L'Aveu

met-elle en scène un stratagème ? Que nous révèle le stratagème dans cette scène ? ---- Les mouvements du texte è 1er mvt : ligne 1 à 36 – une tentative de reconquête de la part de Christian è 2ème mvt : ligne 38 à 60 – moment de séduction : l’aveu masqué de Cyrano è 3ème mvt : ligne 62 à 97 – la substitution : aveu masqué mais explicite de Cyrano è 4ème mvt : ligne 99 à 125 – l’impossible union des amants ----- ----- ----- ----- ----- ROXANE, CHRISTIAN, CYRANO, d’abord caché sous le

les moyens de preuve qui peuvent être produit dans un procès civil. L’article 1315-1 réglemente 5 modes de preuve. ( La preuve littérale, c’est à dire par écrit ( La preuve testimoniale, c’est à dire par témoignage ( Les présomptions ( L’aveu ( Le serment Parmi ces preuves on distingue les preuves pré constituées et les preuves à posteriori. Les premières sont des moyens de preuve constitués en prévision d’une contestation future alors que les secondes sont celles qui interviennent

que Thésée n'est pas mort. Au début, Phèdre veut s'adresser à Hippolyte pour lui demander de ne pas se venger sur son fils de la cruauté apparente qu'elle a manifestée. Mais elle se laisse rapidement emporter par son amour dévorant et tombe dans l'aveu. Elle s'en blâme d'ailleurs comme de son crime incestueux et finit par vouloir mourir, de ses propres mains s'il le faut. 1.2 Situation des personnages Thésée est supposé mort, on ne l'attend plus après ses péripéties avec son ami Pirithoüs. Œnone

L’héroïne éponyme, poursuivie par la vengeance de Vénus, est habitée d’une passion destructrice pour le fils de son mari Hippolyte. Dans notre extrait, elle confesse son amour coupable à sa confidente Oenone. Comment Racine parvient-il à dramatiser l’aveu de Phèdre ? Nous allons voir comment la jeune femme se heurte à la difficulté d’avouer l’inavouable, de raconter l’indicible, ce qui trahit la fatalité de sa situation. I/ La confession de Phèdre est rendue difficile par l’extrême honte qu’elle

l'acte I scène 3, Oenone tente d'arracher à Phèdre ses aveux afin de comprendre pourquoi elle souffre. LECTURE I - Le poids du crime 1 - La méprise Tout d'abord, nous allons voir comment se présente la méprise dans le poids du crime. L'aveu de Phèdre est difficile car il y a une ambiguïté du mot « crime » : lorsque Oenone emploie ce terme, au vers 2 et « funeste doute » au vers 27, elle pense que Phèdre a tué quelqu'un comme le montre le vers 3 : « Vos mains n'ont point trempé dans le

«la plus» l.39 superlatif - Une femme forte chiasme l.51-52-53 aveu - avouer / faiblesse - courage «force» l.50 «fidélité» l.39 fidélité associé à l’honneur et au respect de cet honneur «digne» l.9 et 23 «aveu» «innoncence» l.2 Malgré la scène de l’aveu, la princesse parrait quand même innocente. - La beauté «d’une beauté si admirable» l.18 adverbe d’insistance «si» 2) Un mari sublime et tragique - La souffrance «je vous conjure» l.48 insistance verbes à l’impératif l.40 insistance l’image du rival:

qu'Hippolyte l'aimait (II, 1 v. 405-414). Celle-ci ne devrait donc en théorie pas être trop surprise de la soumission que lui témoigne Hippolyte puis de l'aveu de son amour. Les manifestations de surprise d'Aricie ont donc une fonction dramaturgique bien spécifique : elles manifestent le trouble amoureux de la jeune fille et contribuent à déclencher l'aveu d'Hippolyte (notamment par le biais de la modalité interrogative). On peut également y voir une stratégie de la jeune fille pour forcer Hippolyte à

amour Reflet des beautés célestes Antithèses vers 960 Thèmes empreinte à l'art : femme est un œuvre d'art Avec ces galants, il cherche à amadouer Elmire. Il fait preuve d'une certaine maîtrise du langage, calculateur : compliments : stratégie. 2. L'aveu de Tartuffe : une justification de sa passion. Marque de la première personne sg. Glissement. Passer considération générale : impliquant de plus en plus forte dans son discours. Marque de la 2ème p.pl. : ensemble des femmes « Vous » : Elmire

Théramène faisant semblant de ne pas comprendre va conduire Hippolyte jusqu'a l'aveu du vers 56. 2. (préparation) Hippolyte, Œnone, Théramène: "La Reine touche presque à son terme fatal". "Elle (Phèdre) vient." 3. Phèdre, Œnone: Racine réussit à nous donner les cinq principales facettes du caractère de Phèdre; presque tous les sujets qui seront traités dans le reste de la pièce sont esquissés dans cette scène. L'aveu de Phèdre. 4. Phèdre, Œnone, Panope: il arrive la nouvelle de la mort de Thésée

choisies de manière à pouvoir en embrasser tout le cours. Si le très long épisode de la lettre de Mme de Thémines n'a pas donné lieu à une étude spécifique, il n'en a pas moins été très largement  évoqué, principalement dans l'étude de l'épisode de l'aveu, et son importance essentielle a été soulignée avec insistance. Quant à l'entretien final entre Mme de Clèves et M. de Nemours, s'il a été évoqué à plusieurs reprises, il n'a pas fait l'objet, lui non plus, d'une étude particulière, car, malgré sa