La Fable Amuse

on crut qu’il s’allait plaindre / Tant s’en faut : de sa forme il se loua très fort » v. 14-15, Antithèse « se plaindre » / « se louer » + Paronomase « forme » / « fort » « Tout sage qu’il était, dit des choses pareilles » v. 20 → Le narrateur est amusé. • « mais parmi les plus fous / Notre espèce excella » v. 27, Animalisation mais distinction de l’Homme par rapport aux autres animaux → Ironie de notre supériorité en sottise • « Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous » v. 28, Chiasme et Animalisation

moquerie dont on ne sait qui en fait les frais. Idée 3 : qui fait rire ? (les acteurs du rire) • Deux femmes de génération différente, vêtues toutes les deux d’un chemisier blanc. • Deux femmes anonymes, on ne connaît pas leur identité. • Ce qui amuse l’une amuse aussi l’autre. Idée 4 : les lieux du rire Il semble que les deux femmes se trouvent dans un lieu privé. Idée 5 : quels sont les effets du rire ? • Sur les personnages : bonne humeur, détente, complicité. • Sur nous, spectateurs : nous sourions

-Qu’est-ce qu’un apologue ? Pour définir un apologue, il convient d’abord de rappeler l ‘étymon. Apologue est issu du grec « apologuos » qui veut dire fable. C’est un récit allégorique en vers ou en prose avec une morale au début ou à la fin ou implicite. L’apologue se lit à deux niveaux, il a un sens littéral, c’est le récit, l’histoire mais il a aussi un sens symbolique c’est la leçon à en tirer. Les apologues sont des œuvres didactiques pédagogiques. La moral peut être explicite. L’apologue

présent vous valez mieux que votre dot = chiasme L’ïle de Beauté = Périphrase La grande bleue = Périphrase Le soleil noir = oxymore Elle se hâte lentement = oxymore Un milieu entre Rien et tout = antithèse Le vatican = métonymie Le père de la fable = Périphrase Le pentagone = métonymie Des clochers lancent vers le ciel un affreux hurlement = Personnification. Son rêve est de monter sur les planches = Métonymie Bernard est un Hercule = Métaphore Le rocher chancelle, s’élance, se précipite

3ème de 16 vers, tous écrit en alexandrins. Les rimes sont toutes suivies (AABB). Le poème parle d’une chasse nocturne qui se termine par la mort du loup et est suivie d’une réflexion morale sur les hommes et sur la vie. Il s’agit indirectement d’une fable appartenant au registre lyrique. Le poète appartient au courant du Romantisme. L’originalité de ce poème est bien sûr, le sujet. La manière dont Alfred de Vigny détourne la mort du loup pour en faire une morale philosophique et à la fois une réflexion

L'auteur peut ainsi captiver le lecteur avec une histoire banale qui derrière cache une critique souvent féroce. Dans ''Les fables'' de la Fontaine, le lecteur est amusé de la comparaison avec des animaux et comprend que chaque fable à une morale. L'histoire ''Le corbeau et le renard'' nous captive car on se questionne sur la fin de la fable: pourquoi le renard parle t-il au corbeau? Que va faire le corbeau? '' Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute'' en est la morale, et l'irrespect

continue au présent . Le professeur fait préciser ce qu’est le présent de narration et l’intérêt de son emploi qui permet au lecteur de vivre les faits « en direct ». Enfin il convient de se demander ce que signifie le mot « fabliau » qui fait penser à fable. En fait il a la même origine latine « fabula » mais s’est spécialisé pour les courtes histoires en prose qui mettent en jeu des êtres humains, pour la plupart de milieu populaire (et non des animaux) et ne se terminent pas forcément par une morale

est de la famille du mot plaire. Ce qui est « plaisant » divertit, amuse par sa gaieté. L'humour permet de prendre ses distances par rapport à une réalité angoissante, de considérer le monde de façon lucide mais avec un regard souriant, parfois faussement naïf. Constituez-vous une réserve d'exemples de textes, de films, de spectacles, d'images qui traitent de sujets sérieux (guerre, peine de mort, trahison, mort...) sur un ton amusé et amusant. La forme interrogative de la consigne invite à la discussion

l’intervention de La Bruyère qui tourne en dérision son personnage : à quelques détails près, le chapeau et les chausses, et l’absence de bijoux, le portrait pourrait être celui d’une femme ! Idée 7 : que dénonce le document ? La Bruyère dénonce, de manière amusée, les mœurs et le comportement de la cour de son époque. – Analyse du document 2 : extrait de La maladie du jésuite Berthier, Voltaire Document 2 Idée 1 : qui sont les personnages ? Le jésuite Berthier, personnage réel et un compagnon fictif, frère

-Poèmes du XVI ème siècle : ●Heureux qui comme Ulysse de Joachim Du Bellay extrait du recueil Les regret de 1558 ●XXIII de Louise Labé de 1555 -Poèmes du XVII ème siècle : ●LXXVI est un poème de Théophile de Viau ●Le chêne et le roseau fable de Jean de la Fontaine -Poèmes du XVIII ème siécle : ●Daphnis et Chloé de Jean Jaques Rousseau ●Portrait des français par Fanny de Beauharnais -Poèmes du XIX ème siècle : ●Vision sombre ! un peuple en assassine un autre de Victor Hugo