La Méduse Caravage

à partir des arguments suivants : – grâce au réalisme, attirer davantage le public qui pourra se reconnaître dans le personnage représenté : la peinture sacrée en tire une force et un attrait supplémentaires ; – poursuivre la tradition du Caravage en l’adaptant à de nouveaux codes esthétiques (l’épure, la simplicité…) ; – être au plus près de la leçon spirituelle : humilité, acceptation de l’homme tel qu’il est. Il conviendra de respecter les règles du discours sur le plan de l’énonciation

suite à ses missions d’ambassadeur des archiducs de 1600 à 1609 en Italie et en Espagne. L’Italie lui révèle la puissance tourmentée de Michel-Ange, l’équilibre des compositions de Raphaël, les nus voluptueux du Titien, le clair-obscur dramatique du Caravage. Il écrivait : « Je suis d’instinct plus porté à exécuter de grands travaux que de petites curiosités ». Il fait référence à la peinture flamande était un art de cabinet qui se caractérisait par une peinture minutieuse faite pour être vue de près

à partir des arguments suivants : – grâce au réalisme, attirer davantage le public qui pourra se reconnaître dans le personnage représenté : la peinture sacrée en tire une force et un attrait supplémentaires ; – poursuivre la tradition du Caravage en l’adaptant à de nouveaux codes esthétiques (l’épure, la simplicité…) ; – être au plus près de la leçon spirituelle : humilité, acceptation de l’homme tel qu’il est. Il conviendra de respecter les règles du discours sur le plan de l’énonciation

par exemple. L’idée de mouvement giratoire et obsédant est d’ailleurs traduit par cette multiplicité de points de vue. La touche est fluide et pas encore fractionnée, l’influence décelable ici renvoie plutôt au symbolisme (J. Ensor ou la Méduse du Caravage). L’artiste se représente hanté, en tous les cas conscient la mort qui guette, image du memento mori qui fait référence à une tradition picturale. Aussi, si le mouvement futuriste dénonce cette tradition mortifère, dans un 1er tps pourtant

c’est-à-dire qu’ils permettent d’illustrer et d’expliquer des situations douloureuses, qu’elles soient intimes ou plus collectives. Véritables allégories, les mythes nous apprennent enfin beaucoup sur nous-mêmes. © Éditions Foucher iconographie : Le Caravage (1595) – voir le manuel p. 98 –, Poussin (1650), John William Waterhouse (1903), et travailler à partir des représentations des élèves. Que montre le tableau proposé ? Qui en est la figure centrale ? On pourra également les interroger sur les titres

musée du Louvre, 22 h 56 Jacques Saunière, le célèbre conservateur en chef du musée du Louvre, s'élança en courant dans la Grande Galerie. Le vieillard de soixante-seize ans saisit à deux mains le premier tableau qui se présenta sur sa droite, un Caravage, et tira dessus de toutes ses forces. Le grand cadre en bois doré se décrocha de sa cimaise et Jacques Saunière s'écroula sous le poids du tableau. Comme il s'y attendait, une énorme grille métallique s'abattit à l'extrémité est de la galerie, ébranlant

l’extrémité de la jetée pour une sorte de vérification qu’il jugeait superflue et dans le fond ridicule. Après si longtemps, le K, en admettant que l’histoire racontée par son père fût vraie, avait certainement renoncé à l’attaque. Mais Stefano resta médusé, le cœur battant la chamade. À deux, trois cents mètres du môle, en haute mer, le sinistre animal croisait lentement, sortant la tête de l’eau de temps à autre, et regardant vers le rivage comme pour voir si Stefano venait enfin. C’est alors

lui la technique en tant qu’activité de la main. On y voit un menuisier-charpentier qui travaille le bois à l’aide d’un marteau et d’un ciseau. Le tableau a été réalisé par Gerrit van Honthorst (1590-1656), un peintre hollandais de l’école du Caravage (ainsi qu’en témoigne dans ce tableau l’utilisation du clair-obscur). Réputé de son vivant, il a réalisé beaucoup de portraits à travers l’Europe. Le tableau représente en fait saint Joseph dans son activité de charpentier ; le bras qui tient la

Menines. Murillo, l’excellent portraitiste, fait vivre sa Marchande de fleurs. En France, Nicolas Poussin (1594-1665) peint le Paradis terrestre ; Claude Gellée, dit Le Lorrain (1600-1682) représente un Port de mer au soleil couchant . En Italie, Le Caravage (1573-1610) offre un magnifique Bacchus couronné. En Hollande, Vermeer de Delft (1632-1675) peint La Dentellière – titre du Goncourt de Pascal Lainé, en 1974. Rembrandt (1606-1669) représente La Ronde de nuit (qui, en fait, se déroule en plein jour…)

Menines. Murillo, l’excellent portraitiste, fait vivre sa Marchande de fleurs. En France, Nicolas Poussin (1594-1665) peint le Paradis terrestre ; Claude Gellée, dit Le Lorrain (1600-1682) représente un Port de mer au soleil couchant. En Italie, Le Caravage (1573-1610) offre un magnifique Bacchus couronné. En Hollande, Vermeer de Delft (1632-1675) peint La Dentellière – titre du Goncourt de Pascal Lainé, en 1974. Rembrandt (1606-1669) représente La Ronde de nuit (qui, en fait, se déroule en plein