La Croyance Raisonnable

troisième préfère rappeler que la contrainte n’a que pour but de lui apprendre le bon usage de la liberté.L'expression "une contrainte légitime" signifie qu'une restriction ou une limitation imposée sur une action ou un comportement est justifiée, raisonnable et conforme aux normes et aux lois en vigueur.En d'autres termes, une contrainte est considérée comme légitime lorsqu'elle est nécessaire pour protéger des valeurs fondamentales telles que la sécurité publique, la santé, l'environnement ou les droits

mathématiques). Pour le cas de la logique mes croyances admises sont des savoirs légitimes. Mais en général la croyance de chacun des individus est caractérisé par un mélange entre ces motifs. Les croyances réalistes sont souvent douteuses car elles reposent sur des bases peu solides : des motifs subjectifs irrationnels sont mêlés à des raisons objectives, du fait que l’on croit souvent ce que nous désirons croire ce qui correspond à une illusion. Les croyances réalistes sont fondés sur des motifs psychologiquement

structures dont le sujet n'est aucunement l'inventeur. Mais la pensée n'est communicable qu'à la condition de respecter aussi des principes généraux de communication, qui sont la définition minimale de la raison (au simple sens de "raisonnable"). Se montrer raisonnable dans une discussion, c'est précisément s'interdire d'asséner des opinions arbitraires, et accepter de mettre en forme son discours pour qu'il puisse persuader l'autre. De plus, les conditions d'un dialogue peuvent être efficace.

dialectique. Ceci nous amène à nous poser la question suivante: Est-il cohérent, logique, (modérer) de prétendre détenir (être le seul ''propriétaire'') la vérité? Dans un premier temps nous verrons s'il est raisonnable de prétendre posséder la vérité, par la suite, s'il n'est pas raisonnable de prétendre posséder la vérité, pour enfin comprendre pourquoi l'homme veut s'appuyer sur une vérité bien que son sens semble avoir deux visions opposées l'une de l'autre. Il est de l'affaire des sophistes

L’auteur énonce donc que le doute permet de conserver les connaissances afin qu’elles ne « pourrissent pas ». Alain insiste sur une remise en cause continuelle du savoir emmagasiné. Que ces connaissances soient les «mieux fondées » et les « plus raisonnable », elles doivent à tout moment être soumises au doute. Ici, Alain pense donc que des connaissances, fondés sur des principes logiques et certains, doivent être remises en question afin de ne pas les laisser pourrir. Ainsi d’après lui, je devrais

minorité c'est-à-dire de « son incapacité à se servir de son entendement sans la direction d’autrui ». Les lumières consistent avant tout en l’éclosion d’un homme nouveau, homme à même de réfléchir par lui-même, qui soit à la fois autonome et raisonnable. Kant entend les lumières comme un prétexte pour l’Homme de se libérer définitivement de l’emprise et de l’influence qu’exercent sur lui un certains nombre de facteurs extérieurs comme la paresse et la lâcheté, le repos sur le jugement d’autrui

diverses religions= croyance en une divinité ? Non, religion athée est possible (bouddhisme primitif) Notion inséparable de la religion : notion de sacré. Le sacré oppose le profane. Il est l’objet de respect/crainte, il circonscrit le permis et le défendu (tabou). L’esprit religieux est dualiste : il sépare le ciel et la Terre, Dieu et les hommes, le bien et le mal… Peuvent être sacrés : des êtres, des choses, un espace, un temps. Une religion : L’ensemble des croyances et des rites en relation

sert à répondre aux questions les plus fondamentales et les plus angoissantes liées à la condition humaine. Religion /croyance : la religion est basée sur les croyances. C’est croire par la seule force spirituelle intérieure  Certitude subjective. Hors la religion donne des réponses aux questions les plus essentielles. Pb : Pourquoi les Hommes basent leur existence sur des croyances non fondées ?? Pourquoi les Hommes renoncent t’ils à la raison, pour les questions les plus fondamentales ?? I- La

qu'il n'est pas, c'est l'éprouver, c'est se relier à lui par la croyance. Si je crois c'est aussi parce que je doute. C'est en cela que la croyance est différente du savoir. Il y a plus de liberté dans la croyance que dans la certitude. Quand nous affirmons croire ou ne pas croire en Dieu, nous laissons les autres libres de leur propre croyance et nous gardons en cela notre liberté par rapport à ce que nous savons être notre croyance personnelle. Mais à quoi pense-t-on lorsque nous pensons Dieu

en imitant l'exemple de la révolution copernicienne. De la même façon que Copernic a montré que la terre tournait autour du soleil et non l'inverse, Kant affirme que le « centre » de la connaissance est le sujet connaissant (l'homme ou l'être raisonnable), et non une réalité extérieure par rapport à laquelle nous serions simplement passifs. Ce n'est donc plus l'objet qui oblige le sujet à se conformer à ses règles, c'est le sujet qui donne les siennes à l'objet pour le connaître [2]. Ceci a pour