L Humour En Argumentation

mode de vie : C’est un « viveur », un hédoniste, aucun plan de carrière + pas de spécialisation + non matériel + non ambitieux (c’est le bouche à oreille qui le fait connaître) → il laisse faire le hasard II) UNE ARGUMENTATION INDIRECTE ET HUMORISTIQUE A) Une argumentation indirecte pour dénoncer les abus du libéralisme Dénonce l’usage abusif de la propagande des médias Lexique de la manipulation mentale : « on voudrait vous faire croire » l.35 « ils essaient de nous persuader »

problème de la réflexion scientifique qui pourrait se formuler sous forme : "Comment puis-je arriver à des conclusions solides ?" [remarque : ce texte mêle narration (anecdote) et réflexion (argumentation) les deux types de textes se reconnaissent aisément pas les temps (narration au passé) et le ton (argumentation polémique, narration humoristique).] QUELLE EST LA THESE DE CE TEXTE ? Elle est exprimée en deux fois : * au début : les savants veulent aller trop vite è ils tombent dans le ridicule

directes peuvent s’avérer complexes et ennuyeuses. Enfin, nous montrerons que celles-ci ne sont pas toujours si ennuyeuses que La Fontaine l’affirme. I. La fable et le conte, apologues, argumentations indirectes apportent une morale sans ennui 1. HUMOUR ET PLAISIR ← Les 2 coqs , la Fontaine : ← Candide chap VI, Voltaire : ← « La dent d’or », Histoires des oracle, Fontenelle : 2. VERITE DE LA VIE ET SUJETS TRES SERIEUX A TRAVERS

l’autoritarisme et le bellicisme du souverain. Cette expérience malheureuse servira à illustrer les malheurs de Candide dans le chapitre III du conte éponyme ainsi que dans l’article "Guerre" du Dictionnaire philosophique. Ce texte présente l’intérêt d’une argumentation au travers d’un récit. Il vise à dénoncer les horreurs et surtout l’absurdité de la guerre. Il est un exemple de la fameuse ironie voltairienne. Dans un premier temps Voltaire détourne habilement les principes du conte classique. Par la dénonciation

texte en liaison avec les textes du corpus et en fonction d'un certain nombre de consignes rendues explicites. → élaborer une production écrite personnelle en s'appuyant sur un texte du corpus. → expérimenter les enjeux de l'écriture. Au lycée → argumentation sous forme créative. 5 étapes : 1-2 : études du sujet → 15 minutes 3-4 : brouillon → 30 minutes 5 : écriture → 1 h 30 + orthographe → 15 minutes Etape 1 : 2 choses : - relire le texte d'appui du corpus. - observer attentivement

acquis avec La Fontaine une haute valeur satirique (l’élève peut s’appuyer ici sur le texte d’Anouilh qui lui est soumis). II. Légèreté et puissance du genre Les fables, avec leur bestiaire, leur style précieux proche de la conversation, leur humour, sont la plupart du temps empreintes d’une légèreté qui trahit un désir de plaire plutôt que d’instruire : La Fontaine ne s’en cache pas dans sa longue préface à l’édition de son premier livre de fables, et le mot « plaisir » revient deux fois dans

mais il est également plein d’humour. III. Thème de l’humour 1. Humour des fausses illustrations documentaires Au fil des pages, le texte se réfère bien à un texte de documentaire, en revanche les illustrations appartiennent au registre du récit = il est rare de voir dans un documentaire des loups sortir d’un carton ou un loup encapuchonné et c’est ainsi qu’elles participent à l’humour. 2. Humour de la deuxième fin heureuse Auteur prend en compte la sensibilité de ses lecteurs

Difficulté pour comprendre les allusions, le double sens comme pour les références à Charles Quint. Le lecteur peut passer totalement à coté de l’implicite, trompé par le genre comique, les invraisemblances. 2. D’autres formes proposent une argumentation nettement prise en charge par l’auteur, dont l’opinion s’affirme avec véhémence. Véhémence de la dénonciation par Erasme du comportement des moines et des papes, indignes selon lui des enseignements du Christ. Virulente dénonciation explicite

et si ces textes, avec leurs formes d’argumentation souvent complexes, sont de bons moyens de convaincre et de persuader. En général un bon écrivain parvient à faire adhérer ses lecteurs aux idées qu’il défend. Toutefois, la complexité de son argumentation et les formes qu’elle revêt peuvent être un frein à son efficacité. D’emblée, nous pouvons affirmer que la littérature et un bon moyen de convaincre et de persuader. Tout d’abord, elle peut amener le lecteur à reconnaître qu’un point de

discours. De plus, La Bruyère sait pertinemment que seuls des Hommes vont lire ce discours et donc, comme ces expressions violentes correspondent à des actions que eux font, cela attirera leur attention. Dans ce texte, on observe aussi une argumentation progressive. En effet, l’auteur commence par nous parler d’animaux inoffensifs tels que la taupe ou la tortue, « la taupe et de la tortue ». Puis, on remarque une graduation avec des animaux comme perdrix. Après avoir cité des animaux de plus en