La Méduse Caravage

Persée : héros et fils de Zeus et Danaé (mortelle, fille du roi d’Argos : prophétie qui disait qu’il serait tué par son petit-fils, il emprisonne alors sa fille, qui réussit à séduire Zeus qui se transforme en pluie d’or). Ses attributs : tête de Méduse (Gorgone, à sa seule vue les Hommes avaient le visage figé), casque ou chapeau à larges bords, faucille, sandales ailées, besace (kibisis).  Vase, amphore à figures noires, 550 avant JC (British muséum) : besace, chapeau à la larges bords ... On

poésie latine (Ovide et ses Métamorphoses). C’est comparer un discours appauvrissant et contraint à celui hautement éthique de la parole poétique, champ où ne règne plus l’ordre mais la vraie liberté.   [pic]Giambattista Calandrucci. Tête de Méduse, XVIIe siècle Dessin, 32 x 17 cm. Louvre, D.A.G., Paris. © Rmn, Paris Le propre du mythe dans la tragédie grecque était de permettre aux spectateurs de s’identifier au destin exemplaire d’un héros à travers la catharsis tragique, véritable traversée

Les Noces de Cana (1562) Baroque : Le Caravage (1571-1610) Pierre-Paul Rubens (1577-1640) Johannes Vermeer (1632-1675) La Jeune Fille à la perle (1665) Rococo : Antoine Watteau (1684-1721) Jean-Honoré Fragonard (1732-1806) Le Verrou (vers 1776) EPOQUE CONTEMPORAINE (1789 à nos jours) Néoclassicisme : Jacques-Louis David (1748-1825) Jean-Auguste Ingres (1780-1867) Grande Odalisque (1814) Romantisme : Théodore Géricault (1791-1824) Radeau de la Méduse (1819) Eugène Delacroix (1798-1863)

également à peindre le laid et même l’atroce tout en les rendant attractifs aux yeux du public surpris par une courbe, un regard apte à susciter une émotion. Rubens introduit dans ses compositions des corps plantureux exprimant amour et sensualité. Le Caravage éclaire ses personnages d’une lumière si violente qu’elle trouble le spectateur attiré malgré lui par des tableaux mêlant élégance et vulgarité, harmonie et réalisme cru, sensualité et atrocité. Le « voyeurisme » attire le regard comme un aimant

Contemporain et ami de Vélasquez, Zurbarán se distingue dans les peintures religieuses — où son art révèle une grande force visuelle et un profond mysticisme — et il devient un artiste emblématique de la Contre-Réforme1. D'abord très marqué par le Caravage, son style austère et sombre évolue pour se rapprocher des maîtres maniéristes italiens. Ses représentations s'éloignent du réalisme de Vélasquez et ses compositions s'éclaircissent dans des tons plus acides. Saint François ( 1659 ) Zurbaran

réalisme. William Blake et William Turner illustrent l’école romantique anglaise. En France, Théodore Géricault et Eugène Delacroix seront les chefs de file du romantisme français. 7 Analyse d’une peinture le radeau de la méduse (1818-1819) - Théodore Géricault (1791-1824) 7.1 Biographie de l’auteur L’artiste, issu de la haute bourgeoisie, est passionné par l’art et l’équitation. Il commence à peindre à l’âge de 15 ans. Ses premières œuvres représentent principalement

Était-il ignorant ou feignait-il de l’être ? Dix n’était certes pas un inculte il vénérait les peintres anciens comme Dürer et Cranach et l’attraction qui le nourrissait se retrouve notamment dans son travail en gravure. Quand le peintre Le Caravage (1571 -1609) peint vers 1599 Judith et Holopherne, sujet maintes fois traité auparavant dans l’histoire de l’art, il exhibe bien la tête tranchée du général et ce n’est pas à proprement parler une image plaisante. Mais si la scène est monstrueuse

Marat (Bruxelles, M. R. B. A.), où la référence à l'art ancien (Caravage ou la Pietà traditionnelle) est totalement mise au service d'un message contemporain. Le Marat de David, œuvre dont le caractère d'affliction porte le poids de l'idéalisme méditatif de l'artiste, domine l'art français de cette période. Le legs de cette vision noire de l'épopée a été recueilli par Gros (Bataille d'Eylau, 1808, Louvre), Géricault (le Radeau de la Méduse, id.), Delacroix (Dante et Virgile, 1822, id.) et même par Daumier

penser par elle-même l’énigme de la beauté et le sens de l’œuvre.             L’obstacle transcendantal est plus essentiel : il est sans doute bien difficile de penser la beauté, puisque la beauté, par le seul éclat de son apparition, fascine et méduse la pensée. Il y a peut-être un antagonisme fondamental entre la beauté, qui attire et suscite le désir, et la réflexion, qui prend du recul et se recueille en elle-même. La beauté est aliénante : elle me transporte hors de moi-même (ravissement),

personnages principaux. Découverte SFUMATO avec de Vinci : fondre le personnage dans son lieu. Arrière flouté (derrière la Joconde). BAROQUE – 1600 à 1648. Epoque bizarre, irrégulière. Liée à la réforme catholique. Rubens, Velasquez, Rembrandt, le Caravage. Supports : mural et plafond. Dimensions considérables des œuvres. Plein d’œuvres dans la même pièce (sculptures, peintures. Bois très présent dans le nord, la toile dans le sud. Peinture à l’huile pour les décors dans les églises. Religieux très