La Redistribution Est Elle Toujours Efficace

La redistribution en France Introduction : Les écarts de niveau de vie ont baissé si l’on se place sur une longue période. Cependant, elles repartent à la hausse depuis une quinzaine d’années. Principalement parce que les niveaux de vie des très riches se sont envolés mais aussi parce que ceux des plus pauvres ont diminué dans les années récentes. Le jugement que l’on peut porter sur les inégalités de revenus dépend de l’échelle de temps et de l’instrument de mesure que l’on utilise. La redistribution

français de la redistribution des revenus est-il un système efficace ? Introduction : La répartition primaire des revenus (salaires, revenus du capital, profit) aboutit à d’importantes inégalités. Certains agents ne perçoivent ni revenu du patrimoine ni revenu d’activité (chômeurs, malades, etc.). Cette situation jugée intolérable dans une société développée a amené l’Etat, dès le début du 20ème siècle, à organiser un système de redistribution des revenus. En effet le système de redistribution permet de

un retour à l’équilibre. C’est ce qu’on appelle l’autorégulation du marché, c’est-à-dire la capacité qu’a le marché à maintenir automatiquement l’équilibre, grâce à l’intervention d’une « MAIN INVISIBLE » (métaphore d’Adam, Smith). b)Toujours selon le document 2, la concurrence permet, là aussi théoriquement la baisse des prix. Cela est flagrant lors de l’ouverture d’un marché qui était jusqu’alors géré par une entreprise monopolistique (ce fût le cas pour Air France®, qui possédait le

Année scolaire 2012-2013 TERMINALE ES - DISSERTATION MAISON - CORRIGE Sujet : « Dans quelle mesure l’action des pouvoirs publics est-elle efficace pour lutter contre les inégalités ?» INTRODUCTION Ouverture : Dans les sociétés démocratiques « les hommes naissent libre et égaux en droit ». Pour Tocqueville ses sociétés sont donc caractérisées par une « passion pour l’égalité » car l’égalité des droits favorise un sentiment d’égale considération qui pousse à l’égalisation des conditions. Donc

l’État (2ème partie). I - Le rôle de l’État dans l’économie Libéraux et keynésiens s’affrontent quant au rôle de l’État dans l’économie. 1. La vision libérale Pour les économistes libéraux, seule la régulation de l’économie par te marché est efficace. Les déséquilibres ne sont pas durables. Pour A. Smith il existe une « main invisible » qui va les corriger. Chaque agent économique, en recherchant son intérêt personnel, va permettre la satisfaction de l’intérêt général. Les libéraux considèrent

égalités théoriques seulement et non de faits. On peut citer l’égalité des chances ou encore l’égalité des situations. Les mécanismes du marché, la libéralisation des économies occidentales enclenchées par un souci de croissance toujours plus élevé ont posé de nombreux problèmes sociaux, en particulier depuis ces 30-40 dernières années marqués par un déclin de l’Etat providence au profit de mode de régulation économique accès davantage sur l’offre que la demande, accompagné de

fonctionnement 2.1.2. Problèmes fondamentaux 2.2. Assurances privées et assurances publiques 3. L’ENJEU DE L’EQUITE ET DE LA SOLIDARITE 3.1. Fonction d’assurance et fonction de redistribution 3.1.1. La fonction d’assurance (pure) : mutualisation et neutralité actuarielle 3.1.2. Redistribution horizontale, redistribution verticale 3.2. Assurance, assistance, prestations universelles 3.2.1. Les prestations assurancielles 3.2.2. Les prestations assistancielles 3.2.3. Les prestations universelles

politiques de redistribution. En effet, dans le premier cas, il appartient au marché et à lui seul de fixer le prix d’équilibre des facteurs et des biens et des services. Dans le second cas, toute redistribution ayant pour objet d’augmenter l’utilité marginale d’un agent ou d’une catégorie d’agents au prix d’une diminution de l’utilité marginale d’un autre agent ou d’une autre catégorie d’agent est exclue par le principe de non comparaison des utilités. Certes, Musgrave inclut la redistribution dans les

l'intermédiaire des moyens financiers, la croissance des pays pauvres sera financée de façon à ce qu'ils atteignent le niveau de développement des pays riches, d'où convergence. Les fortes perspectives de plus-values attirant toujours un nombre grandissant d'investisseurs, il y aura toujours un investisseur volontaire pour financer l'investissement des pays pauvres. Cette concurrence entre intermédiaires financiers constitue une hypothèse majeure du système du crédit parfait. La recherche du rendement le

CNED Lille J.P. Delas Dissertation d’économie générale Sujet La redistribution des revenus est-elle un frein ou un facteur de l’efficacité économique ?. Introduction Accroche Près du tiers du revenu des ménages provient des transferts sociaux tandis que les prélèvements obligatoires représentent plus de 45 % du PIB ; c'est donc un revenu disponible (Revenu primaire - prélèvements obligatoires + prestations sociales) radicalement différent de leur revenu primaire (issu d'une contribution