La Fable Amuse

Fontaine rend son poème vivant et attractif. Tout d’abord, je verrai que cette fable donne aux lecteurs l’impression de participer à la scène. Enfin, je verrai que la satire plutôt ridicule de la justice amuse le lecteur, et lui donne envie d’en savoir plus. Pour rendre cette fable vivante, La Fontaine donne aux lecteurs l’impression de voir la scène, d’y participer. Pour ce faire, il joue tout d’abord avec le rythme de la fable. Les rimes fluidifient la lecture et donnent un rythme presque musical à

Selon La Fontaine, « L'apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l'une le Corps, l'autre l' Ame. Le Corps est la fable ; l' Ame, la moralité. » Il est vrai que l’apologue; un court récit allégorique, a généralement deux aspects, l’un est de plaire, l’autre de faire réfléchir le lecteur sur tout ce qui l’entoure. L’homme, en tant que lecteur, retient-il les apologues parce qu’ils l’amuse, ou parce qu’ils l’instruise, lui permette de s’interroger face à certaines choses ? Il est

« La Mort et le Bûcheron » INTRODUCTION Le texte que nous allons analyser / étudier est une fable de La Fontaine, poète de Cour, né en Province au XVIIe siècle et incarnant parfaitement l’esprit classique de l’époque. La parution de ses Fables en plusieurs recueils lui assura d’ailleurs un succès immédiat dans les Salons littéraires. La fable en question intitulée « La Mort et le Bûcheron » appartient au 1er livre I dédicacé à Monseigneur le Dauphin ; la dédicace pose d’ailleurs d’entrée la

fables . Nous allons nous intéresser à une de ses plus célèbres fables : '' Le Berger et son troupeau '', publiée en 1678. Nous allons nous demander, en deux axes, comment derrière la mise en scène amusée d'une anecdote rurale s'élabore une définition tragique de l'Homme. Une mise en scène amusée d'une anecdote rurale. Pour bien faire comprendre le message qu'il cherche à transmettre, le fabuliste écrit un texte enfantin, non complexe, destiné à toute sortes de lecteurs. Une histoire banale

LA  FONTAINE  :  LIVRE  I  :  FABLE  3  :  LA  GRENOUILLE  QUI  VEUT  SE  FAIRE   AUSSI  GROSSE  QUE  LE  BOEUF   Introduction : Dans cette fable, comme Voltaire, La Fontaine dénonce la vanité, mais choisit de passer par le monde animalier. C'est un récit plus amusant, plus burlesque, qui permet d'éviter la censure plus facilement, qui rend les ennemis plus chétifs, inoffensifs et insignifiants. On est dans un monde familier et rassurant qui est normalement un genre destiné aux enfants, qui permet

nous verrons dans une première partie l’imagination et l’amusement des fables et dans une seconde partie nous montrerons comment La fontaine enrichie l’esprit en montrant son raisonnement. Dans son œuvre Les Fables, la fontaine amuse le lecteur grâce à sa capacité à mettre son imagination au profit de ces récits. En utilisant la personnification, il met en scène des animaux qui parlent et qui sont dotés de conscience, il fait appel à l’imagination du lecteur pour illustrer ses

comique traditionnel que reprit La Fontaine avec un charme non dénué d’ironie. Cependant, dans cette fable où il abordait un problème de la vie privée, il procéda d’une manière inhabituelle en plaçant la moralité avant le récit, en insistant sur le rôle du temps, en donnant différentes valeurs au prénom «on». Le rôle des quinze premiers vers : Ils se détachent visiblement du reste de la fable par la disposition typographique. Néanmoins, des points communs apparaissent avec la suite dans l'emploi

Que dénonce La Fontaine dans ce texte et par quels moyens ? I - Une fable habilement menée 1) Caractéristiques d’une fable -Versification (rimes tripartite, puis suivies et enfin croisée, 1er strophe) -Variation de syllabes, style particulier de Jean de La Fontaine -Usage de différentes tonalités (récit=tragique) et (discours=ironique) 2) Une Fable qui rappelle les récits mythologiques • Intronise sa fable par un récit qui a pour rôle de présenter la situation. • « Un mal qui

châtie les mœurs en riant. Voici l'origine de cette devise de la comédie : Il y avait longtemps que Dominique, arlequin des Italiens, désirait avoir du poëte Santueil une épigraphe pour mettre sur la toile de son théâtre ; mais, comme le héron de la fable, le poëte a ses heures, et Dominique ne pouvait rien obtenir. Il s'affuble un jour de son habit de théâtre, prend son sabre de bois, s'enveloppe de son manteau, et va frapper à la porte de Santueil. «Quand tu serais le diable, s'écrie Santeuil, entre

LITTÉRATURE FRANÇAISE La Fontaine, Fables, deuxième recueil Deux noms pour le même genre : • apologue • fable Recours à des animaux est un moyen pour mieux convaincre ou persuader d’une thèse : la moralité. Genre anti-poétique ? « La Fontaine continue, sans le moindre titre, à passer pour un poète » André Breton Rien de « plus abominable » que « La Fontaine, ce malfaiteur, cet homme sans morale, cet empoisonneur de l’enfance » Paul Éluard Les vers de La Fontaine sont « boiteux, disloqués