La Misère du monde

caste et sans aristocratie légale, les misères despetits et des pauvres parleraient à l’intérêt, l’émotion, à la pitié, aussi hautque les misères des grands et des riches ; si, en un mot, les larmes qu’onpleure en bas pourraient faire pleurer comme celles qu’on pleure en haut. »,nous pouvons ainsi nous demander si la Bête Humaine illustre ces propos etrenouvelle le tragique?Pour répondre à cette problématique nous commencerons par mettre enévidence la misère des «petits» et des «pauvres» que peint

que veut mettre en place le président Truman : à mettre une politique d’aide aux peuple libre qui résistent actuellement aux régimes totalitaires et d’autre régime àaider les peuples en leurs donnant un soutient économique pour diminuer leurs misères et enlever les guerres civiles Le discourt de Truman reprend des principes de l’ONU créer après la seconde guerre mondial mais en faisant la guerre a un pays ou en entend au bord de l’affrontement avec un pays on ne peut pas l’aider économiquement

lecteur à entrer dans un autre monde, un monde virtuel qui, en occasions, peut lui paraître réel. Par exemple, Alice Ferney, auteur de Grâce et Dénuement, nous transporte dans le monde des gitans. Elle nous fait entrer dans leur vie. On découvre la vie des gens du voyage et les codes du monde gitan. La littérature nous invite á découvrir le monde. C’est est un processus similaire à celui du bébé qui, quelques minutes après sa naissance, part à la découverte du nouveau monde. Il commence à reconnaître

tout du monde ». Nous vivons au passé et au futur, mais jamais au présent. Nous sommes très peu capables de définir le juste et l’injuste si bien que la sagesse consiste à suivre les lois et les coutumes de son pays avec tout ce qu’elles ont d’arbitraire. III. Misère (fr. 49-71) Après avoir analysé les raisons pour lesquelles la vanité est partout, Pascal met en évidence qu’il est pénible et douloureux de prendre conscience de cette vanité et il va expliquer en quoi consistent nos misères. Nos bonheurs

*VU D'UN NARRATEUR INTERNE NEUTRE* J'ouvre le frigo. Plus une seule bière au frais. La vodka même pas au congélo. Et même plus une goutte de bourbon dans la bouteille. La dèche ! La pauvreté. Ô Misère, misèReeeee. Autant vivre dans une hutte en branches sous le soleil de Mexico. Ô Mexico, mexIcooooooo !. Au milieu de simples pécheurs. Seigneur, priez pour mon âme et pour ma soif. Je retrouve Kino, et sa ravissante femme Juana, des seins qui pendent et des hanches solides. Kino mon nouvel grand ami

mer ». Mais le poisson est aussi un des plus anciens symboles religieux, et, subtilement Nazim Hikmet accuse les Hommes d’être de fervents religieux et d’ignorer la misère du monde qui les entoure. Un peu comme si le poète disait « Tu vis dans le monde, et tu ignore le monde, tu veux aider ton prochain et tu fermes les yeux sur sa misère ». L’Homme suit l’Homme, et ceux qui sont miséreux et ne peuvent suivre sont laissés. L’Homme est un mouton, « Tu es comme le mouton, mon frère ». Le mouton

Paris. La galère et la misère deviennent son quotidien. Ainsi que pour « ses potes de galère » comme Titi, qui meurt seul dans le métro parisien face à l’indifférence la plus totale de tous. Rico est terriblement attristé par la perte de son seul véritable ami et se raccroche au plus heureux souvenir qu’il ait : son amour de jeunesse, Léa, qui habitait à Marseille lors de leur idylle. Dans l’optique de la retrouver, il se dit, comme dans la chanson d’Aznavour, que  « la misère serait moins pénible

concours de bonne conscience, surtout quand ils se nourrissent du désarroi des plus faibles. D’autant que cette phrase, témoin de ce que fut l’immense ambition de l’école républicaine française, sert aujourd’hui de paravent pour masquer sa grande misère. Son usage immodéré relève surtout d’un malentendu, ou plutôt d’un authentique anachronisme. Car elle est utilisée pour justifier la poursuite des mêmes aberrations pédagogiques qui ont miné l’école depuis plus de trente ans, et réclamer toujours

entre, d'une part, la pauvreté, la liberté, et la beauté et la noblesse, et, d'autre part, la gêne, la laideur, la mesquinerie, etc. du narrateur et des autres clients. Il critique donc la bourgeoisie, la société occidentale, fait l'éloge du Tiers-Monde, des immigrés (ligne constante dans son œuvre). On peut remarquer aussi la différence de comportement entre les garçons et les filles (et c'est dans tout le recueil que les femmes sont plus sensibles que les hommes). On peut enfin dégager l'idée

bonheur à Gervaise. D'abord Lantier, puis Coupeau, et enfin elle-même qui, ruinée, devra vendre son commerce - sa réussite - puis sombrera dans la misère pour finalement mourir de faim. « Gervaise est représentative de toute une classe sociale dont Zola brosse le portrait littéraire et scientifique. Le monde ouvrier que donne à voir Zola est un monde de misère si réaliste que l’on croirait pouvoir le toucher du bout des doigts. Zola a donc choisi ce titre pour sa forte puissance évocatoire sur le plan