Grâce et dénuement
La littérature nous invite á découvrir le monde. C’est est un processus similaire à celui du bébé qui, quelques minutes après sa naissance, part à la découverte du nouveau monde. Il commence à reconnaître les odeurs, les sons, les visages. Il appréhende le monde qui l’entoure. Il commence d’être attiré par le monde. Quand on lit on est aussi attiré par le monde extérieure, un monde qui peut être réel ou non. On commence à reconnaître et à découvrir −comme le nouveau-né− de nouvelles odeurs, des couleurs, des sons, etc.
Un livre est capable de changer une vie. Pour cette raison on remarque l’importance de la lecture dans le développement de l’enfant parce qu’elle permet à l’enfant de faire le lien avec le monde dans lequel il vit. Dans le livre Grâce et Dénuement, Esther se propose de lire des livres aux enfants gitans pour tenter de les scolariser, « Je crois que la vie a besoin des livres » elle dit. Ainsi, tous les
mercredis les enfants se sont laissé emporter par leur imagination et se sont immergés dans le monde de « Le Petit Prince », de « Babar », de « Poucette », etc.
La lecture permet de comprendre les autres car on découvre d'autres expériences, d'autres destins, d'autres valeurs, d'autres vies, d'autres paysages, d'autres mondes. C’est est une expérience sociale car on observe les autres et on envisage leurs manières de vivre dans des lieux différents. Dans le livre Grâce et