Lady Duncan cherchant à séduire Macbett et surtout à le tenter de tuer son mari le roi Duncan. Ex.3 : Mise en scène de Phèdre par Patrice Chéreau : le sein dénudé de l’actrice Dominique Blanc pour représenter le désir de l’héroïne

conscience). Afin de soigner ses patients Freud privilégiait la pratique mais contrairement à Breuer il n’aimait pas mettre ses patients sous hypnose. Il essaya alors d’opérer en laissant ses patients dans leur état normal, et bien que paraissant insensé au début car il voulait savoir une chose sur le patient qu’il ne savait pas et que le patient ne savait pas non plus lui-même il réussit en suivant l’exemple de son ami et psychanalyste Bernheim qui prétendait à ses patients en les pressant qu’ils

baignoire, sachant qu'il n'en sortira rien." ( Camus) Le dictionnaire donne deux sens à l'adjectif " absurde" : selon qu'il s'agit du sens habituel, il signifie : contraire à la raison et au sans commun et propose comme synonyme déraisonnable, insensé, mais aussi extravagant, saugrenu, stupide ; selon qu'il désigne un sens philosophique il désigne l'existence comme ne paraissant pas justifiée par aucune fin dernière. Les deux sens du terme sont appropriés pour parler du Procès. En effet, la situation

alors la vie n’a pas de sens, nous n’avons pas de but et il n’y peut y avoir de bon ou de mauvais absolu. L’homme est alors libre de mener sa vie comme il l’entend et n’est responsable d’aucun de ses actes. Toutefois, quelle que soit l’intensité du désir des hommes pécheurs de nier l’existence de Dieu et de sa Vérité absolue, ils n’en devront pas moins se tenir devant lui en jugement. La Bible déclare : « Du haut du ciel, Dieu manifeste sa colère contre tout péché et tout mal commis par les humains