John Stuart Mill Justice

La justice et le droit Introduction 2 I. Droit naturel et droit positif 2 A. La diversité des lois positives 2 B. L’idée de droit naturel 3 1. L’exemple d’Antigone 3 2. Il y a une justice naturelle au-dessus des lois particulières (Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure, Spinoza, Hobbes, Pascal) 8 3. Le droit naturel

uns s’arrête là où commence celle des autres » John Stuart Mill – (1806-1873, philosophe et économiste britannique) La loi au sens matériel, c'est-à-dire d'après son contenu, est une règle de droit générale, impersonnelle et écrite. Dans ce sens, elle se confond avec la règle de droit. I. LES RAPPORTS ENTRE LIBERTE ET LOI Connaître les lois c'est être libre. Il n'y a pas de libertés sans justice, et les principes fondateurs de cette justice résident dans la Déclaration des Droits de l'homme

personne bonne. La vertu de l’intellect réside dans la sagesse ou dans la connaissance des fins de la vie ; la vertu du courage correspond à la capacité d’agir, et celle des émotions à la tempérance ou à la maîtrise de soi. La dernière vertu, la justice, est la relation harmonieuse entre toutes les autres, chaque partie de l’âme accomplissant la tâche qui lui incombe et gardant la place qui lui est assignée. Pour Platon, l’intellect doit être souverain, alors que l’on ne doit laisser agir la volonté

La justice et le droit Introduction 2 I. Droit naturel et droit positif 2 A. La diversité des lois positives 2 B. L’idée de droit naturel 3 1. L’exemple d’Antigone 3 2. Il y a une justice naturelle au-dessus des lois particulières (Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure

monopole de la sécurité, l’État, qui agit selon la loi du plus fort avec les moyens légaux de répression ou de protection qui sont les siens, limite son champ d’action à la sécurité des personnes. Il s’agit des fonctions dites régaliennes8 : police, justice, défense du territoire, diplomatie. Tout débordement hors de ce cadre de l’État minimal (État veilleur de nuit ou État gendarme) est illégitime. Ses partisans furent aux États-Unis des politiciens comme Thomas Jefferson9 ou au XXe siècle des philosophes

aussi les Héliastes, étaient tous choisis par le sort. Le tirage au sort s'effectuait parmi les citoyens, volontaires pour participer à la vie politique, se sentant aptes à assumer les fonctions. Selon Aristote, «la conception démocratique de la justice se ramène à l'égalité arithmétique », rendue possible par l'application du volontariat. Au volontariat s'ajoutait le principe de rotation des charges qui assurait le principe égalitaire que prônait la démocratie athénienne. Il y avait une volonté

place centrale de cette notion dans l’histoire de l’économie politique, avant de rappeler les principes, mais aussi les limites, de sa mesure actuelle. 1.1. L’histoire de la pensée économique : riche de diverses définitions théoriques 1.1.1. John Stuart MILL1, Principes d’économie politique, 1848 "C’est un mouvement progressif qui s’est transmis, sauf quelques interruptions, d’année en année et d’une génération à l’autre, une augmentation de la richesse, un accroissement de ce que l’on appelle

LABARRE, Ah Dieu que la guerre économique est jolie ...). D'autres ouvrages estiment au contraire que l'économie reste conforme à l'éthique (Amartia SEN, Prix Nobel 1998, L'économie est une science morale; Nouveau modèle économique, développement et justice). Il définit le développement comme un « processus d'expansion des libertés individuelles ». L'efficacité économique va de pair avec la démocratie. On peut également citer Henri BARTOLI qui intègre la dimension écologique et défend l'idée que l'économie

« La première cause du désordre monétaire et économique fut l’enrichissement par la corruption de tous les membres des cabinets politiques et des fonctions religieuses. Ce mal avait affecté tous les secteurs de l’administration :,ministères, justice, préfecture de provinces, fonctionnaires de prévôts, de marchands,…. Qu’il fût impossible d’accéder à une quelconque fonction sans la monnayer, ce qui permets à des ignorants, des tyrans, des corrompus, des dépravés, d’ acquérir des nobles fonctions

qui peut être dit ou non. Lors de la publication des caricatures de Mahomet par le journal « Charlie Hebdo », certains criaient à la défense de la sacro-sainte liberté d’expression, tandis que d’autre mettait en avant l’injure raciste5. Bien que la justice ai donné raison à Charlie Hebdo en 2006, les conflits entre ce journal et divers acteurs communautariste sont récurrent. Le dernier en date concernant Charlie hebdo a suscité de vives critiques de la part du gouvernement français, des gouvernements