La Vie Est Elle Injuste

outrages qu'ils avaient reçus de leurs patrons, la première loi qu'ils y firent fut d'ôter la vie à tous les maîtres que le hasard ou le naufrage conduirait dans leur île, et conséquemment de rendre la liberté à tous les esclaves : la vengeance avait dicté cette loi ; vingt ans après, la raison l'abolit, et en dicta une plus douce. Nous ne nous vengeons plus de vous, nous vous corrigeons; ce n'est plus votre vie que nous poursuivons, c'est la barbarie de vos coeurs que nous voulons détruire ; nous vous

: ce n'est ni bon, ni honnête - 3.1.2 : nous en avons convenu sérieusement - 3.1.3 : quelles que soient les circonstances, l'injustice est un mal et une honte + 3.2 : il n'est pas permis de faire le mal - 3.2.1 : faire le mal est injuste + AP4 : S'enfuir serait injuste. + 4.1 : les considérations d'argent de réputation, d'enfants, n'ont rien à voir là-dedans - 4.1.1 : c'est l'opinion (frivole) de la multitude - 4.1.2 : en payant pour nous enfuir, il faut nous demander si nous commettrions une injustice

I. La mort injuste A. L'expression de la mort - temps : présent début et fin du poème (v.1 et 24) > thème omniprésent, donc important. - image de la mort mise en relief par ouverture du poème. S'impose par anaphore " un homme est mort... " (v.1, 3, 5) - place du mot " mort " à l'hémistiche > accentue brutalité mot monosyllabique - écho créé par construction identique, v.24 ; image mort renforcée par poitrine trouée " v.25 - anaphore insiste sur l'indéfini > Péri prend valeur de symbole - identité

sont multiples (rappel) - Que les inégalités économiques et sociales sont cumulatives et systémiques (rappel) - Que rechercher une forme d’égalité (droits, chances, situations) revient à faire des choix dans ce qui est considéré comme juste et injuste. - En quoi les différentes conceptions de la justice sociale adhèrent et/ou renoncent à certaines formes égalités. - La conception utilitariste de la justice sociale ainsi que ses limites (Bentham) - La conception libertariste de la justice sociale

destinées à régir son fonctionnement et à organiser les relations, économiques ou politiques, des personnes qui la composent. En première approche, le droit est un ensemble de règles destinées à organiser la vie en société. Le droit est alors vu sous l'angle de son objet : organiser la vie sociale. Elles sont donc formulées de manière générale et impersonnelle, sans concerner personne en particulier, mais en visant toutes les personnes qui forment le corps social. Cette vision du terme droit est

sociale et inégalités Stratification ou structure sociale : organisation de la société en groupes sociaux relativement stables, ce sont presque toujours les mêmes individus qui en font partie. Ces groupes son homogènes par leurs revenus, mode de vie, valeurs, statut juridique … Cependant chaque groupe est distinct des autres et tous sont hiérarchisés. La stratification sociale désigne en fait les différentes formes de différenciation sociale que l’on rencontre dans la plupart des sociétés, comme

n'y aurait simplement pas de gouvernements. Tout se que dit et fait les gouvernants est dans l'intérêt des gouvernés. Thrasymaque veut préciser sa pensée. Il dit que Socrate est idéaliste et que ce n'est pas comme ça que ça se passe dans la vrai vie. Chaque homme gouvernant gouverne parce que ça lui rapporte. Ils veullent donner le moins possible aux gouvernés et le maximum à eux même. Dans le discours de Glaucon, suite à celui de Thrasymaque, il dit que certaines choses sont agréables et ont

pilleront. Ils n’éprouvent aucune pitié pour la race humaine et ne veulent que plus de biens. Comme le dit Caligula « Si le Trésor a de l’importance, alors la vie humaine n’en a pas » (l. 23-24). Malgré ces fortes similitudes, les deux extraits font partie chacun de deux style totalement différent. En effet, Jarry met en avant un roi injuste mais aussi stupide. Il cherche à ce que le spectateur rie de sa bêtise. Ubu a des répliques presque enfantine, comme un enfant gâté qui ne cherche qu’à avoir

sera en premier lieu traité de la blessure, des souffrance que cela causé à Rousseau, et, en second lieu, de la transformation de ces blessures en philosophie, et l'apparition chez Rousseau d'un sentiment de responsabilité vis-à-vis de "toute action injuste, quel qu'en soit l'objet et en quelque lieu qu'elle se commette" (l. 558-559) Rousseau emploie intensivement le champ lexical du la souffrance: "mon coeur s'enflamme" (l. 556), "que j'ai soufferte" (l. 567). Rousseau a une sensibilité à fleur

équipement que son adversaire , qu’il a été victime de «lag» dans le cadre d’un jeu en ligne, etc… Selon Galliclès, les faibles (et les perdants si on le veut) ont inventé la morale et les lois afin de faire croire que le plus fort est mauvais et injuste. Cet exemple est très présent notamment dans tout ce que l’on peut inclure dans les gestions de compagnies et d’argents. Le plus intelligents écrase le plus faible, les gens crient au scandale pour avoir l’air de bonnes personnes. Mais si nous pourrions