La Gestion Active De Portefeuille Obligataire

relativement aux grandes entreprises (cf. graphique). Le risque PME est en grande partie lié à des facteurs spécifiques (sectoriels, géographiques, humains, etc.) que la banque peut diversifier en mutualisant un grand nombre de créances PME dans son portefeuille de prêts. Le capital réglementaire associé aux créances PME baisserait ainsi d’environ 30% relativement à Bâle I. • En revanche, le capital réglementaire évolue fortement avec le risque de crédit, ce qui devrait inciter les banques à tarifer

financières de grande envergure : Bank Al Maghrib, la Banque Marocaine du Commerce Extérieur, la Banque Nationale pour le Développement Économique, la Caisse d'Épargne Nationale, la Caisse Nationale de Sécurité Sociale et la Caisse de Dépôt et de Gestion. Plusieurs options se sont imposées au lendemain de l’indépendance, et notre économie a connu une chute des investissements et une aggravation de la fuite des capitaux. Devant cette situation, il était nécessaire de mobiliser les ressources financières

continue pour une meilleure qualité de service l’organisation : implication et assistance la Qualité : notre cheval de bataille. la Conformité : veiller au respect des engagements d’une banque citoyenne Déontologie : une équipe, une volonté, un esprit Gestion Globale des Risques : une maîtrise renforcée du risque audit Général : nouveaux dispositifs pour un contrôle renforcé la Communication : accompagnement du développement de la banque 14 activité commerciale développée et ciblée la Banque de

règles ou de comportements, justement de nature à les éviter à l’avenir. A titre d’exemple, on retiendra les conséquences suivantes : la création de la SEC en 1930, la mise en place de coupe-circuit en 1987, l’organisation de la gestion des volumes (depuis 1989 ...), la gestion du risque systémique (LTCM en 1998). Les marchés modernes sont naturellement issus d’un certain nombre de réformes. Le modèle aura été bien entendu le Securities Amendment Act de 1975 au Etats-Unis, suivi du Big-bang anglais

titrisation a donné naissance à une gamme d'instruments de dette qui élargit la gamme d'instruments négociables à la disposition des investisseurs. Attirés par des rendements attractifs, ces derniers ont également trouvé un moyen de diversifier leurs portefeuilles, en tenant compte de la grande variété en termes de maturité, de coupon et de sensibilité aux taux d'intérêt de ces titres. En effet, cette technique est plus pertinente pour le développement des marchés financiers et le processus de désintermédiation

connu une évolution favorable en 2008, enregistrant une progression des encours de 52%. Ainsi, la production des crédits immédiats conventionnés représente aujourd’hui 1,21 milliard de dirhams, confortant la stratégie de développement soutenu du portefeuille des conventions de crédits BMCE Entreprises. De la même manière, les crédits immédiats non conventionnés distribués dans le cadre du partenariat avec Salafin enregistrent une croissance significative de 46,5% de leur production, passant de 372 millions

d’Espagne, sur la mauvaise qualité de la gestion interne de Banesto, qui a eu pour conséquence un retrait de près de 15% des dépôts par la clientèle. La banque fut alors obligée de se rabattre sur des ressources très coûteuses sur le marché. Depuis ces événements l’importance du risque de taux d’intérêt a pris de l’ampleur. Et les autorités de tutelles ainsi que les établissements financiers travail continuellement à la mise en place de système de gestion, et d’instrument de couverture efficaces

relatif à la Bourse des Valeurs. DÉCEMBRE 2004 Adoption de la capitalisation boursière flottante* dans le calcul des indices. Amendement du Règlement Général. JANVIER 2005 Mise en place de nouvelles conditions d'admission pour le Marché Obligataire. Instauration de critères de séjour à la cote pour le Marché des Actions. En 2007 : La bourse de Casablanca lance la dernière version du nouveau système de cotation, dont les performances techniques sont dignes des plus grandes bourses

…………………………………………… 6 2. Le contrôle prudentiel des risques financiers………………………… 9 3. L’extension du contrôle prudentiel au risque de taux d’intérêt……… 11 SECTION 2 : LES INDICATEURS CLES DE LA GESTION DE BILAN  12 1. La valeur actuelle nette des fonds propres..……………………………. 13 2. La marge d’intérêt …………………………………………………… 14 3. Le revenu net économique …………………………………………….. 14 SECTION 3 :

(1) ; • Rôle informationnel (2) ; • Allocation du risque (3). 1 = Investir dans un placement pour récupérer un gain dans le futur. 2 = La valorisation de l’entreprise (ex. : capitalisation boursière). 3 = On peut diversifier son portefeuille (aversion vs. goût au risque). 2° Typologie des marchés et des actifs financiers. Grandes classes d’actifs financiers : • Actions, • Titres de dettes : o Dettes à court terme, o Obligations • Actifs