L Humour En Argumentation

caricature, imite le roi avec la mise en scène des q° oratoires. - Ecart entre les 2 raisons (lion/âne) si grand que le lecteur ne peut pas être d’accord. - Naïveté de l’âne va lui faire payer pour tout le monde • Argumentation qui passe par la moralité mais aussi et avant tout par la façon de la dire • En quoi la versification rend-elle le texte agréable ? - versification variée rend texte agréable grâce à : sa présentation qui le rend aéré

L’apologue face à l’éloquence. Le terme « éloquence » apparaît dès la première partie au vers 22. Il y a donc éloge de la fable sous forme de mise en abyme. Cet éloge repose sur la comparaison entre deux types d’argumentations : argumentation directe (éloquence) et argumentation indirecte (fable). On retrouve deux mises en scène avec l’ambassadeur vers 21, 23 et 24. Au départ il y a un discours politique, éloquent puis ensuite il choisit une fable. On voit que c’est la fable qui emporte l’attention de

(Proposition de l’officier Prussien à Boule de Suif) - La réaction des différents personnages (Argumentation égoïste) - La clôture de l’histoire (Boule de Suif accepte la proposition et l’égoïsme des personnages ressort) Pour conclure, même si Boule de Suif n’est pas la première nouvelle de Maupassant, c’est le récit qui l’a imposé comme un maître. Cette satyre de la société est abordée avec humour et observation, et la composition du récit accentue cette critique afin de concentrer l’attention

l’assonance, volontairement désagréable, en [i] : « bien vieille / assise / dévidant et filant ». Le poète introduit très vite, de façon d’abord relativement discrète, le thème de la marche irrémédiable du temps, qui constitue au final le fond de son argumentation. Le « soir » est de toute évidence symbolique, c’est aussi le soir de la vie. De même, « dévidant et filant » peut être une activité prosaïque, mais aussi symbolique : Ronsard convoque ici le souvenir des Parques, ces divinités tressant la vie

serait… » révèle bien, par rapport au présent des deux verbes « appeler » et « distinguer », l’opposition entre la définition reçue et ce que le locuteur en tire comme conséquence (conséquence notée à titre hypothétique avec le conditionnel) B/ Argumentation Le troisième paragraphe se détache nettement des deux premiers par son ouverture. Alors que dans les deux paragraphes définitionnels on avait une phrase affirmative au présent gnomique, on a ici une question rhétorique adressée au lecteur :

différents, a suscité bien des réflexions chez certains, tandis que d’autres ont voulu imposer une vision commode reproduisant la dichotomie entre civilisés et barbares déjà proposée par les Grecs de l’Antiquité. 3) Montaigne se livre ici à une argumentation directe, qui prend la forme d’une réflexion personnelle, à la première personne, au présent de généralité, où il exprime son opinion justement sur ce thème de la civilisation et de la barbarie, remettant en cause des idées reçues acceptées par

T1 : incipit de « Micro-mégas » de Voltaire Support : page 1 à 14 Intro : pour déjouer la censure -> argumentation indirect Micro-mégas « petit-grand » -> notion de relativisme Micro-mégas raconte histoire de 2 E.T qui vont voyager a travers l’univers a la recherche du bonheur. Contes philosophique L’incipit : doit présenter les personnages Un univers de fiction A) La fonction informative de Micro-mégas 1) héros éponyme *pas de portrait physique mais importance de sa taille : Ch.lex de la mesure

mouvement...) SEQUENCE 2 : LA VIE DEVANT SOI D’EMILE AJAR (OEUVRE INTEGRALE) Objet d’étude : le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours. Problématique : Comment ce roman conjugue-t-il trivialité et poésie, détachement et révolte, humour et gravité ? Lectures analytiques : (édition recommandée : Classicolycée, Belin, Gallimard) 1- AJAR , La Vie devant soi, 1975, (quête d’identité) En quoi cet extrait conjugue-t-il trivialité et poésie, détachement et révolte ? 2- AJAR , La

relayée par la traduction en français du recueil des Mille et une nuits, au tout début siècle. Voltaire est résolument le maître du genre, avec des œuvres comme Zadig (1747), Micromégas (1752), Candide (1759), qui se caractérisent toutes par leur humour, leur vivacité et bien sur leur ironie. Le conte philosophique est un récit en prose, relativement bref mais plus long que la fable. Même si le récit entretient toujours des liens avec l’actualité, il tient du conte par certains traits merveilleux

Thème général de l’article : Les auteurs nous présentent une analyse des études traitant de l’humour dans la relation infirmière-patient selon le schéma organisationnel de Strauss et Corbin. Synthèse (problématique, idées de l’auteur, argumentation) : Cet article nous propose un tour d’horizon des recherches scientifiques effectuées sur l’humour réalisées dans le contexte de la communication infirmière-patient et sur son impact dans la relation et les soins. Les écrits recensés par les auteurs