L éloge Et La Blâme

sexualité, les rapports conjugaux... Après avoir vu que cet extrait est un éloge de la sexualité dans la société naturelle et de la procréation, nous verrons que c'est un blâme des moeurs et de la morale des sociétés européennes, avant enfin d'étudier le fait que cela soit une réflexion à travers le mythe du bon sauvage. Plan du document : 1. Eloge de la sexualité dans la « société naturelle »et de la procréation 2. Blâme des moeurs et de la morale des sociétés européennes 3. Une réflexion sur

juste avec un eloge a son egard; il retablit la justice eloge de la monarchie absolu issu de Dieu Sceance 2 L.A La scene d'exposition (1,1) v1 à 54 observation d'une k7 de T mise en scene de Gerard Depardieu en 1987 La scene s'ouvre sur une dispute familiale, il y a 2 clans pour et contre T Mme pernelle qui defend T est au centre de la scene les autres personnages sont autour d'elle. Elle dresse le portrait successif des personnages de sa famille. C'est une serie de blame . Eux sont faibles

supplement (1772) dans lequel il remet en question l'ethnocentrisme des européens.Le chapitre 2 du supplement contient un discours prononcer par un vien tahitien au moment ou Bougainville quitte Tahiti. II)C.I. : Discours polémique : un éloge de la vie sauvage et le blame de la civilisation. III)Analyse 1) Un discours a)Une communication directe. -Presence d'un verbe de parole suivi de '' :'' puis ('') -imperatif:Laisse nous nos mœurs -Pronoms du singulier au pluriel -Il y a emploi de déictiques (adv

citations). Ne pas tout dévoiler du roman. Faire émerger ses opinions et ses sentiments éprouvés lors de la lecture. · La conclusion Le jugement final : éloge et blâme , évaluation des points forts et des points faibles ; il faut éviter d’être soit trop dur ou trop élogieux 16. On peut faire le lien entre l’évaluation et l’introduction.

Acte I, scène 2 : La tirade de Dom Juan, Dom Juan ou le Festin de Pierre (1665) ˜ Un éloge de l'inconstance : - des hyperboles : "milles visages", "toutes" - argumentation, connecteurs logiques, propos argumentés - champ lexical du changement - antithèses --> incompatibilité mariage / fidélité - question rhétorique = total refus, ouvre la tirade - vocabulaire positif, inconstance : "douce violence" (hyperbole) - "je ne puis", "il n'est rien qui puisse arrêter" = impossibilité d'agir

dernière, mêlant des antithèses (« ombre » avec « Soleil » ; « tes jours, sombres » avec « le même soleil se lève sur tes jours ») et en changeant de sujet (on passe du blâme de la condition humaine à un éloge grandiose de la nature). Dans tout le poème, on retrouve le registre épidictique, qui, en général, convient à un blâme ou à un éloge. La conjonction « mais » marque la différence entre ces strophes (« Mais la nature est là qui t’invite et qui t’aime », vers 5). Il y a donc une insistance sur le caractère

Done Elvire et celui de Don Juan. Le spectateur va découvrir l’identité des 2 interlocuteurs et quels sont les éléments de l’intrigue qui opposent la maîtresse de Gusman au maître de Sganarelle, dont ce dernier va faire un portrait accusateur. Un éloge du tabac précède l’exposition de la pièce proprement dite. L’ouverture est quelque peu surprenante. Nous verrons en quel sens elle donne à cette scène une dimension paradoxale, nous nous intéressons ensuite au double portrait qui précède l’action.

Objets d’étude : le récit ; éloge et blâme ; l’apologue Neige de Maxence Fermine Séance 1 : * partir des connaissances des élèves sur le Japon et donner des exposés sur les sujets suivants : la calligraphie, l’ikebana, les samouraï, l’art des jardins japonais, le butô * distribuer une feuille de haïkus et définir cette forme poétique : court poème de 3 vers ( 5/7/5 syllabes ) phrases courtes, elliptiques, nominales… rapport à la nature, présence des animaux les saisons décrire

Anouilh, Antigone Antigone face à Créon  Page 88 à 91 de « Créon : Mais je vais e dire quelque chose … à Antigone : oui » I – Le blâme des 2 frères II – Créon se met en valeur III – La réaction d’Antigone La Grèce Antique par l’intermédiaire de ses poètes et dramaturges, nous a transmis un grand nombre de légendes. Les anciens ont, en effet, exprimé à travers d’histoires familiales de grandes idées telles que les rapports entre l’homme et son destin, le bonheur, la justice. Ainsi ont

cour du Roi Henri II. Ce portrait inaugural des plus hauts personnages du royaume se laisse lire de prime abord comme un éloge des fastes de la Cour. Sous cet éloge apparent se dessine cependant un jugement critique. L’enjeu de la lecture est alors de comprendre comment l’écriture de Mme de Lafayette, soumise aux contraintes de l’ouverture romanesque, réussit à livrer un blâme sous les dehors de l’éloge. Afin de mener à bien l’étude cette écriture il conviendra tout d’abord de montrer que cette brillante