Jürgen Habermas

forme de communication à la consommation ? Autre débat ; l’influence toxique des images pour des jeunes qui n’ont pas encore d’esprit critique et qui sont en pleine construction de leur personnalité.lise Texte 6 – Morale & communication , Jurgen Habermas, Texte 7 – Sauvez la communication, Wolton Le message publicitaire – Toute publicité est un message ; source démission = firme à qui appartient le produi vanté => pt de reception = public et canal de transmission. Analyse sémantique

naturelle et communications. - Paris : P.U.F., 1996. GUERY (Léon) - Manuel du secrétariat de rédaction. - Paris : CFPJ, 1988. HABERMAS (Jürgen) - De l’Ethique de la discussion. - Paris : Le Cerf, 1992. HABERMAS (Jürgen) - HABERMAS (Jürgen). - Paris : CNET/Réseaux hors série, 1991. HABERMAS (Jürgen) - Morale et communication. - Paris : Editions du Cerf, 1986. HABERMAS (Jürgen) - Théorie de l’agir communicationnel (2 volumes). - Paris : Fayard, 1987. HAGEGE (Claude) - L’Homme de parole. - Paris : Fayard

[12] Ce modèle instrumental de communication politique est une référence aux modèles décisionniste et technocratique développés par Jürgen Habermas dans ses essais « La science et la technique comme "idéologie" » et « Scientifisation de la politique et opinion publique », tous deux publiés dans l'ouvrage La Science et la Technique comme Idéologie (2000). Pour Habermas, la relation entre sciences et opinion publique est à la base d'une scientifisation de la politique - notamment : l'intégration du

qu’il importe pourtant de dissocier du point de vue analytique. Souvent, l’idée de citoyenneté est lancée pour exprimer un projet, un idéal, voire des aspirations plus ou moins utopiques : par exemple, l’idée d’une citoyenneté supra-nationale chez Habermas (1996, 2000). Mais fréquemment aussi, on se réfère à la notion de citoyenneté pour décrire un état de fait, un ensemble de phénomènes sociaux : tel est le cas chez T.H. Marshall (1949) ou, plus récemment, chez Dominique Schnapper (1994, 2002). Même

d’appartenance. Ulrich Beck Un sociologue de la modernité Né en 1944, Ulrich Beck est professeur à l’université de Munich et à la London School of Economics. Il est devenu l’un des grands noms de la sociologie allemande aux côtés de Jürgen Habermas ou Niklas Luhmann. C’est la parution de La Société du risque en 1986 qui lui apporte une notoriété internationale. Le livre ne sera malheureusement traduit en français que quinze ans plus tard. Dans cet ouvrage devenu un classique, U. Beck soutient

toutes les origines de la société civile, une retiendra particulièrement notre attention : celle inscrite autour de la relation du droit et de la force, ainsi que de la délibération publique. Dans son ouvrage fondamental sur l'espace public24, Jürgen HABERMAS soutient que la civilité25 est la base d'une culture de la délibération publique, de l'intervention et de la participation active des sujets publics dans le champ politique. La sphère publique26 est impensable en dehors de l'existence d'institutions

permettent au contraire au sujet d’exister comme individu, lui permettent de se choisir et de choisir sa descendance. C’est la raison pour laquelle il est assez vain d’agiter les utopies créatives comme celles d’Huxley. Il s’agit d’un eugénisme que Jürgen HABERMAS a qualifié de « libéral ». Il s’articule à l’individualisme et au consumérisme libéral, au désir des parents et au nouveau marché biomédical. Un généticien, Axel KAHN dit de cet eugénisme qu’il se présente « non comme un sinistre complot, mais

esquivée. Jürgen Habermas, l´un des plus importants philosophes d´aujourd´hui, l´avait souligné dès La Technique et la science comme idéologie (1968) : abandonner la sphère des choix moraux à la pure décision, sans justification possible, c'est faire de l'action le lieu de ce qui ne s'argumente pas. C´est donc y voir l´expression même de l'irrationnel, avec toutes les implications redoutables qu´entraîne avec lui cet abandon du terrain éthique par la raison. Ce pourquoi, selon Habermas, il faudrait

les intérêt privés envahissent l'espace public, nous détournant peut être de son statut initial, dégradant la qualité de la vie urbaine. A terme l’individu se trouverait aliéné à son environnement sans possibilité de s’en affranchir. Selon Jurgen Habermas, cette pollution de ce qu'il nomme le principe de «publicité», est due a une privatisation de l'espace public par l'Etat, où les intérêts privés sont masqués en intérêts généraux. Il résume cela, en parlant de «socialisation de l’État»

fut celui de Manfred Rommel, fils d'Erwin Rommel, qui devint maire de Stuttgart en dépit de son aveu d'avoir servi dans les Jeunesses hitlériennes. Mais aussi, le Ministre allemand des Affaires étrangères Hans-Dietrich Genscher, le philosophe Jürgen Habermas, et le Prince consort des Pays-Bas Claus von Amsberg. En outre, le 19 avril 2008, les médias annoncèrent que le pape de l'Église catholique romaine Benoît XVI (de son nom civil à la naissance Joseph Ratzinger) avait servi dans les Jeunesses hitlériennes