La Misère du monde

elle, mai à quoi bon ! C’étaient des pantoufles très grandes, sa mère les portait dernièrement ». L’exclamation « mais à quoi bon ! » montre la misère réaliste de la jeune fille. Elle ne peut cacher sa misère puisque même ses pantoufles ne lui vont pas. Les descriptions de l’auteur sont donc vraisemblables puisque le vêtement de l’auteur représente sa misère. Par ailleurs Il est important de signaler la dimension vraisemblable du texte du fait de sa dimension autobiographie mais aussi par l’importance

Fiche de citations sur Pascal -> Vanité « Qui ne voit pas la vanité du monde est bien vain lui-même » (fragment. 33) « Notre durée vaine et chétive » (f.29) « L’homme n’est qu’un sujet plein d’erreur naturelle » (f .41) « C’est être malheureux que de vouloir et ne pouvoir » (f.71) -> Misère « L’homme n’est qu’un sujet plein d’erreur naturelle » (f .41) « Misères d’un roi dépossédé » (f.107) -> Grandeur « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connait misérable »

yalnızlığı kendisiyle birlikte şiirin aşılmaz duvarları arasına. Baudelaire, eleve dans la religion catholique, a toujours reflechi sur le probleme de l'homme et de sa condition terrestre afin de mieux connaître les secrets de son propre etre dans ce monde sur lequel il se sentait jete comme une simple marionnette. Le poete touche par la curiosite de L'Inconnu a essaye de resoudre ce probleme en un systeme üniversel. II etait necessaire de chercher une reponse â une telle question a laquelle plusieurs

qu’il se pose, comme la peur de la mort par exemple. Peut-on trouver dans la littérature des réponses aux interrogations graves que nous nous posons ? La lecture apporte parfois du réconfort mais certains auteurs offrent un regard pessimiste sur le monde, peu réconfortant. Enfin la littérature permet de soulever des problèmes sans toujours y répondre. Grâce à la littérature, le lecteur peut trouver une véritable consolation. En effet elle nous offre un réconfort précieux. Tout d’abord, la littérature

réalité et de découvrir un monde plus vrai que celui dans lequel nous vivons. Cette recherche d’une vérité supérieure est menée à bien par une véritable dévotion à la Beauté, qui libère le poète du vulgaire et du commun. Ce culte de la Beauté existe déjà chez les parnassiens, mais chez les symbolistes, il n’est plus seulement un garde-fou contre les effusions, un moyen de garder ses distances par rapport aux sentiments, il répresente une marche quasi mystique vers un autre monde, une quête. Les principales

réalité et de découvrir un monde plus vrai que celui dans lequel nous vivons. Cette recherche d’une vérité supérieure est menée à bien par une véritable dévotion à la Beauté, qui libère le poète du vulgaire et du commun. Ce culte de la Beauté existe déjà chez les parnassiens, mais chez les symbolistes, il n’est plus seulement un garde-fou contre les effusions, un moyen de garder ses distances par rapport aux sentiments, il répresente une marche quasi mystique vers un autre monde, une quête. Les principales

nous sommes tous réunis ici dans cette Chambre des Pairs pour débattre, converser, voter... Mais avant cela si vous le permettez, j'aimerai profiter de votre présence ainsi que de votre écoute pour faire passer un message. On ne peut pas le nier, le monde s'enrichit avec le temps, c'est un fait. L'homme est maintenant à même de s'enrichir, puis de profiter de ses richesses, dans un agréable et luxueux confort. On ne peut le nier, la qualité, le niveau de vie des fortunés augmente et s'améliore. C'est

pas vraie pour tout le monde, juste pour ceux qui ont reçu une éducation religieuse) ==> Religion = « doux et amer poison » → drogue: apaise la souffrance (doux) / aggrave la situation du 'malade' (amer) -Remédier à la misère sociale ( → névrose, on espère sans agir) Religion = refuge, protection = prison. Freud ne peut pas concilier foi et raison. Condition de l'homme sans religion: -conscience de sa faiblesse -blessure narcissique (l'homme n'est pas le centre du monde) -conscience que l'humanité

Marx sont des indices de misère, d'accablement et d'illusion. De misère d'abord : « la misère religieuse est à la fois l’expression de la misère réelle et, d’autre part, la protestation contre cette mi­sère  ». L'existence des croyances religieuses est en corrélation avec l'existence de la misère matérielle. D'une part en ce que c'est elle qui incline les victimes de la misère matérielle à imaginer un au-delà idéal à l'opposé de l'indigence à quoi semble les confiner le monde réel. D'autre part en ce

surtout les nettoyaient » (l.1-2), «  ce gredin de décembre » (l.3-4), « le poêle ne se dérouilla seulement pas, il glaçait la pièce de sa mine lugubre… » (l.7-8). Les hyperboles accentuent la misère dans laquelle se retrouvent Gervaise et son mari Coupeau « la petite Sibérie de leur cambuse » (l.3), « la misère noire » (l.5), « ce qui leur cassait les jambes, ce qui les exterminait » (l.8). Les exclamations utilisées à la ligne 9 et 10 « oh ! Le terme de janvier !... que le père Boche prenait la quittance