La Voix des Femmes

divisées en voyelles, ainsi dites voyelles, parce qu'elles expriment les voix; et en consonnes, ainsi appelées consonnes, parce qu'elles sonnent avec les voyelles, et ne font que marquer les diverses articulations des voix. Il y a cinq voyelles, ou voix, A, E, I, O, U. M. Jourdain : J'entends tout cela. Maître de Philosophie : La voix, A, se forme en ouvrant fort la bouche, A. M. Jourdain : A, A, Oui. Maître de Philosophie : La voix, E, se forme en rapprochant la mâchoire d'en bas de celle d'en haut

conservés pour Alcools en 1913 et qui proviennent initialement d’un recueil programmé dès 1904 et qui devait s’intituler Le Vent du Rhin. (Nuit rhénane, Mai, La synagogue, Les Cloches, La Loreley, Shinderhannes, Rhénane d’automne Les Sapins, Les Femmes.) D’inspiration allemande, ils sont regroupés dans le recueil définitif. Automne malade date aussi de cette période avec d’aures pièces dispersées dans le recueil. Ce sont les seuls poèmes datés d’Alcools (septembre 1901 mai 1902.) En les plaçant

pour le droit de vote des femmes : Wyoming en 1868 Colorado en 1893[7] Utah et Idaho en 1896 Le droit de vote est par la suite accordé aux femmes de façon progressive dans la majorité des pays à partir de 1906 (liste non exhaustive après 1940) : 1906 : en France Paul Dussaussoy dépose à l'Assemblée nationale le premier projet de loi pour rétablir le droit de vote des femmes aboli depuis la Révolution. Le Sénat s'y oppose. Finlande (avec éligibilité égale des femmes et des hommes) et Nouvelles-Hébrides

 En 1978, au lendemain de la Révolution Tranquille, Denise Boucher scandalise le théâtre québécois. Dans le texte de sa pièce Les fées ont soif, l’auteure dénonce l’aliénation des femmes de façon plutôt choquante. Plus de quarante ans ce sont écoulées et la pièce est toujours d’actualité. La mise en scène d’Alexandre Fecteau, présentée à la Bordée, accentue la signification du texte en mettant l’emphase sur la façon dont les personnages sont interprétés par les comédiennes ainsi qu’en leur attribuant

pour évoquer la tristesse, la nostalgie de ses amours passés, les relations avec les femmes. Il associe la pluie à des voix de femmes mortes (« il pleut des voix de femmes comme si elles étaient mortes »), des femmes qu’il a aimées dans le passé (« c’est vous aussi qui pleut merveilleuses rencontres »), à une musique ancienne (« le regret et le dédain pleurent une ancienne musique ») et à des liens avec ces femmes (« les liens qui te retiennent »). Dans le poème « Pluie », le poète exploite le thème

pour quoi ils ont été élus. Si l'élection est au cœur de la démocratie représentative, elle est organisée selon des règles précises -notamment en ce qui concerne la sélection des candidats -, qui peuvent conduire à une sous-représentation des femmes en politique. L’élection est un moment où le peuple exprime ses préférences politiques. Elle remplit ainsi trois fonctions principales : La désignation des candidats La mesure du poids des différents partis Le maintien ou l’alternance

soit le petit matin, donc une periode ou les sens sont epuises au bout d'une veillee forcee de plaisir ou de volupte ou dans l'attente de l' inconnu sous la forme d'un voyage. Ce conte met en scene un souper, un drole de souper organisees par douze femmes de la societe de Saint-Germain, toutes etant dechues comme victimes volontaires et involontaires des charmes, du don Juan, comte de Ravila.La mise en scene est preparee comme un lieu ultime de seduction et de jugement, comme devoilement de la verite

qui lui a enseigné parler français. Un roman épistolaire est un roman qui utilise les lettres pour narrer une histoire. Dans Lettres d’une Péruvienne, Graffigny utilise ce mécanisme pour transmettre un message féministe. Les lettres permettent une voix pour cette femme qui, dans cette société en France, ne l’avait pas normalement. Les Péruviennes ont utilisé les quipos ou, comme Graffigny a expliqué : « des cordons de coton ou de boyau, auxquelles d’autres cordons de différentes couleurs étaient

IntroductionPrésentation du poème : Les femmes, tiré du recueil Alcools de Guillaume Apollinaire, est composé de neuf quatrains en alexandrins rimés (rimes embrassées : ABBA), relève de l'esthétique du quotidien qui caractérise certaines des "Rhénanes". Il peint l'intérieur humble et les activités domestiques de la "maison du vigneron" où des femmes conversent paisiblement en évoquant leur monde familier. Intérêt du texte : Intégrant des fragments de dialogue, matérialisés par l'italique, à des

mirum » 4 voix vont se succéder les unes à la suite des autres de la plus grave à la plus aigüe. 2 hommes suivis de deux femmes. La 1ère voix est une basse. Comme son nom l’indique c’est la voix la plus basse chez les hommes. C’est la voix du patriarche, celle de la sagesse, de la raison. La deuxième voix est encore celle d’un homme mais un ténor. Cette voie est la plus haute chez les hommes, celle de la jeunesse fougueuse et impatiente. La 3ème voix est celle d’une femme. C’est la voix la plus