L Humour Dans Gargantua

b) Excès beauté (oxymore « inhumaine beauté », énumération beauté fm, excès provoque dégout= contraste) Déportés « monstrueux » (énumération laideur) Plaisir sadique et cruel Gargantua Auteur : Rabelais Date : 1534 Genre : Utopie (terme créer par Thomas More : « ou » et « topos » = qui n’existe pas : non lieu) Argumentation indirecte Satyre Humaniste excès Idée : si l’on est bien éduqué= pas

n’est pas étonnant de retrouver dans ce texte une parodie des récits de voyages du Moyen-Age en vogue à l’époque. De cette façon, le personnage qui voyage est bien l’auteur et narrateur Alcofribas Nasier (anagramme de François Rabelais) : Gargantua dit après ce passage « D’ont viens-tu, Alcofrybas ? » et l’ensemble du récit est à la première personne du singulier. C’est donc bien le récit de son voyage dont on apprend qu’il dure plus de six mois : « Il y a, (dist-il), plus de six moys. » et

| |Tu vas te retrouver avec un prélèvement sans gain | | De quoi parle cette chanson ? Impôts, contribuable dépouillé ; humour par la caricature : vampires Deuxième document Source : http://chroniques.lucpire.be/kroll/clin_d_oeil/html-n/ch05s03s13.html Que représente cette caricature ? Le président du PS donnant des recommandations aux membres de son parti pour éviter

« Une morale nue apporte de l’ennui ». Car l’humour, par son côté divertissant, détend, évite l’ennui et touche un public varié, peu enclin à lire ou à écouter de longs développements sérieux et rébarbatifs. Marivaux dans La Colonie met en scène avec humour des féministes avant l’heure : le public préfère sans doute aborder le problème de l’égalité entre hommes et femmes dans une comédie, plutôt que de lire les considérations de Rousseau sur l’éducation des filles dans son traité Émile ou de l’Éducation

diverses en fonction des contextes et des situations. • La Fable : Dès l’antiquité, de courts récits représentent les animaux pour parler des hommes. Mais les recueils de fables en vers mettent en scène une véritable comédie humaine, peignant avec humour les caractères, donnant des leçons aux puissants. Au terme du récit, le fabuliste sollicite le lecteur pour tirer avec lui la morale de l’histoire. • La Parabole : Présente dans Les Evangiles, la parabole est reprise dans les sermons des orateurs

manifestations physiques, Ce qui le provoque (physiologiquement et psychologiquement), Ses conséquences sur l’individu, le groupe ou l’organisation sociale. Mais, pour comprendre le rire, il faut évoquer l’humour qui le nourrit. Le substantif « humour » a été emprunté à l’anglais au XIII ème siècle, alors même que le mot anglais s’est forgé à partir du mot français « humeur ». A l’époque, « humeur » désignait les liquides censés gouverner le corps (le sang, le flegme, la bile...). Dans la pensée

anonymat. Il a écrit « Gargantua » 1534 et « Pantagruel » 1532. « fait ce que tu voudras » : l’idée est très simple. L’humanisme suppose qu’on mette l’homme vient au centre de la réflexion. Cette phrase veut dire que l’homme peut et doit acquérir une morale propre, ce n’est pas à l’autorité de l’imposer. On retrouve aussi ses idées dans « le Tiers Livre » et « le Quart livre » 1548-1552 III- Les auteurs du moralisme Montaigne (1533-1592) : « les Essais » : œuvre humaniste, humour de l’excès et de

siècles. Un anonyme met en scène des animaux comme le goupil prénommé Renart : C'est le Roman de Renart. Ce sont des aventures amusantes, ironiques, comiques, satiriques. 3 – Le roman rabelaisien : Rabelais écrit les aventures de Pantagruel et Gargantua qui sont des personnages imaginaires, très humains, qui proposent une réflexion sur l'existence et le monde. C'est l'humanisme. Les romans portent le nom des personnages. 4 – Le roman baroque : Au XVIIème siècles, il y a deux tendances : Le roman

homme qui souffre Figaro est parfois drôle mais jamais ridicule. Il a de l'humour, cet humour peut être dirigé contre les autres comme contre lui. Il est capable de tourner quelque chose en auto-dérision : " las de nourrir les bêtes malades " " pendant ma retraite économique " -> c'est un euphémisme, Figaro veut en fait parler de son emprisonnement à la Bastille. Il est émouvant, il cache sa souffrance avec humour sauf quand il parle de Suzanne à la fin : " désabusé…Désabusé !… Suzon, Suzon, Suzon

pas avec l’amour, Les Caprices de Marianne Pirandello (Luigi), Chacun sa vérité Ponge (Francis), Le Parti pris des choses, La Rage de l’expression, Méthodes (difficile) Quignard (Pascal), Le Nom sur le bout de la langue Rabelais (François), Gargantua, Pantagruel, Tiers Livre, Quart Livre (prendre une édition comportant le texte original avec une translation en français moderne, Éditions du Seuil, collection « Points ») Rimbaud (Arthur), Une saison en enfer, Illuminations, Lettres dites « du