La Cité Idéale Selon Platon

est le « bon sauvage » - le remède à cette corruption qu’est la civilisation est le retour à la nature. Or, on voit mal comment la corruption par la société s’accorde avec la partie politique de la pensée de Rousseau faisant l’éloge de la cité, de la loi, des vertus du citoyen. L’expression de « bon sauvage » ne se trouve pas chez Rousseau ; il tomberait plutôt dans le travers inverse de la raillerie envers les « sauvages » décrits par les voyageurs ; par contre, l’homme sauvage est pour

humaniste, il a remis la recherche de la sagesse au goût du jour et a écrit beaucoup de thèmes classiques traités par les philosophes antiques ou des siècles passés, y compris sur la philosophie politique. Jusqu'à ses 18ans il a eu la foi mais il dit, je cite: «l'une des rares choses dont je suis sûr en ce domaine, c'est que Dieu ne m'a jamais rien dit». Il se définit comme un athée et pense que l'homme peut se passer de religion, la philosophie en étant l'un des moyens. Il est l'un des membres du Comité

d’abord comment l’art peut nous bercer d’illusions, puis comment au contraire, il est peut-être possible de considérer qu’il nous rapproche de la réalité. Pour Platon l’art est une activité mensongère puisqu’il consiste à produire des faux-semblants. L’art est une illusion et nous ramène au monde sensible, alors que la vérité selon la métaphysique platonicienne, existe dans le monde intelligible. La vérité ne se perçoit,pas, elle ne peut que se penser et cette thèse qui est exposée dans La République

personnages, éloquence et rhétorique. Marc antoine et crasus sont aussi orateurs. Crasus est porte parole de cicéron, éloquence sublime. Marc Antoine est du côté de la rhétorique pour ce qui est du discours persuasif. Cicéron adhère à la philosophie de Platon et reprend donc le dialogue, les personnages vont chercher la réfutation des arguments. Démarche dialectique. Pas exposé dogmatique mais exposé vivant avec réfutation, argumentation pour et contre. Rhétorique, simple technique dans les écoles. Cicéron

PLATON (1935) LÉON ROBIN (1866 - 1947) Édition électronique (PDF, ePub) v.: 1,0 : Les Échos du Maquis, 2011. 2 Note sur cette édition électronique! Avant-propos! Chapitre I • La vie et les écrits! Biographie! Écrits! 5 6 8 8 18 Chapitre II • Qu'est-ce que savoir?! Chapitre III • La méthode du savoir! I! II! III! IV! 36 48 48 51 53 58 Chapitre IV • Phénomènes et choses! I! II! III! IV! 67 67 77 90 95 Chapitre V • Le monde, l'âme et la divinité! I! II! III! IV!

l'harmonie de la communauté car si je suis ignorant des conséquences de mes actes, je peux alors être jugé inconscient ou irréfléchi. Pensons un moment à cette « fiction » juridique qui apparaît comme nécessaire : « Nul n’est sensé ignorer la loi », selon la police. En effet, l’ignorance ne peut en rien être une excuse ici et le savoir de la loi est la condition nécessaire pour vivre ensemble, en commun, sous les mêmes lois. L'ignorance, dans les deux cas, m'éloigne alors de la raison. Pourtant l'ignorance

il s'agit de ses pensées. Il ne le cite pas entre guillemets. Il résume et même discute la pensée de Platon. Ici, Montaigne reprend l'opposition entre la nature et l'art. On a un argument d'autorité. Il cite Ecurgne (législateur de Sparte = réputée pour la dureté de ses mœurs), il est présenté  l'Age d'or. Il critique les auteurs. Ces deux personnages n'ont pas pensé à réfléchir sur la beauté et la simplicité de la nature. Dans ce dialogue, il reproche à Platon d'avoir écrit qqchose de moins parfait

élémentaire de sociabilité humaine à savoir la garantie des libertés pour tous. Kant donne une définition du droit « le droit est donc l’ensemble des conditions sous lesquelles l’arbitre (= la liberté) de l’un peut être uni à l’arbitre de l’autre, selon une loi universelle de liberté (c'est-à-dire de telle sorte que tous le monde puisse être libre). Est juste toute action qui permet, ou dont la maxime permet, à la liberté de l’arbitre de tout à chacun de coexister avec la liberté de tout autre suivant

Maîtres antiques qui font autorités l.13/14 - Virgile : poète latin (Bucoliques et l’Enéide) qui s’est inspiré d’Homère. - Cicéron : avocat, homme politique, écrivain. Il était l’orateur modèle pour les latins. - Aristote : philosophe grec. Avec Platon, il fut les disciples de Socrate. Intéressé par le théâtre et tous les arts. Philosophe préféré des humanistes car il s’intéressait à tout : idéologie de l’Encyclopédie. - Galien : un des créateurs de la pharmacie avec Hippocrate (serment d’Hippocrate)

l'hybris = ce qui dérange l'ordre comique, la punition : le ban, l'exil, l'exclusion de la Cité. - Platon, La République, la Cité idéale, les qualités : tempérance (artisans), courage (gardiens) et sagesse (magistrats, philosophes) réunit par la justice. Dans l'âme également : Désirs, colères et l'esprit raisonnable ; la justice procurant l'équilibre, l'harmonie et donc bonheur. (Ex. Calliclès, Gorgias, Platon : violence). 1 Ce qui signifie non pas que l'homme en politique se comporte comme un