John Locke Liberalisme

le grec et ils lisent, étudient et traduisent les principaux textes des auteurs classiques. Ces auteurs et leurs idées se retrouvent de plus cités et discutés par les grands penseurs politiques du XVIIe et du XVIIIe siècles tels James Harrington, John Locke et Montesquieu, qui vont également influencer les patriotes. Aristote et Cicéron sont sans nul doute les deux penseurs politiques de l'ère classique qui exercent la plus grande emprise sur l'esprit patriotique. Or ces deux penseurs prônent un régime

l’homme et du citoyen du 26 aout 1789 que l’on trouve en son article 16 constitue encore de nos jours une valeur essentielle. La répartition des pouvoirs est une valeur constitutionnelle importante dont les premiers grands théoriciens étaient John Locke et Montesquieu. Montesquieu, auteur inscrit dans le courant des philosophes des Lumières est connu pour ces différents écrits mais particulièrement pour  De l’esprit des lois  paru en 1748.  De l’esprit des lois est l’œuvre majeure de l’auteur et

mais n’est pas une opération intellectuelle : elle se donne à nous avant de n’avoir défini la loi intelligible Husserl : fondateur de la phénoménologie (méfiance à l’égard de la science , la perception sera toujours 1ere, elle est irremplaçable ) John Locke : la perception est objective ( qualités originales et qualités secondaires Bergson : la perception est un sélection Rorschach : test de la tâche d’encre Rimbaud : voyance , hallucination

écrits. régime : nature du gouvernement au sens de l’article 89-5 de la constitution. Nature du système (régime présidentiel, parlementaire) Paragraphe 1 : La typologie posée par Montesquieu Deux sources d’inspiration : l’empirisme (avec John Locke) et l’antiquité (Aristote et Polybe). Montesquieu est le premier à systématiser le « bon » gouvernement, la fin c’est l’instauration d’un gouvernement modéré, et les moyens avec la séparation des pouvoirs. pour lui bon système => gouvernement

constitution de 1791. Montesquieu est un philosophe des Lumières né en 1689 et mort en 1755, avec John Locke, philosophe anglais et précurseur des Lumières. Ils ont tous les deux développés la notion de la séparation des pouvoirs. En réalité pour Montesquieu il n’est pas vraiment question d’une séparation mais plutôt une distribution des pouvoirs. Montesquieu s’est inspiré de la philosophie de Locke dans son œuvre. La définition de pouvoir est polysémique mais ici nous retiendrons le sens d’être

Montesquieu, philosophe du siècle des lumières, cherche à porter un regard critique sur les travers de la société de son temps. Il explore divers domaines, tels que la religion ou le pouvoir, mais aussi des domaines plus futiles, comme ici la mode, dont il souligne les caprices : les façons qu'ont les Françaises de s'habiller évoluent rapidement, en défiant toutes les lois de la raison. Afin de donner plus d'objectivité à son jugement, l'auteur place sa critique dans la bouche de Rica, un personnage

encore l'utilité d'en invoquer une séparation. Bien plus tard, John Locke reconnaît, dans Essai sur le Gouvernement civil de 1690, l'importance d'une séparation qui empêcherait la concentration de tous les pouvoirs dans les mains d'un seul (despotisme). Mais la théorie la plus importante est celle de Montesquieu, moraliste, magistrat, penseur et philosophe contemporain de l'époque des Lumières qui développe et approfondit les idées de Locke dans son ouvrage De l'esprit des lois de 1748 en récusant l'absolutisme de

régime. En effet, au XVIIIème siècle, le régime politique de la France est celui de la monarchie absolue. En pratique, la souveraineté ne se divise pas et ainsi le Roi à « le droit de faire la loi », et de la faire exécuter. Mais la philosophie de John Locke qui consiste à dire que le peuple est le seul souverain, se répand progressivement en France, et conduit à la crise de 1789. Ainsi, le texte évoque que le Roi crée et obéit à ses propres Lois. Il parait intéressant dans un premier temps, d’envisager

La science est la connaissance de l’Homme et la philosophie est sa conscience. Si on enlève la connaissance à un homme, il lui reste sa conscience. C’est assez suffisant. Mais que devient un Homme si on lui enlève sa conscience et qu’il ne lui reste que sa connaissance ? Pour exemple : L’armée dispose d’inventions telles que le nucléaire, les avions de guerre, les lances flammes… Toutes ces inventions existent grâce à la science. Imaginez un instant le carnage que ferait l’armée si elle n’avait

en tant que telles, mais plutôt de la liberté individuelle et communautaire des êtres humains, à développer, garder, défendre et modifier eux-mêmes les identités qu’ils ont choisies tout en ayant la possibilité de ne pas s’y intéresser du tout. John Locke disait, Dieu n’a fait naître personne dans une religion. Chacun par le biais de l’éducation, de la formation, parce qu’il vit quelque part, acquiert une religion. Cette religion devient sienne. Cet acte vient après l’acte d’être, il ne peut pas