La Prudence Est Elle La Vertu Des Gouvernants

l'autorité, une fois qu'ils en jouissent. § 7. Donc évidemment, toutes les constitutions qui ont en vue l'intérêt général sont pures, parce qu'elles pratiquent rigoureusement la justice. Toutes celles qui n'ont en vue que l'intérêt personnel des gouvernants, viciées dans leurs bases, ne sont que la corruption des bonnes constitutions ; elles tiennent de fort près au pouvoir du maître sur l'esclave, tandis qu'au contraire la cité n'est qu'une association d'hommes libres.http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/Aristote/politique3

égaux disposant d’un lopin de terre identique. 4) La démocratie athénienne Pour comprendre la démocratie athénienne, il faut s’émanciper de la démocratie d’aujourd’hui. Environ au V siècle avant JC ; Un principe : principe d’identité entre les gouvernants et les gouvernés, c’est-à-dire qu’ils sont identique. La démocratie est donc le gouvernement du peuple par le peuple. 3 grandes caractéristiques sortent de ce principe : * La liberté : les athéniens sont libres, ils ne peuvent être entravés

nécessairement vivre dans la cité, sinon il perdrait sa perfection et vivrait dans « l'injustice armée » ( l’individu isolé n’est pas homme hors de la société politique : c’est une bête ou un dieu). La natute dote l’homme d’ « armes de la sagesse et de la vertu, qu'il doit surtout employer contre ses passions mauvaises ». Ainsi la justice est une nécessité sociale : le droit = règle de l'association politique et la décision du juste = le droit II- Pour comprendre la cité, il faut d’abord comprendre ce

certaine trivialité. Il est élevé comme un animal, comme un chien. On ne répond qu’a ses besoins les plus élémentaires. De plus c’est au même âge que Gargantua « [commence] déjà à essayer sa braguette » et ses gouvernantes se battent pour la posséder en quelque sorte. Ce sont donc ses gouvernantes qui l’élèvent. Il fait vraiment tout ce qu’il veut et personne ne semble lui fixer de règles puisqu’il se comporte de façon vraiment grossière mais que personne ne lui dit rien. 2) Un esprit aux préoccupations

constitution de Virginie de 1776 et de 1787 des EU ainsi que la constitution polonaise de 1791, on peut donc dater les constitutions de l'ére moderne du 18 iémes siécles. par l'établissement de ces constitutions on cherche a limiter le droit des gouvernants et a affimer des droits et libertés au profits des gouverner. La constitution c'est le statut de l'état. C'est le conseil constitutionel qui regarde si les lois respecte la constitutions. 2) Disctinctions entre constitution contumiére et constitution

& la nature) est toujours problématique. Elle met en jeu une lutte de pouvoir, ce qui indique aux yeux d’Aristote que personne n’ait pour gouverner & que le choix des modalités de l’organisation des sociétés et de la désignation de ses gouvernants doit faire l’objet d’un débat public qui requiert la mise en œuvre de cette caractéristique proprement humaine qu’est le « logos » dans toute la polysémie de ce terme qui signifie langage et raison. Pour Aristote, on ne saurait distinguer les caractéristiques

ne semble pas moins hors de portée que celle de tous les satisfaire. La problématique du bonheur se situe au croisement de deux problématiques, difficilement conciliables, celles du plaisir et celle de la moralité. Le bonheur – entre plaisir et vertu (Socrate et les sophistes) « Un plaisir pourrait s’identifier avec le plus grand bien, même en admettant que la plupart des plaisirs se trouvent être absolument mauvais. Pour cette raison, tout le monde estime que la vie heureuse est agréable, attendu

légitimité du référendum se confronte à deux problèmes : la souveraineté et la démocratie représentative. 1 - Démocratie représentative et démocratie directe - La démocratie représentative est considérée comme une souveraineté nationale où les gouvernants appliquent le pouvoir en fonction de la Nation s’exprimant par un territoire, une population ou une revendication déterminée. - Débat sur la souveraineté permettant le référendum : opposition entre la souveraineté nationale appartenant aux représentants

sont les vertus. Le mot vertu vient du mot latin « vir »: force, excellence. Saint Thomas d’Aquin définit la vertu comme « habitus opératif bon ». La vertu est une manière d’être stable, qu’on peut acquérir par la répétition de bonnes actions. On n’acquiert pas une vertu avec une action isolée ni on peut parler des vertus innées. La vertu perfectionne les puissances (les capacités) de la personne et facilitent le bien agir (exemple : travail). Le contraire est le vice. Classement des vertus : - Intellectuelles

l’équivalent du chef de famille : le roi. La seule différence serait encore une question de nombre, cette fois au niveau de l’exercice du pouvoir : le roi est seul à gouverner, alors que dans la communauté politique, tous gouvernent et sont tour à tour gouvernants et gouvernés. On oublie là que la différence n’est pas de fin, mais de nature de pouvoir. Aristote expliquera ainsi que le roi exerce un pouvoir sans partage parce qu’il est jugé d’une nature et d’une qualité différentes de celles des hommes qu’il