L Humour En Argumentation

THEATRE ET ARGUMENTATION Argumentation au théâtre THEATRE Théâtre = représentation divertissante et stylisée de la vie, qui par le biais d'une argumentation indirecte a pour but de faire réfléchir sur la société, c’est une Arme efficace argumentation. VH utilise une metaphore + gradation afin de donner sa propre def theatre = miroir (exagère/grossit/déforme) Comédie répond a ces caractéristiques. -comédies de caractère (dépeint types humains et leurs défauts, cf  Tartuffe, Les Précieuses

contraire de ce que l’on veut faire comprendre. Dans une argumentation, l’ironie est une arme très efficace car elle place les rieurs de son côté. De plus, l’auteur habitue le lecteur à se méfier des apparences, lui apprenant le scepticisme tout en luttant contre les préjugés. Ainsi, l’ironie est une forme philosophique et pédagogique. L’ironie consiste alors à donner la parole à son adversaire pour montrer avec humour, les lacunes de son raisonnement. Dans une énonciation

convaincant Le discours de la maréchale révèle une habileté digne d’un philosophe des « Lumières » (l. 47). 1. Une argumentation bien construite et bien menée Son argumentation suit une démarche expérimentale scientifique : elle part d’un exemple précis (la femme de saint Paul), elle procède par hypothèse pratique, se met en situation à travers le système conditionnel qui ouvre son argumentation (« si j’avais été la femme […], je dirais »). Puis elle raisonne par comparaison avec sa propre expérience («

sens ; c’est à dire de son estre et de sa vie. Car ils ont tous cette puissance, de commander nostre discours et nostre ame. I. Une démonstration paradoxale reposant principalement sur des exemples concrets à valeur expérimentale A) Une argumentation inductive : l’accumulation des exemples 4 exemples différents tous liés à l’expérience du vertige :  2 exemples imaginaires introduits par des subjonctifs d’hypothèse : L.1-5 + L.8-11 Description précise de ces exemples pour les rendre plus

modalisations / la valeur des constructions (logique) Enoncer la thèse et l’expliquer Parodie / Caricature Syntaxe (prolepses=on réfute par avance une objection) Rhétorique ancienne Ironie : antiphrase (contraire de ce que l’on pense) Anecdote Humour Piques de l’auteur (modalisations) Emphase (exagération) Associations de mots incongrus (inconvenants, déplacés) Les discours Narratif Raconte, fait vivre une action passée ou imaginaire. Imparfait, passé simple, présent de narration, insistance

la voie (BERGSON et FREUD), suivis d'autres qui ont exprime leur pensee dans le champ qui les occupe (FOURASTIE, KOFMAN, Dans la deuxieme partie, 1'enonce des theses va se particulariser, non seulement par les types de discours etudies (ironie, humour, parodie, satire), mais aussi par la methode d'analyse developpee qui, sans abandonner les cotes psychanalytiques, philosophiques et sociologiques, utilisera enormement 1'approche linguistique (autre choix d'orientation). I / L E R I R E Par

être reconnu à sa juste valeur II-Philinte, l'homme du monde pragmatique A-Une argumentation en faveur de la mesure et du bon sens Idéalisme d'Alceste ne tient pas compte des réalités en société - interpelle son interlocuteur par son nom - discours mesuré et s'oppose aux exès de son ami Alceste = hyperboles pr dénigrer les règles de politesses Philinte= + modéré “qq dehors civils” v.66 -argumentation : 2 fois “mais” (connecteur argumentatif) → s'oppose à Alceste pr le rappeler aux

Vie, Rosalie déclare : « La vie voyez-vous, ça n’est jamais si bon ou si mauvais qu’on croit ». Pensez-vous qu’un roman doit ouvrir les yeux du lecteur sur la vie ou bien au contraire permettre d’échapper à la réalité ? Vous présenterez votre argumentation en prenant appui sur les extraits proposés et sur les œuvres que vous avez pu étudier ou lire. Des pistes pour un corrigé : un plan détaillé Voici le plan proposé par notre équipe de profs de français du webpédagogique : Introduction : Nous

une argumentation construite et menée • se met en situation à travers le système conditionnel qui ouvre son argumentation (« si j’avais été la femme […], je dirais »). P • comparaison avec sa propre expérience (« Quand j’épousai », indices personnels de la 1re personne : « m’ », « me », « je »). • reprise méthodique des opinions de l’adversaire pour mieux les contredire (« Ils prétendent avoir aussi… mais », l. 41), mouvement concessif (« je sais bien que », l. 37). • appuie son argumentation sur

un article de l'Encyclopédie, parlant de la traite des nègres. Ensuite, les textes 2 et 3 utilisent l'ironie afin de permettre aux auteurs de critiquer l'esclavage de façon implicite mais cependant il faut que les lecteurs puissent comprendre cet humour afin de saisir le vrai message du texte. Par exemple, le texte 2 fait preuve d'ironie pour dénoncer la traite des esclaves et l'hypocrisie que fait preuve les colons, en effet «  bénit nos fétiches » ( il parle des colons ) «  adore-les toujours,