La Misère du monde

maîtrise de ses désirs grâce à l’usage de sa raison. Mais, on peut aussi définir le bonheur comme l’accomplissement de ses désirs. Dès lors, il faut s’interroger sur la nature du désir. Nous allons nous demander si le désir est la marque de la misère de l’homme. Du latin desiderare («regretter l’absence de»), on a souvent défini le désir comme manque et de par cette définition, il serait impossible au désir de se réaliser, auquel cas il ne serait plus désir. Cela serait le signe de l’impuissance

féminin, l’auteur dénonce le sort des femmes du peuple au XIXe siècle. Il nous décrit tout d’abord la déchéance de Fantine puis se pose en juge de la société, responsable, selon lui, de la misère de la jeune femme. Nous pouvons nous apercevoir que Fantine est victime de la déchéance et vit dans la misère. Cette misère est tout d’abord matérielle. Hugo nous plante le décor de son cadre de vie. « Cellule », « mansarde […] sous le toit » et « galetas » (l.18-19), une accumulation de noms à connotation

vice et cherche à en détourner le lecteur Texte B : genre autobiographique mais Victor Hugo écrivain engagé, ici fait part de son indignation : registre polémique et pathétique Texte C : Jacques Prévert poésie engagée, met en évidence comment la misère, la faim peut conduire au crime Domaines d’application : la littérature en général, nécessite donc de recourir à des exemples variés Problématique : rôle de l’écrivain engagé et la force dénonciatrice des œuvres littéraires (injustices, inégalités

s’entrelacent : la précarité, la misère, l’amour et la fierté. Tout cela sur un fond d’immersion sociale dans le monde des gitans. L’écriture d’Alice Ferney Alice Ferney ose le mélange d’une écriture simple et agréable avec un vocabulaire gitan. Ainsi nous sommes très facilement plongés dans la culture de cette communauté en marge. Par l’utilisation de ce langage, l’auteure facilite l’entrée du lecteur dans cette famille. Aussi est-il facile pour lui de s’imaginer ce monde de dénuement, de précarité

plus viles peuvent devenir un objet poétique et esthétique; tel un alchimiste il pense pouvoir transformer un métal indigne en or. Baudelaire est indécis, parfois rêvant d’un idéal parfois sombrant dans le désespoir, il tourne son propos vers la misère, le mal ou la laideur tout en en tirant ce qu’il y a de plus beau. Dans un salon de 1859, Baudelaire déclare « le vrai poète, ne doit peindre que selon ce qu’il voit et qu’il sent. Il doit réellement être fidèle à sa propre nature » ; il faudra

=> sécurité (« grille »), avec « la blancheur d’un joli château frappé par le soleil » (éclat du lieu, symbolique ; luxe…) s’oppose à un lieu de vie plus incertain « sur une route » (errance) « entre les chardons et les orties » => hostilité de ce monde, vie ingrate et marginalité. On imagine l’enfant rejeté, dans le fossé. L’opposition entre les deux lieux est renforcée par « de l’autre côté de la grille »… * deuxième argument : des enfants « opposés » Tout les oppose : L’un est « riche », l’autre

cette misère apparente, et de la vision du poète. Ils sont " à genoux ", " voient ", " écoutent ", mais il ne se passe rien. De froid, ils se " blottissent " et " ne bougent pas ". Mais ils se sentent bien au vers 25, de sentir ce pain chaud. Ils ne portent que de maigres " haillons ", et " crèveront " leur culotte en priant. Leur chemise " tremblote ".  Rimbaud décrit ces enfant d'une manière apitoyante : " -Misère !- ", caractéristique de la compatiscence hugolienne ; pour peindre la misère, Rimbaud

d’un père médecin qui travaillait à l’hôpital des pauvres. C’est ce qui lui permet de faire, très jeune et très tôt, l’expérience de la misère. Parmi les problèmes les plus importants de la misère russe, il y a l’alcoolisme. L’ivresse étant la création artificielle Dès son plus jeune âge, Dostoïevski remarque certains des grands traits sociaux à travers la misère de Moscou. Il vit dans ce milieu, mais il est élevé de manière très stricte. Il perd sa mère assez jeune et à la mort de celle-ci,

revenir dans le droit chemin. Qui sont ces brebis égarées ? Tous les philosophes froids de cœur, qui refusent de se soumettre à leur nature imaginative. Ici il y a une note dramatique : ce que décrit Rousseau c’est la perte de l’individu, la misère parmi la misère. Rousseau ensuite développe son avertissement en posant deux propositions qu’il ne démontre pas, mais qui semblent évidentes. Le travail dans la suite du texte sera de développer ces deux propositions. On peut même noter que les deux prochaines

II. RELATION AVEC LA GEOGRAPHIE : ORGANISATION DU MONDE ACTUEL A travers ce livre, l’auteur a voulu nous illustrer la pauvreté, la misère et les conditions de vie difficiles des Bidonvilles de Calcutta. Et pour cause : Malgré que l’Inde soit un pays émergent dans les pays du Sud avec un certain potentiel de richesse, il reste tout de même faible par ses conflits raciaux, politiques et religieux. Par exemple, on apprend que la Cité de la Joie, le bidonville détenait une des densités de population