La Redistribution Des Revenus A T Elle Permis De Faire Disparaître La Pauvreté En France

monde, pauvreté des nations Daniel COHEN Introduction Actuellement on observe un enrichissement rapide jamais connu et contrasté par l'appauvrissement de certaines zones des pays développés qui pose une ombre sur un avenir qui semblait radieux. La mondialisation est mise en cause dans ce phénomène mais l'appauvrissement des pays riches n’est pas causé par des échanges avec l'étranger. Les changements qui s'opèrent sont le résultat de la transformation même du capitalisme qui a imposé une

eo Pan eee ra (oes rac Pee eS re 5] © ve ®OO foc EY Les effets de la redistribution sur les inégalités Effet de la redistribution sur les niveaux de vie Effet de la redistribution sur les niveaux de vie pour les 20% les plus aisés et les 20% les plus modestes pour les 10 % les plus aisés et les 10 % les plus modestes Revenu mensuel Revenu mensuel Rapport, Revenu mensuel Revenu mensuel Rapport, moyen des 20% moyen des 20% moyen des 10% moyen des 10% les plus modestes les

CORRECTION : La réduction des inégalités est-elle un frein à la croissance ? Le gouvernement Raffarin projette d’instaurer une amnistie des capitaux sortis de France illégalement : en payant une taxe légère, les ménages pourraient rapatrier leurs capitaux qu’ils avaient placé à l’étranger. L’objectif de cette mesure serait d’accroître la quantité de capitaux prêts à être investie en France. Pour être efficace, elle devrait être couplée avec une autre stratégie : la réduction de l’imposition des

Alexis Colardelle A quoi sert le SMIC ? 26/02/14 Introduction : À la différence du SMIG basé sur l'inflation, le SMIC est revalorisé au minimum à hauteur de la moitié de l’augmentation du pouvoir d’achat du salaire horaire de base ouvrier (SHBO). Il peut bénéficier de hausses supplémentaires (familièrement appelées « coups de pouce ») de la part du gouvernement. Pendant sa campagne, François Hollande avait promis un petit coup de pouce au salaire minimum. Par définition, le SMIC

et de la politique économique 1) Définition de l’Etat (selon Max Weber) L’Etat fait usage de la contrainte dans son rapport avec les autres agents économiques. L’Etat est la seule institution qui a ce pouvoir. L’Etat a pour fonction minimale d’assurer l’ordre dans la société. 2) Les origines de l’Etat a) La théorie du contrat social La situation « de nature » définie par Hobles : « la guerre de tous contre tous » car les individus guidés par intérêt personnel, ont droit sur toutes choses. Conséquences :

l’euro peut être amélioré par le choix d’une institution budgétaire commune 5 1) Les raisons actuelles qui poussent la zone euro vers le fédéralisme 5 A. La récession économique de la zone euro 5 B. Ce qui se met peu à peu en place pour le fédéralisme budgétaire 6 2) Les avantages d’un fédéralisme budgétaire dans la zone euro 8 A. Il évite les divergences entre les régions et amène une stabilité au niveau budgétaire 8 B. Il permet la présence d’une zone monétaire optimale et l’exploitation

4X·HVWFH TXH O ·pFRQRPLH " 1 – LES BESOINS Depuis que l’homme existe, il a toujours éprouvé des besoins. Certains sont primaires ou biologiques : se nourrir, se vêtir, se loger. D’autres sont dus à la société dans laquelle on vit : lire, écouter un disque, voyager… Ce sont les besoins secondaires ou de civilisation. Ces derniers s’accroissent sans cesse. 2 – LA PRODUCTION ET LA CONSOMMATION DES BIENS ET SERVICES Pour satisfaire ces besoins, l’homme utilise des biens. La nature ne lui fournit qu’un

sur les marchés 1. L’organisation des échanges 1.1 Pourquoi échange-t-on ? La division du travail constitue la règle dans nos sociétés : aucun individu ne peut prétendre produire tous les biens nécessaires à la satisfaction de ses besoins. Ainsi, la spécialisation des individus les conduit à échanger le surplus de leur propre production, qui excède leurs besoins, contre le surplus de production d’autres individus. Il est vrai qu’il est toujours possible de s’approprier par la force ce que les autres

des privilèges liés à la société d’ordres sous l’Ancien Régime s’est accompagnée d’une promotion de l’égalité des chances au rang de valeur cardinale au sein des sociétés démocratiques. L’école joue ainsi un rôle de plus en plus importante en organisant ne compétition ouverte à tous pour l’obtention de titres scolaires dont découlent indirectement les statuts sociaux de chacun. L’influence des origines sociales a-t-elle pour autant disparu ? La mobilité sociale correspond-elle à cet idéal d’égalité

la protection et de la reconnaissance sociale. L’homme socialement disqualifié est à la fois vulnérable face à l’avenir et accablé par le poids du regard négatif qu’autrui porte sur lui. Si ce concept est relativement récent en sociologie, on peut y voir son origine dans les travaux de Georg Simmel au début du XXe siècle sur le statut des pauvres (Simmel, 1998). L’objet d’étude qu’il propose n’est pas la pauvreté ni les pauvres en tant que tels mais la relation d’assistance entre eux et la société