La Croyance Raisonnable

devient capable d’aborder des notions en totale contradiction avec ses catégories traditionnelles (masse négative, antimatière) 2) Raison au sens moral, recherche du bien :L’homme est un animal doué de raison=rationnel mais est il aussi un animal raisonnable=capable d’user de raison pour modérer ses penchants, ses passions et choisir le bien : ici c’est la morale individuelle et collective qui sont concernées ; l’histoire des hommes montre autant d’exemples où les hommes ont essayé de se comporter raisonnablement

cette fin par sa nature, et dont l'activité s'exerce par la raison au moyen du corps et sur le corps par la volonté raisonnable. L'animisme est une tentative impuissante d'expliquer l'union du corps et de l'âme. Il à été réfuté surtout par Leibniz. ( R-T.) . II) L'animisme est la doctrine qui attribue une âme aux choses. (Animus est le mot latin pour âme.) C'est une ancienne croyance qui a pu être produite pour expliquer la différence entre une chose vivante et la même chose morte. Elle a aussi

et accessoirement l'espèce humaine. Les cultures humaines ont développé de nombreuses représentations de la planète, dont une personnification en tant que déité, la croyance en une terre plate, la Terre en tant que centre de l'univers et la perspective moderne d'un monde en tant que système global nécessitant une gestion raisonnable. La science qui étudie la Terre est la géologie. Compte tenu de l'influence de la vie sur la composition de l'atmosphère, des océans et des roches sédimentaires, la

Critique de la théorie d’EUDOXE Selon EUDOXE : * Le plaisir est le bien puisque tous les êtres, qu’ils soient raisonnables ou non tendent vers le plaisir et c’est ce qui est désiré au plus haut degré donc le Bien par excellence ; d’autre part si ts les êtres sont portés vers le même bien, cela signifie que c’est ce qu’il y a de mieux. MAIS, en effet, cette théorie était admise plutôt en raison de la réputation d’EUDOXE qui apparaît comme un homme tempérant. * Tous les êtres fuient la

menant à leur adhésions, que d’arguments visant à les nier. Et c’est pour aider sa volonté à rejeter toutes ses anciennes croyances, que Descartes se leurre lui-même à l’aide des arguments de la réfutation. Il aboutit à une suspension temporaire du jugement visant à le déshabituer de ses anciennes créances et d’atteindre in fine, la vérité. Ce doute est possible et raisonnable dans la mesure ou il mène à la méditation et que Descartes n’est pas dans l’urgence de l’action, de la prise de décision.

des proportions dont ils n'ont pas besoins. Ils se montrent enfin intérressés par le Dieu unique dont on leur parle, par fidélité, ils préfèrent les leurs (Dieux). La raison et la logique sont à nouveaux convoqués pour signaler combien il est peu raisonnable de menacer des gens dont on ignore la puissance, montrant qu'on peut toujours par la force. Cette réponse est parallèle à la menace qui conclue le discours des espagnols. 3- Une mise en scène de la rencontre Dès les premières lignes, le mot

Notions : Philosophie : amour de la sagesse et du savoir. Le philosophe recherche la sagesse et le savoir. Recherche de la vérité Opinion : toujours combattue car elle est sans réflexion. L’opinion n’est pas une pensée personnelle, c’est une croyance à laquelle on adhère sans preuve et que l’on vit sans remettre en question Facultés de l’esprit humain (5) : La mémoire qui permet de réactualiser dans le présent des faits passés L’imagination qui permet de se projeter en image dans un monde

Prendre conscience de ce qui cause une forte réaction 2. On essaye de comprendre nos cadres de références et ceux des autres 3. On essaye de trouver des ponts, des compromis Accommodements raisonnables : effort de compromis substantiel, basé sur l’égalité Méthode accommodements raisonnables : C’est un effort de compromis substantiels, basé sur l’égalité(on est tous égaux mais pas identiques), obligation juridique Ex : Kirpan Si la personne sent que ses droits et libertés sont brimés

deux mondes bien distincts auxquels l’Homme appartient : un monde sensible à travers du corps et un monde intelligible à travers l’âme, qui, par rapport au premier, serait le seul monde réel. De cette manière, la philosophie du penseur repose sur la croyance d’un monde des Idées, soit un monde intelligible contenant les idées suprêmes. En effet, ces idées telles que la paix ou la raison sont, selon lui, des formes placées en l’Âme par Dieu. De là, le philosophe divise l’Âme en trois formes : l’Epithumia

seulement une religion, il est aussi un mode de vie élaborant un code de bonne conduite entre l’Homme et la Nature. Époque ASUKA, 593-710 En 594 le prince Shôtoku Taishi impose le bouddhisme comme religion d'État. Les croyances chinoises se mêleront alors aux croyances japonaises, les cultes Shintô et Bouddhiste cohabiteront pacifiquement mélangeant parfois les divinités, et même certains rites. La réalisation des jardins japonais, comme des jardins chinois, répond à un besoin de rapprochement